Naze, à vomir, les médias sont des irresponsables qui agrandissent encore plus le dit "fossé" entre les gens. Les jeunes savent plus quoi faire ok, mais c'est pas parceque 10 dans un quatier foutent la merde que il faut généraliser, au lieu de ca on à droit aux mêmes images tout le temps, qui font rien avancer, hors mis le nombre de gogol accrocs à tf1 qui finiront par voter extrême droite (Le Pain et Sarmoizy pour pas donner de nom)
Bref c'est moche, et tout le monde se contente de la même explication alors...
2006-10-26 09:27:30
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answer #1
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answered by Beny 3
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que ça vient d'une bande d'abrutis qui ne savent pas quoi faire de leur vie et qui exigent qu'on leur donne tout s'en faire aucun effort ! quand on veut s'en sortir, on se donne les moyens seulement c'est trop difficile de travailler (école ou boulot) comme les autres, ils préférent voler, dealer, dégrader... ceux qui sont sérieux (et il y en a plein) sont mal vus à cause de ces crétins, ils devraient avoir honte d'eux mais ça aussi c'est trop diffile, pour cela il devraient réfléchir et utiliser leurs cerveaux ! oui je suis plutôt remontée mais je viens moi-même d'une cité et je regarde les infos, et franchement quand je vois qu'ils brulent des bus ou tendent des ambuscades aux pompiers ça me rend malade !
2006-10-26 16:26:20
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answer #2
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answered by malaury 3
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Ce qui me répugne c'est que les casseurs disent qu'ils sont violent parce que la police vient dans "leur" quartier. C'est quoi, un territoire où pisse pour le délimiter? Il me semble que ça appartient à la France, pas à ces imbéciles.
Pourquoi la police vient? Sans raisons? Ou peut être à cause de la drogue, le recel, les tournantes, les dégradations, les violence et rackets...bref pour faire son job.
Je suis surtout très triste pour la grosse majorité de gens qui y habitent, qui travaillent, contribuent à la société, et subissent ces imbéciles toute l'année.
2006-10-26 16:41:06
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answer #3
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answered by Anonymous
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l'abandon de la part des parents, l'abandon du système éducatif, pas de diplomatie et un ras le bol des forces de l'ordre, le trop plein du système judiciaire et un fatalisme des jeunes des banlieues qui se complaisent à être dans leur M.... sans chercher à faire autre chose pour s'en sortir que détruire le système sans chercher à en faire partie.
2006-10-26 16:32:52
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answer #4
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answered by kristof 2
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Qu'entends-tu par "banlieues"? Est-ce que tu veux dire les tensions des cités ? Parce qu'on peut vivre en Banlieue sans être atteint par ces tensions...
Beaucoup de choses sont dites ou véhiculées par la télé à leur propos, mais lorsqu'on y vit pas, peut-on vraiment avoir un jugement objectif ?
Je travaille dans une cité, ce qui me fait plaisir : c'est de savoir que toute aide n'est pas rejetée.
2006-10-26 16:48:05
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answer #5
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answered by Afterglow 2
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Attends ! j'attrape mon Karcher !
2006-10-26 16:41:33
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answer #6
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answered by DocJo 3
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Violences gratuites et contre-productives
2006-10-26 16:27:39
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answer #7
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answered by biva l 1
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ouais... Ils ne sont pas les seuls au monde à avoir vécu ce genre de misère, heureusement que la révolte intérieure existe aussi... Lephénomène de groupe, çà commence à coûter très cher à la société...
Peut-être que certains veulent bien parler avec eux, tant mieux, mais l'image des banlieus s'est lourdement détérioré depuis, mais aussi celles des immigrés ou fils, etc, d'immigrés...
çà fait phénomène à contre-sens...
2006-10-26 16:26:24
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answer #8
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answered by chamois d'or 5
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Les émeutes de 2005 dans les banlieues françaises sont des violences urbaines qui ont commencé à Clichy-sous-Bois le 27 octobre 2005 puis se sont répandues dans un grand nombre de banlieues pauvres à travers la France. L'état d'urgence a été déclaré le 8 novembre 2005, puis prolongé pour une durée de 3 mois. Au 17 novembre, la police déclare être revenue en situation normale.
Elles ont essentiellement pris la forme d'incendies criminels et de jets de pierres contre les forces de l'ordre. Dans certains cas, ces événements se sont transformés en émeutes opposant plusieurs centaines de personnes dans des quartiers de banlieues dits "sensibles" contre les forces de police françaises, avec parfois des tirs à balles réelles contre les policiers.
Le 3 novembre au matin, on comptabilisait 315 véhicules brûlés et 29 arrestations à Clichy-sous-Bois et d'autres quartiers proches. Au soir du 4 novembre, les affrontements continuent et le climat est toujours aussi tendu avec un certain apaisement à Clichy-sous-Bois (93), point de départ de ces émeutes. Les émeutes se sont ensuite étendues à d'autres quartiers de Seine-Saint-Denis, puis aux autres départements de l'Île-de-France. Des actes de vandalismes puis des émeutes sont ensuite apparus dans d'autres villes de province (Rouen, Dijon, Marseille,Montbéliard et sa banlieue, Lille, Toulouse, Strasbourg, Pau et d'autres). La nuit du dimanche 6 au lundi 7 novembre fut la plus active avec 1 408 véhicules brûlés, 395 personnes arrêtées et des agitations et vandalismes en nombre croissant dans les villes provinciales. À partir du mardi 8 novembre, le bilan des destructions de chaque nuit est régulièrement en baisse.
Ensemble, ces trois semaines de violence urbaine sont les plus importantes agitations en France depuis mai 1968.
2006-10-26 17:39:52
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answer #9
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answered by boudj 3
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Ça fait plus de 30 ans que les sociologues mettaient en garde les politiques sur les conséquences de l'urbanisation démentielle
débouchant sur la création de ghettos et depuis 1973 le chômage ne faisant qu'augmenter ,il était fatal que ça pète !
La gauche n'ayant rien fait , la situation est sans issue et risque
d'avoir des effets que personne ne peut prévoir .La télé ne fait qu'
accentuer les frustrations en donnant le spectacle de quelques réussites isolées pour ces jeunes qui ont bien compris qu'ils sont hors- jeu.
2006-10-26 17:32:45
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answer #10
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answered by Myrdin 5
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