welcome au club ! mais un conseil secoue toi un peu, va voir un film idiot mais rigolo, va au resto, sors et çà ira peut être mieux !
2006-10-17 21:49:37
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answer #1
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answered by shujin 7
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tu es déjà déprimé ! mais dans le fonds de toi tu sais ce qui te déprime ! et évacue le ! car tu peux sombrer dans la dépression qui est plus grave !
2006-10-18 05:28:11
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answer #2
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answered by Satani le Vampire du Cosmos ! 5
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Quand tu n'as plus envie de te regarder dans un miroir !
2006-10-18 05:03:45
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answer #3
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answered by Anonymous
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fais du sport, sors, claque un peu d'oseil, sors toi une petite nana,
fume, écoute de la bonne musique, lis de bons bouquins, et si tu n'as pas de partenaire sexuel, masturbe toi !
2006-10-18 04:59:30
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answer #4
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answered by Anonymous
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Les symptômes décrits font effectivement penser à une déprime.
Solution : La méthode Dany Boon. Fermer les poings et lever les deux pouces en l'air en chantant "Je vais bien, tout va bien". Si ça ne marche pas, visite chez le toubib avant que la déprime ne se transforme en dépression.
2006-10-18 04:55:08
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answer #5
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answered by Bouzou 6
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Le retentissement de la symptomatologie dépressive
Comment la dépression est-elle vécue par la famille du patient ? Comment en arrive-t-on parfois à la désinsertion sociale ? Quelle est la place spécifique du médecin du travail ? Comment évaluer l’aptitude à un poste donné ?
Comment la dépression est-elle vécue par la famille du patient ?
La dépression peut constituer un symptôme révélateur du fonctionnement (dysfonctionnement…) familial. Dans certaines situations, le thérapeute peut être amené, non seulement à diagnostiquer un état dépressif, mais aussi à mettre en évidence l'existence d'un environnement familial pathogène. Dans ces circonstances, la position dépressive est le seul moyen de se soustraire à un milieu devenu trop insupportable.
Il est essentiel de repérer ces conjonctures avant d'entreprendre une prise en charge qui serait vouée à l'échec si elle visait uniquement la personne déprimée.
En dehors de tout conflit conjugal et/ou familial préexistant, il est indéniable que la dépression d'un des membres est un élément déstabilisant au sein d'une famille. On constate une importante détresse psychologique chez le conjoint.
La baisse de la libido fait partie du tableau clinique de la majorité des états dépressifs majeurs, mais la plupart des patients déprimés ne les rapportent pas spontanément .
Le malade ne s'en plaindra que lorsqu'il ira mieux et retrouvera un élan érotique qui peut être contré par les effets secondaires de certains médicaments.
Les enfants de parents déprimés présentent plus souvent des troubles psychiques que les groupes témoins.
Traiter un déprimé c’est aussi aider la famille.
Comment en arrive-t- on parfois à la désinsertion sociale ?
Une dépression peut conduire à une désinsertion sociale, surtout quand elle n’est pas traitée. L’enchaînement de l’absentéisme, des difficultés financières, professionnelles et conjugales avec apparition d’un endettement y contribuent.
On n’attire pas suffisamment l’attention des praticiens sur ces dommages sociaux qui font souvent partie de la dépression.
Quel est le rôle spécifique du médecin du travail ?
Depuis 1946, le médecin du travail est amené à rencontrer annuellement tous les salariés actifs (secteur public ou privé) que ce soit dans le cadre de la "visite médicale" ou lors de ses visites en entreprises. Le médecin du travail a donc une place privilégiée pour le dépistage de la dépression.
Il existe des situations qui semblent spécifiques à la médecine du travail, d’où :
L’identification d'entités cliniques - dépression - qui pourraient être imputées au milieu professionnel ;
L'éventuelle existence de "populations à risque", tels que les enseignants, les forces de l'ordre….
L’évolution des mentalités tend vers la reconnaissance du rôle pathogène d'agressions en tout genre, en particulier en milieu professionnel (victimologie). Dans ce contexte, des concepts comme celui de "harcèlement moral" engagent le médecin du travail. En effet, le monde du travail est mis en accusation de façon de plus en plus explicite. Le fonctionnement (dysfonctionnement ?) de l'entreprise ne serait qu'un révélateur d'une situation générale. Il ne ferait que refléter la pression sociale environnante.
Des jugements récents reconnaissant cette causalité ont été très médiatisés et ont permis une prise de conscience collective, autant sur l'ampleur du phénomène que sur le vide juridique existant en la matière.
Ceci soulève la question incontournable de l'existence de maladies professionnelles psychiques.
Deux étapes concomitantes sont indispensables pour parvenir à une meilleure collaboration entre les différents intervenants :
La mise en commun de l'information concernant l'état de santé du sujet, ainsi que les caractéristiques et circonstances de son exercice professionnel ;
Une meilleure spécification des rôles de chacun et des étapes d'intervention.
Le suivi du salarié dépressif en milieu de travail peut amener le médecin à prononcer des limitations à l’aptitude médicale.
La rémission de la symptomatologie dépressive n'est pas le seul élément à prendre en compte lors de la reprise du travail. La poursuite d'un traitement psychotrope est de plus en plus habituelle chez les personnes qui renouent avec leur activité professionnelle après une dépression. De ce fait l'évaluation d’éventuels effets secondaires sur la vigilance devient incontournable, tout particulièrement lorsque le poste de travail implique la manipulation de machines, conduite d'engins, etc.
Le retour d'un patient au travail, après une expérience dépressive, confronte tous les intervenants, y compris les collègues de travail, à la question de la place de l'individu dans l'entreprise, dans la collectivité.
On observe souvent des dynamiques de groupe très diverses qui vont jouer un rôle déterminant dans cette réintégration. Cela peut aller de la solidarité totale au rejet complet.
Enfin, dans le cadre du retour ou du maintien à l’emploi, trop souvent les différents acteurs de santé (psychiatres, médecins généralistes, médecins conseils de Sécurité Sociale) méconnaissent la réalité des exigences de l’entreprise où le médecin du travail se doit d’intervenir en utilisant ou non les différentes aides au reclassement.
Dans le contexte actuel le rôle du médecin du travail ne peut plus se limiter aux questions d'aptitude - inaptitude. La prise en charge de la dépression en milieu professionnel implique d'un côté la prise en compte de facteurs psychopathologiques, familiaux, environnementaux et même juridiques, et de l'autre l'articulation avec les médecins généralistes, les psychiatres et les employeurs. Il s'agit donc d'un réel défi que les acteurs de la médecine du travail se proposent de relever avec l'ensemble des intervenants du monde de la santé.
2006-10-18 04:53:23
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answer #6
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answered by algi 2
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C'est peu etre juste de la morosité passagere en tout cas c'est une bonne question...
Cherche ce k'il te manque, c'est peu etre la solution
2006-10-18 04:53:12
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answer #7
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answered by Olive 5
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Quand tu te sens souvent triste et que tu n'as plus goût à rien.
2006-10-18 04:50:31
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answer #8
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answered by Lilith, mi-ange mi-démon 7
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Tu viens d'énumérer ce que je voulais te répondre. C'est à tout ce que tu dis qu'on sait. Bienvenue au club des dépressifs.
2006-10-18 04:47:01
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answer #9
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answered by Anonymous
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désolé
me ne faut jamais mettre les choses à coeur
2006-10-21 08:48:14
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answer #10
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answered by Rama Lik 4
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