obeir est-ce perdre sa liberté?

Answer 1

oui, mais obeir à qui? parfois, obeir sert à garder sa liberté,

Answer 2

Pas si ton obéissance concorde avec ton envie.

Answer 3

on n'obéit toujours qu'à soi lorsqu'on est libre... et ce n'est pas si simple...

Answer 4

obéir si on est d'accord est un chemin qui s'ébauche côte à côte, il y a liberté si le choix est possible.
Obéir sous la contrainte est une perte totale de liberté, mais alors faut il se rebeller !

Answer 5

non je pensespas sauf si tu dois obeir sous la contrainte

Answer 6

en quelques sorte oui

Answer 7

Il s'agit de se demander si la liberté, c'est faire ce que l'on veut ou si on peut être libre tout en abéïssant à des lois?

Pour ton plan, je te conseille de jouer sur le sens de liberté.

- si la liberté, c'est l'absence de contraintes, alors elle est incompactible avec l'obéïssance
- si la liberté, c'est la liberté telle qu'elle est exposée dans la loi, alors elle doit être couplée à des lois. L'obéïssance serait donc même une condition nécessaire à la liberté.
- cas de la société parfaite : chacun se conduit de manière responsable. Tout le monde est libre et aucune loi n'est nécessaire. Mais dans ce cas, on obéït à ses propres lois.

Pour la grande majorité de la population, la société et ses lois ne sont qu'un ensemble de contraintes, construit dans le but d'écraser la volonté individuelle et de rendre esclaves les individus qui la composent. Le propre de l'être humain semble être de toujours s'apitoyer sur son sort, quel qu'il soit; mais le propre du philosophe est de réfléchir et de juger si ce même être humain a bien raison de s'apitoyer... C'est ce qu'a tenté de faire Jean-Jacques Rousseau en analysant notre société et les lois auxquelles nous sommes soumis. Suite à ses réflexions, il est arrivé à dire qu'«obéir aux lois, c'est être libre», citation qui en surpris sûrement plusieurs, puisqu'elle en surprend encore beaucoup de nos jours.

Answer 8

Obéir aux lois de la nature, manger, dormir boire, grandir, aimer, se protéger du froid, du chaud..., n'est pas contraire à la liberté, ni la preuve que l'on est libre, c'est affaire de déterminisme, en revanche la connaissance de la loi naturelle son contournement pour atteindre un objectif peut constituer un acte libre, je crois que l'exemple du bateau à voile illustre bien l'idé. Imaginons un bateau à voile, un vent contraire et mon objectif traverser une étendue. Si j'ai une connaisssance des vents je pourrai par des bords successifs arriver à l'endroit que je me suis fixé. Ma connaissance des lois naturelles m'aura permis d'atteindre mon but et donc d'acquérir une certaine liberté.
L'homme a dominé la nature par la connaissance puis l'exploitation de grands principes qui régissent le monde. La question aujourd'hui serait comment le rendre encore plus libre en s'affranchissant des inhibitions qui le rendent esclave de son inconscient. Je crois que la psychanalyse est une avancée, comme le sont aussi toutes les sciences humaines. Mais il reste encore pas mal de travail avant que nous puissions avoir une libération intérieure à l'image de celle que nous avons connu grace à la technique.

Answer 9

CELA DEPEND EVIDAMMENT DE L AGE ET DE LA MATURITE DE LA PERSONNE LA REGLE PREMIERE CHEZ UN ENFANT ETANT L OBEISSANCE A L ENSEIGNEMENT QUE LUI INCULTE SES PARENTS POUR UNE PERSONNE ADULTE CELA SE PRESENTE TOUT A FAIT DIFFERAMENT ET CELA DEVIENS ALORS UNE PERTE DE LIBERTE VOIR DE LA SOUMISSION,? NOUS AVONS TOUS DROIT A NOS LIBERTE

Answer 10

Que signifie obéir ? à qui ? à quoi ?

Si c'est obéir aux règles et aux lois, eh bien c'est être libre pour moi.

Ainsi obéir aux règles de conduite sur la route est se sentir libre car il n'existe pas le stress et l'angoisse de se faire arrêter par exemple. En même temps c'est respecter les autres usagers de la route.

Par contre, obéir à un ordre inepte est contraire à la liberté.

Tout est, à mon sens, dans la pédagogie. Si l'on explique correctement à un individu ce pourquoi on lui demande d'agir de telle façon, obéir ne sera pas une contrainte, sauf si on est en danger comme dans une guerre où là, chacun défend sa peau.

De jeunes appelés pdt la guerre d'Algérie ont été devant ce dilemme, tuer (assassiner ?) de sang-froid un "ennemi" sinon c'est lui qui te tueras...
Que peut la pédagogie dans de telles circonstances ?

La liberté c'est le respect des lois