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Pas une réponse trop brève. Ce qui veut dire une réponse avec des points d'appui.
Merci de m'avoir pensé...

2006-11-04 04:19:00 · 4 réponses · demandé par Anonymous dans Sciences sociales Anthropologie

4 réponses

Les deux selon !

2006-11-04 06:13:32 · answer #1 · answered by Cochise 7 · 0 0

Statue de Gottfried Wilhelm Leibniz à Leipzig (Allemagne)Orphelin de mère à 6 ans, il est élevé par son père, professeur de philosophie morale à l'Université de Leipzig. Celui-ci lui apprend à lire, mais Leibniz, enfant précoce, affirma avoir appris par lui-même le latin. En 1663, il obtient son baccalauréat en philosophie ancienne, puis entre à l'université de droit de Leipzig. En 1666, il devient docteur en droit à Nuremberg et refuse peu après un poste de professeur. Il s'affilie à une société de la Rose Croix, dont il sera secrétaire pendant deux ans.

En 1669, il devient conseiller à la Chancellerie de Mayence, auprès du baron Johann Christian von Boineburg. Il travaille alors sur plusieurs ouvrages sur des thèmes politiques (Modèle de démonstrations politiques pour l'élection du roi de Pologne) ou scientifiques (Nouvelles hypothèse physiques, 1671).

Envoyé en 1672 à Paris, en mission diplomatique, dit-on pour convaincre Louis XIV de porter ses conquêtes vers l'Égypte plutôt que l'Allemagne. Il y reste jusqu'en 1676 et y rencontre les grands savants de l'époque (Huygens, Malebranche). Il se consacre aux mathématiques et laisse à Paris son manuscrit sur la quadrature arithmétique du cercle. Il travaille également sur ce qui sera le calcul infinitésimal. Il conçoit en 1673 une machine à calculer à l'exemple de Blaise Pascal. Avant de rejoindre Hanovre, il se rend à Londres étudier certains écrits d'Isaac Newton, jetant, tous les deux, les bases du calcul intégral et différentiel. Il passe également par La Haye où il rencontre Baruch Spinoza.

En 1676, à la mort de son protecteur, le baron von Boyneburg, le duc de Brunswick le nomme bibliothécaire du Hanovre. Il restera dans ce poste au service des ducs de Hanovre pendant près de 40 ans. Il s'occupe aussi de mathématique, de physique, de religion et de diplomatie. En 1684, il publie dans les Acta Eruditorum son article sur les différentielles et en 1686 celui sur les intégrales. En 1686, il publie en français ses Discours de métaphysique. En 1687, il se lance dans une Histoire de la maison de Brunswick, pour lequel il parcourt l'Italie en quête de documentations. En 1691, il publie à Paris, dans le Journal des savants, un Essai de dynamique qui définit l'énergie et l'Action. En 1700, il crée une Académie à Berlin qui ne sera inaugurée qu'en 1711. En 1710, il publie ses Essais de Théodicée, résultats de discussions avec le philosophe Pierre Bayle.

Reconnu comme le plus grand intellectuel d'Europe, et pensionné par plusieurs grandes cours (Pierre Le Grand en Russie, Charles VI en Autriche qui le fait Baron), il meurt le 14 novembre 1716.

Comme philosophe, il s'est intéressé fort tôt à la scolastique et à la syllogistique. Il a conçu le projet d'une encyclopédie ou « bibliothèque universelle » :

« Il importe à la félicité du genre humain que soit fondée une Encyclopédie, c'est-à-dire une collection ordonnée de vérités suffisant, autant que faire se peut, à la déduction de toutes choses utiles. » Initia et specimina scientiae generalis, 1679-1680.
Comme mathématicien, il a fait entrer les sciences dans la nouvelle ère de l'analyse différentio-intégrale.

2006-11-08 02:42:54 · answer #2 · answered by Anonymous · 0 0

Je ne connais pas vraiment l'oeuvre de Leibniz mais de ce que je me souviens de ma lointaine terminale, il serait plus individualiste que collectiviste.
Selon Leibniz, la force se modifie suivant les lois du changement. La force est une succession d'états changeants, chacun d'entre eux s'expliquant par celui qui le précède. C'est à cette notion de force, de ce que Leibniz désigne sous le nom de force, que l'on rattache l'idée d'individualité, une individualité qui se présente comme une série de changements, exprimée par Leibniz quand il écrit « La loi du changement fait l’individualité de chaque substance particulière. »
L'individualité étant ce qui change, tout le débat est de déterminer si l'homme se définissant par cette individualité, donc par des changements (en se démarquant des autres ?) que des hommes évoluent dans le même sens peut-il créer une collectivité. En d'autres termes, le tout est-il la somme des parties ?
Personnellement je ne le crois pas.

2006-11-04 19:57:33 · answer #3 · answered by Epiménide 3 · 0 0

je ne connais pas spécialement LEIBNIZ, mais voici ce que je constate.
J' ai posé ces deux questions:
qu'elle est votre sentiment en regardant notre belle planète?
J' ai reçu 23 réponses en 21 h
la 2e,
que faites vous pour sauver la belle planète bleue?
J' ai reçu 7 réponses en 21 h
Si Leibniz avez vu ceci, qu' aurait - il pensé?

2006-11-04 06:22:15 · answer #4 · answered by jean-pierre 6 · 0 0

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