Pour compléter la réponse de C Jay. Oui la pyridine est une base, de pka = 5 environ. Elle peut jouer le rôle de catalyseur nucléophile dans certaines réaction. Elle est impliquée dans des réactions où elle intervient en tant qu'électrophile (Substitution nucléophile),dans le cas où elle est substituée par de bon groupements partants, l'aromaticité étant conservée au cours de la réaction.
La pyridine a des inconvénients non négligeables. C'est une amine (une imine plus exactement) donc elle ne sent pas bon du tout et il est donc très désagréable de la manipuler. même sous Hotte... Il faut souvent la distiller avant toute utilisation pour éliminer l'eau qu'elle aurait pu capter, surtout si on souhaite ensuite travailler en milieu anhydre...La pyridine peut se synthétiser par la méthode de Hantzsch. Ne me demande pas les détails du mécanisme, je ne le connais pas...
2006-10-21 09:43:59
·
answer #1
·
answered by pimousse 5
·
1⤊
1⤋
may be dur.
2006-10-25 07:52:45
·
answer #2
·
answered by ouimai 7
·
0⤊
0⤋
1. Propriétés Physiques
Aspect : liquide Couleur : incolore
Odeur : caractéristique désagréable pH : environ 8,5 pour une solution aqueuse à 15 g/l (20°)
Température de fusion : – 41°C Température d’ébullition : environ 115°C
Température d’auto-inflammation : 480°C Point d’éclair : 17°C
Limites d’explosivité dans l’air :
Inférieure : 1,7 Vol% Supérieure : 10,6Vol%
Masse moléculaire : 79,1 Masse volumique : (20°C) : 0,98 g/cm3
Pression de vapeur : ( 20°C ) 20 mbar
Solubilité dans l’eau ( 20°C ) soluble Viscosité dynamique: ( 20°C ) 0,95 mPa*s
2. Stabilité et réactivité
Conditions à éviter : Fort réchauffement
Matières à éviter : fluor, composés halogène-halogène, chromates/perchromates, CrO3, acide nitrique, azote oxydes, soufre oxydes, anhydrides.
Produits de décomposition dangereux : Aucun.
Autres informations : hygroscopique. Peut exploser avec l’air sous forme de vapeur/gaz
2006-10-22 14:01:50
·
answer #3
·
answered by Anonymous
·
0⤊
0⤋
La pyridine est surtout utilisée en synthèse organique comme base non nucléophile, le plus souvent pour piéger de l'acide chlorhydrique qui se forme au court de la synthèse. Elle peut également être utilisée comme solvant ce qui est fortement déconseillé car c'est un produit toxique réputé pour rendre les hommes stériles...
La synthéser n'a que peut d'intérêt vu que ce produit est diponible commercialement pour un prix plus que raisonable.
2006-10-21 13:55:35
·
answer #4
·
answered by CJay 6
·
0⤊
0⤋
C'est une molécule essentiellement utilisée en chimie organique pour ses propriétés basique et nucléophile, voire éventuellement comme un solvant.
Etant une molécule aromatique semblable au benzène avec ses 6 électrons délocalisés, elles peut réagir suivant la plupart des réactions typiques des noyaux aromatiques : alkylations, acylations, chloration, etc.
2006-10-21 13:09:19
·
answer #5
·
answered by Moke 2
·
0⤊
0⤋
Résumé / Abstract
Pour synthétiser des modèles photosynthétiques, nous avons essayé de lier les porphyrines par des espaceurs (de type phényle, biphényle et pyridine) positionnés non pas en position périphérique comme pour la plupart des exemples de la littérature, mais par des espaceurs positionnés sur le métal central de la porphyrine. Nous avons utilisé des aryl-Co-porphyrines obtenues par réaction du lithien ou du magnésien correspondant, sur une porphyrine de cobalt(III). Seul un sandwich a été obtenu, le 4,4'-di(CoTPP)-biphényle. Nous n'avons pas pu préparé les analogues avec l'espaceur phényle et pyridine, mais nos travaux nous ont permis d'observer et d'étudier de nouvelles réactions fort intéressantes. Nous avons étudié d'abord la substitution de ligands carbonés sur des porphyrines de cobalt(III) par réaction des organolithiens et des organomagnésiens. Nous avons mis en évidence l'intermédiaire possible d'une telle réaction avec la description de complexes anioniques de type [di(R-éthynyl)-CoTPP][+](LiL[n])[-] (R = phényle, triméthylsilyle, H). Nous avons ensuite étudié des réactions d'alkylation par des lithiens de porphyrines métallées et N-substituées menant à des porphyrines alkylées, des chlorines substituées et des chlorines substituées et hydroxylées. La même réaction appliquée sur des porphyrines bases, substituées ou non, a abouti à la préparation de chlorines et de phlorines ; ces dernières sont rarement décrites dans la littérature. Enfin, nous avons pu montrer l'efficacité de la réduction des porphyrines N-substituées en phlorines N-substituées par le borohydrure de sodium ou la tosylhydrazine dans des conditions douces
2006-10-21 09:52:48
·
answer #6
·
answered by goupil022 3
·
0⤊
0⤋
Aspect : liquide
Couleur : incolore
Odeur : caractéristique désagréable
pH (à 20 °C) : environ 8,5 pour une solution aqueuse à 15 g/l
Point de fusion : – 41 °C
Point d'ébullition : environ 115 °C
Température d’auto-inflammation : 480 °C
Point d'éclair : 17 °C
Limites d’explosivité dans l’air :
inférieure : 1,7 vol%
supérieure : 10,6 vol%
Masse moléculaire : 79,1
Masse volumique (à 20 °C) : 0,98 g/cm3
Pression de vapeur (à 20 °C) : 20 mbar
Solubilité dans l’eau (à 20 °C) : soluble
Viscosité dynamique (à 20 °C) : 0,95 mPa*s
En cas de contact avec les yeux, laver immédiatement et abondamment avec de l’eau et consulter un spécialiste. Après contact avec la peau, se laver immédiatement et abondamment avec de l’eau.
La pyridine est un composé chimique aromatique de formule brute C5H5N, facilement inflammable et nocif par inhalation, par contact avec la peau et par ingestion.
La pyridine est un liquide limpide avec une désagréable odeur (putride et évoquant le poisson).
On trouve cette substance dans le goudron de charbon d'os, le goudron de houille et le goudron à distillation lente, dans les huiles pyrogénées d'origines diverses, les huiles des schistes bitumineux ainsi que dans l'huile de café. La synthèse de la pyridine s'opère par lavage de goudron de houille au moyen d'acide sulfurique dilué, la séparation étant ensuite effectuée à l'aide d'alcalis.
2006-10-21 09:08:32
·
answer #7
·
answered by salma 1
·
0⤊
0⤋