J'apprécie ta question, car elle m'incite à refléchir sur les notions de "conscience individuelle", "conscience collective", "société", "civilisation", "communauté" et "colonie".
D'abord, tout dépend de la culture, du peuple ou de la nation: de quelle société en particulier?
La Société en général ne signifie pas grand chose pour moi. Ce terme généraliste ne correspond à rien de concret, étant donné la diversité des cultures chez les êtres humains.
Les scientifiques considèrent qu'une fourmi isolée n'a pas de conscience individuelle. Et d'ailleurs, les fourmis ne recherchent pas la solitude. Elles forment une colonie (pas une société).
L'être humain est généralement doté d'une conscience individuelle. Il est aussi généralement doté d'un instinct grégaire.
Une communauté d'êtres humains constitue une société, non pas une colonie. Chaque élément de cette communauté a besoin de se ménager son propre espace vital, tout en préservant et développant ses échanges avec les autres membres de la communauté.
Je ne vois donc rien de paradoxal dans ce comportement. Il est simplement typique d'une civilisation.
Une fourmi n'éprouve pas le besoin de protéger son intimité, contrairement à la plupart des êtres humains.
Être humain: vie privée + vie sociale;
Fourmi: vie sociale seulement.
Cela me fait penser accessoirement aux personnes embrigadées dans des "sectes": elles semblent abandonner leur conscience individuelle au profit d'une conscience communautaire fermée. Secte = tentative inconsciente de créer une colonie humaine? Après tout, on y trouve bien des "pseudo-rois" et des "pseudo-reines", comme dans une ruche d'abeilles...
2006-10-22 03:57:57
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answer #1
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answered by Axel ∇ 5
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Mais la vie est un paradoxe continuel.......
Et aimer côtoyer les autres n'empêche pas d'apprécier par moment la solitude et le confort douillet de son petit nid....
2006-10-22 10:01:46
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answer #2
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answered by Emma 6
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l'existentialisme est un humanisme (JP Sarthe)
2006-10-23 06:32:04
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answer #3
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answered by jin tha 2
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Pas tous les hommes!!! Les occidentaux en choquent beaucoup!
2006-10-23 05:09:17
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answer #4
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answered by kollomb 4
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aurais tu oublié que l'homme est un animal avec encore quelques instincts : notamment celui du territoire...
la raison ne nous pousse pas à accumuler
et nous portrait plutôt à privilégier l'autre au matériel.
Mais la recherche de la sagesse ne réside t elle justement
pas dans l'apprentissage du dépouillement
et le don de soi aux autres ?
2006-10-22 17:26:33
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answer #5
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answered by marie france 5
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J'aime la pluie et le soleil, mais pas en même temps quoique les arcs en ciel stimulent aussi mon humeur dans une direction qui peut changer au fil du temps; de là à faire de moi un être paradoxal, cela appartient à celui qui juge s'il désire définir et classifier.
Je pense que l'on peut apprécier une chose et son contraire, au fond aimer les choses, les gens et les situations comme elles se présentent.
2006-10-22 11:38:02
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answer #6
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answered by ouamala 2
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l'homme est un être limité : il ne peut pas avoir toute la société dans sa maison !!
2006-10-22 11:09:36
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answer #7
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answered by Anonymous
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pas tous, il y en a qui prennent femme achètent une maison et prennent racine!
la nouvelle jeunesse étudie, jusque 30 ans, prend le sac a dos, et vas s'installer ou l'opportunité se présente!
2006-10-22 10:54:59
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answer #8
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answered by bijou 6
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L'homme n'est pas un paradoxe mais un être complet, et en tant que tel, il a parfois besoin de ses frères les hommes afin de mieux s'en sortir dans la vie, d'apprendre et d'évoluer, et consacre le reste du temps à constuire une famille qui donnera de nouveaux hommes, ainsi qu'à sa propre évolution intellectuelle afin d'avoir quelque chose à transmettre (qui fera avancer le shmilblick).
2006-10-22 10:46:57
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answer #9
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answered by elle 7
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L'homme est un animal.
Un animal se bat pour défendre ses femelles, ses biens et ses ressources. Contre ces animaux étrangers qui viennent du lointain et qui lui font peur
L'homme a fait pareil. Un jour un homme a pissé autour d'une surface qu'il a appelé son territoire et a défendu aux autres de s'en approcher par peur. Il refuse l'étranger à sa famille.
Ça a formé les frontières des maisons....et des pays
2006-10-22 10:12:45
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answer #10
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answered by U 6
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