La quantité de départ étant dépendante de la génétique de chacun et des conditions de vie à la naissance (environnement socio-culturel).
Les parties perdues lors de chaque épreuve de la vie étant difficilement voir impossibles à récupérer (c'est l'impression que j'ai mais c'est bien sur très personnel!).
Vos impressions et idées à ce sujet, svp!
2006-10-28
23:17:12
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15 réponses
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demandé par
philipinho
2
dans
Arts et sciences humaines
➔ Philosophie
WandaM: n'est-on pas heureux peu après la naissance quand on tête le sein de sa mère? Peut-être pas dans le fond!
2006-10-28
23:24:16 ·
update #1
J'ai bien écrit "difficilement voir impossible". Moi il me semble que retrouver le bonheur est bien plus difficile que de le perdre
2006-10-28
23:29:11 ·
update #2
Que de réponses intérrressantes! Je vais finir par récupérer mon capital perdu ;o)
2006-10-28
23:53:35 ·
update #3
non.. pour moi on naît avec rien...
la quantité de bonheur on l accumule tout au long de la vie...
et parfois il redescent selon les malheurs que l on vit...
chaque malheur apporte un bonheur
et chaque bonheur fait un malheur... parfois de quantité démesurable...
2006-10-28 23:29:23
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answer #1
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answered by kiki 3
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Selon moi ce que tu dis n'est pas exact, sinon cela voudrait dire que nous sommes condamnes a mourir malheureux si notre vie a ete particulierement eprouvante.
Je crois plutot qu'en fonction du bagage recu tout au cours de sa vie, on se forge une opinion du bonheur et de la facon de l' atteindre.
De mon point de vue, la vie est jonchee de petits et de grands bonheurs, il suffit juste de se dire que les epreuves nous servent a mieux profiter d' eux et non l' inverse.
2006-10-29 08:34:16
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answer #2
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answered by curiosite3611 3
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Je pense qu'à la naissance nous ne sommes pas égaux génétiquement, culturellement mais on ne peut pas parler de capital bonheur qui s'épuiserait
2006-10-29 06:40:48
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answer #3
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answered by icare 4
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Ton hypothèse conduirait à dire qu’on devient tous de moins en moins heureux. Ce qui n’est pas vrai : l’individu peut être confronté à des souffrances à un moment de sa vie mais ça ne va pas forcement empirer.
Ex : un enfant orphelin pauvre etc. qui persévère, réussit ses études et épouse une femme qu’il aime. Tu vois bien qu’au début sa vie était désespérante et qu’au final il est heureux. mais bon il va de soit que ce que tu dis s'applique à la majorité des cas.
très bonne reflexion, merci de nous en avoir fait part.
2006-10-29 06:36:52
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answer #4
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answered by Anonymous
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difficile de le récupèrer et encore plus dur à garder et pourtant si agréable à partager
2006-10-29 06:33:30
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answer #5
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answered by Jean-Noël 4
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alors ce serait un peu comme le capital soleil ? si tu en abuses très tôt, tu n'auras plus droit à la part de bonheur plus tard ?
c'est triste tout cela !
le bonheur s'entretient : il faut se contenter de choses simples pour avoir de simples satisfactions. mettre la barre trop haut et plus dure sera la chute !
2006-10-29 06:25:12
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answer #6
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answered by dklé 3
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au contraire, je pense que le bonheur appelle le bonheur et se développe comme l'amour ou une petite plante verte qu'on bichonne...
2006-10-29 06:19:46
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answer #7
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answered by balthazar 3
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Pas du tout, je pense que nous perdons rien mais que nous n'exploitons que ce qui nous interesse !!
C'est nous qui définissons notre bonheur !!!
2006-10-31 16:28:41
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answer #8
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answered by monicklhay94 7
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Le problème avec le bonheur et la joie, c'est que l'on s'y habitue. Si on est heureux toute sa vie, sans problème particulier (une famille et des amis sympas, de l'argent ni trop ni pas assez, un boulot sympa...), on risque au final de s'ennuyer. Si de temps en temps on n'a pas des petites crises, on ne se rend pas compte de son propre bonheur et on peut déprimer. Tout est une histoire d'équilibre en somme. C'est la façon de vivre sa vie qui en détermine la satisfaction. Il est courant que des gens dont la vie n'est pas rose sont tout de même heureux alors que des nantis peuvent être malheureux (le spleen des bourgeois à une certaine époque). Donc pas de déterminisme social : il suffit de regarder certaines fratries; l'un peut être épanoui tandis que l'autre est au fond du gouffre, alors qu'en théorie ils sont issus du même milieu. Pourquoi donc?
2006-10-30 02:28:48
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answer #9
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answered by saamarande 2
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Ce qui veut dire pour toi que le bonheur et la souffrance sont quantifiable ? J'ai sincèrement un doute sur cette notion de quantité, car c'est dire qu'on peut tenir une comptabilité sur ces notions ?
J'ai certainement une vision plus simple, la notion du bonheur, des épreuves, de la souffrance, ne sont que des impressions de notre esprit. Réaliserais tu vraiment que tu nages dans le bonheur s'il n'y avait pas de "couak" ? Sachant cela, pour ma part j'arrive mieux à profiter et de me contenter de ce que j'ai là, maintenant, sans avoir de regret sur mon passé. Il me semble que dans cette optique, plus j'avance dans l'âge, plus j'aurais accumulé des moments de bonheur.
2006-10-29 17:59:52
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answer #10
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answered by xxxx 6
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