gare au gorille!!
2006-10-23 10:59:36
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answer #1
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answered by Pulsar 6
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Elle est à toi, cette chanson,
Toi l'Auvergnat qui sans façon
M'avais offert un bout de pain
Quand dehors, il faisait faim ! (un bout de bois, qand dehors il faisait froid.. etc...)
Il y en a bien d'autres mais ces vers là sont le symbole de la solidarité, et de la reconnaissance. Il n'y a pas que des "salauds" de riches et des "enfoirés" de pauvres.
Latnach
2006-10-27 11:30:00
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answer #2
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answered by latnach 5
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Car le juge, au moment suprême,
Criait : "Maman !", pleurait beaucoup,
Comme l'homme auquel, le jour même,
Il avait fait trancher le cou.
(Le gorille)
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et Hécatombe
Au marché de Briv'-la-Gaillarde
A propos de bottes d'oignons
Quelques douzaines de gaillardes
Se crêpaient un jour le chignon
A pied, à cheval, en voiture
Les gendarmes mal inspirés
Vinrent pour tenter l'aventure
D'interrompre l'échauffourée
Or, sous tous les cieux sans vergogne
C'est un usag' bien établi
Dès qu'il s'agit d'rosser les cognes
Tout le monde se réconcilie
Ces furies perdant tout' mesure
Se ruèrent sur les guignols
Et donnèrent je vous l'assure
Un spectacle assez croquignol
En voyant ces braves pandores
Etre à deux doigts de succomber
Moi, j'bichais car je les adore
Sous la forme de macchabées
De la mansarde où je réside
J'exitais les farouches bras
Des mégères gendarmicides
En criant: "Hip, hip, hip, hourra!"
Frénétiqu' l'un' d'elles attache
Le vieux maréchal des logis
Et lui fait crier: "Mort aux vaches,
Mort aux lois, vive l'anarchie!"
Une autre fourre avec rudesse
Le crâne d'un de ses lourdauds
Entre ses gigantesques fesses
Qu'elle serre comme un étau
La plus grasse de ses femelles
Ouvrant son corsage dilaté
Matraque à grand coup de mamelles
Ceux qui passent à sa portée
Ils tombent, tombent, tombent, tombent
Et s'lon les avis compétents
Il paraît que cette hécatombe
Fut la plus bell' de tous les temps
Jugeant enfin que leurs victimes
Avaient eu leur content de gnons
Ces furies comme outrage ultime
En retournant à leurs oignons
Ces furies à peine si j'ose
Le dire tellement c'est bas
Leur auraient mêm' coupé les choses
Par bonheur ils n'en avait pas
Leur auraient mêm' coupé les choses
Par bonheur ils n'en avait pas
2006-10-23 12:09:23
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answer #3
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answered by zahra الزهراء 7
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En ce temps là je vivais dans la lune
Les bonheurs d'ici bas m'étaient tous défendus
Je semais des violettes et chantais pour des prunes
Et tendais la patte aux chats perdus.
2006-10-28 03:13:27
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answer #4
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answered by Anonymous
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les jeunes qui ce bécote sur les bancs publique on un petit aire bien sympathique.
2006-10-27 08:32:39
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answer #5
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answered by STANIS 7
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CHANSON POUR L’AUVERGNAT
Elle est à toi cette chanson,
Toi, l’Auvergnat qui, sans façon,
M’a donné quatre bouts de bois
Quand, dans ma vie, il faisait froid,
Toi qui m’a donné du feu quand
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
M’avaient fermé la porte au nez…
Ce n’était rien qu’un feu de bois,
Mais il m’avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
À la manièr’ d’un feu de joi’.
Toi, l’Auvergnat, quand tu mourras,
Quand le croqu’-mort t’emportera,
Qu’il te conduise, à travers ciel,
Au Père éternel.
Elle est à toi cette chanson,
Toi, l’Hôtesse qui, sans façon,
M’a donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie, il faisait faim,
Toi qui m’ouvris ta huche quand
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
S’amusaient à me voir jeûner…
Ce n’était rien qu’un peu de pain,
Mais il m’avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
À la manièr’ d’un grand festin.
Toi, l’Hôtesse, quand tu mourras,
Quand le croqu’-mort t’emportera,
Qu’il te conduise, à travers ciel,
Au Père éternel.
Elle est à toi cette chanson,
Toi, l’Étranger qui, sans façon,
D’un air malheureux m’a souri
Lorsque les gendarmes m’ont pris,
Toi qui n’a pas applaudi quand,
Les croquantes et les croquants,
Tous les gens bien intentionnés,
Riaient de me voir amené…
Ce n’était rien qu’un peu de miel,
Mais il m’avait chauffé le corps,
Et dans mon âme il brûle encor’
À la manièr’ d’un grand soleil.
Toi, l’Étranger, quand tu mourras,
Quand le croqu’-mort t’emportera,
Qu’il te conduise, à travers ciel,
Au Père éternel.
2006-10-23 17:31:48
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answer #6
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answered by Dany 7
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Par les gosses battus, par l'ivrogne qui rentre
Par l'âne qui reçoit des coups de pied au ventre
Et par l'humiliation de l'innocent châtié
Par la vierge vendue qu'on a déshabillée
Par le fils dont la mère a été insultée
Je vous salue, Marie.
2006-10-23 11:15:42
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answer #7
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answered by @ηgiε 7
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Le temps ne fait rien à l'affaire ,quand on est con , on est con !!!!
2006-10-23 11:05:05
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answer #8
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answered by Florence 4
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cheval blanc
2006-10-29 07:39:54
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answer #9
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answered by Sherka 1
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C'est vrai qu'ils sont plaisants tous ces petits villages
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est être habités
Et c'est être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts
La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
2006-10-23 11:10:17
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answer #10
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answered by monia 3
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Celui-là:
J' lui en ai bien voulu, mais à présent
J'ai plus d'rancune et mon cœur lui pardonne
D'avoir mis mon cœur à feu et à sang
Pour qu'il ne puisse plus servir à personne
Qu'est ce que c'est beau...
2006-10-23 11:06:59
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answer #11
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answered by Breizhonat 6
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