la corrida n'est pas un art, c une facon d'exprimer son orgueil de manière violente, comme le match où le pompier à perdu 2 doigts... la violence n'est en aucun cas un art, surtout s'il yà blessures ou mort....
2006-10-30 08:17:51
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answer #1
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answered by ben 3
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Mon frère était boucher de profession, à la retraite maintenant...Il a bossé en abattoir avant d'être derrière une vitrine à servir les clients....
Là je cause pour lui, y'a pas autant de boucherie en abattoir que dans l'arène....Les animaux sont tués pour satisfaire ton appétit et c'est bref et sans torture....Tandis que dans l'arène on tue à petit feu, c'est long, automatiquement et c'est gratuit...Quand tu vois le torero se balader avec une ou deux oreilles voir la queue comme trophées, j'ai vraiment envie de les lui coller en suppo, histoire de lui faire avaler sa fierté mal placée
2006-10-30 14:32:34
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answer #2
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answered by lou 5
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c'est de la barbarie,oui!!!Vive le taureau,à bas le toréador...bon ok j'exagère un peu...mais quand-même...
2006-10-30 08:32:24
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answer #3
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answered by Anonymous
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si on considère la connerie comme une expression artistique, la corrida est effectivement un art, un art d'excellence même !
2006-10-30 17:50:56
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answer #4
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answered by Rimajhalahad 3
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non c'est un massacre il organise des concours pour regarder celui qui va mourir le plus tot et ils sont joyeux les petits cons alors que des familles pleurent
2006-10-30 11:22:22
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answer #5
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answered by monia m 4
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Pour moi c'est de la violence gratuite et de la torture. Je comprend la fascination pour ce "métier", mais je n'approuve pas du tout. Je ne supporte pas la violence sur les animaux quelqu'ils soient.
2006-10-30 08:31:08
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answer #6
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answered by Bulma 6
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c tout simplement du massacre, quelle chances a le taureau de s en sortir, la seule c de niquer le torero, et encore, jusqu au prochain, tout ceci n est pas loyal.
2006-10-30 08:31:57
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answer #7
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answered by alexandra hum hum 4
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oui c'est l'art de faire soufffrir les animaux pour amuser l'homme
2006-10-30 08:22:31
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answer #8
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answered by vir 4
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Origines et histoire de la corrida
La Corrida est à la fois la plus connue et la plus polémique des coutumes populaires espagnoles. . Depuis la plus haute Antiquité et sur tout le pourtour méditerranéen, la présence du taureau et la fascination qu'il exerce pousse les hommes à le combattre.
Cette fiesta ne pourrait pas exister sans la bravoure du taureau et le courage du Matador. Le combat oppose l'homme à une race archaïque de taureaux sauvages que l'on ne trouve qu'en Espagne. Descendant de l'urus primitif, Les taureaux ont conquis une grande partie de l'Europe et du monde. Beaucoup de civilisations ont considéré le taureau comme un animal mythique. Les Egyptiens consacraient le pharaon capable d'affronter la bravoure de la bête, au même titre que de le regarder sans fermer les yeux. Le culte du taureau est entretenu sur l'île de Crète ou les sacrifices des taureaux sont donnés en l'honneur de la justice divine. Le Minotaure mi-homme mi-taureau, gardien du labyrinthe, évoque à lui seul, toute l'importance de l'animal dans les civilisations antiques. L'origine des arènes remonte plus sûrement aux temples celtes ibériques, qu'aux amphithéâtres romains. Animal de sacrifice, le taureau devient objet de spectacle sous les influences grecques et romaines. Sur la péninsule Ibérique, affronter le taureau à cheval était jadis le privilège de la noblesse. La tauromachie équestre, appelée suerte de cañas, connaît son apogée au XVe siècle, préfigure le rejoneo moderne. Deux cents ans plus tard, le peuple, démuni de monture, s'approprie le jeu taurin. Francisco Romero est une des figures emblématiques. Les seigneurs ne participent que par taureau interposé, sélectionné pour sa bravoure. Le taureau devient l'élément noble du spectacle. Trois cents ans plus tard et l'émotion artistique entre dans l'arène. La corrida moderne est née. Après quarante siècles, le bestiaire se fait artiste et le matador, torero.
Les plus réputés et les plus valeureux taureaux viennent de l'élevage de Miura, les « Toros de Miura », dont la race est créée en 1842 par don Eduardo Miura, ils sont emprunts d'un réel respect et d'une profonde humilité. Affronter un Toros de Miura c'est combattre la race de taureau de légende noire, une longue liste de toreros sont morts sous leurs cornes. La morphologie du Toros de Miura au squelette bien charpenté, lui permet aisément de supporter des poids de forme de plus de 600 kg soit 100 de plus qu'un taureau normal.
2006-10-30 08:20:55
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answer #9
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answered by Anonymous
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un art ? n'importe quoi !
A moins que ce soit l'art de la cruauté ? de la lâcheté ? du sadisme ? ...dans ce cas d'accord !
2006-10-30 08:19:35
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answer #10
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answered by valérie D 5
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