pourquoi les musulmans reconnaisse jésus et pas les juifs?

Answer 1

Que d'ignorances!

Je me rends compte à quel point une culture de potins et de ragots est largement répandue par la télé. Et les JTs qui nous montrent les méchants musulmans barbus agressifs...etc et les gentils "tous les autres". Tout devient blanc ou noir.

J'ai l'impression que la question est posée a des enfants de CP qui donnent leur avis tellement le gouffre d'ignorance est profond. Désolé c'est mon impression.

1 ) Allah est la traduction arabe de Dieu.
2 ) Jesus est un prophete comme Mohamad
3 ) I'slam' veut dire en traduction soumission à Dieu.
Donc selon les mu'Slims', c a d les pratiquants de l'islam, toute religion antérieure à l'Islam et descendants de livres saints Bible Thorah et Evangile, est reconnue comme étant une soumisson à Dieu.
Donc selon les muslims(ou musulmans), Jesus était soumis à Dieu, donc musulman, Moîse, Noé, Abraham étaient donc aussi musulmans.

Pour note les principaux prophetes musulmans sont :
- Adam
- Noé (Nûh)
- Henoch, père de Mathusalem
- Abraham (Ibrahim)
- Jacob
- David (Dâ'ûd, qui tua Goliath)
- Salomon (Sulaymân)
- Moïse (Moussa)
- Elie (Imran ou 'Imrân, grand-père de Jésus, père de Marie)
- Jésus (Issa)
- Zacharie (Zakâriyâ', père de Jean-Baptiste)
- Jean-Baptiste (Yahyâ)
et le dernier en date Mohamad.

Answer 2

parce que les musulmans reconnaisse tous les prophetes.

Answer 3

Dans le Coran on parle de Jésus et on sait qu'Il est nait de la Vierge Marie , dans le Coran on dit aussi que Jésus est réssucité des morts. Les juifs ne croient pas en Jésus et Lui même disait :" nul n'est prophète dans son pays" Les juifs attendent toujours le Messie !!! Mais Il est déjà venu et ils ne l'ont pas reconnu

Answer 4

rien a rajouté après davidcha

Answer 5

parce que l'islam s'inscrit dans la continuité de la thora et de la bible et reconnaissent forcement tout ce qui a précédé. Sauf que pour eux, Jesus est un prophète et pas le fils de dieu

Quand aux juifs, la thora ne parle pas de Jésus puisque il n'est né que près de 500 ans après

Answer 6

Pour les Chrétiens et les Musulmans (selon des modalités qui diffèrent, il est vrai), Jésus est celui qui revient à la fin de l'humanité pour juger les hommes.

Les Juifs, peuple élu, est celui qui est en attente du Messie (celui qui revient à la fin du monde). l est le peuple annonciateur de ce Messie.

J'ai tendance à croire que ce status particulier du peuple juif étant lié à cette annoce du Christ messie, il disparait une fois l'annonce faite. En effet, le Messie une fois annoncée, le peuple juif perd son status. Du coup, pour conserver ce status particulier, il se peut que ce peuple aie renoncé à reconnaître Jésus (Aïssa en arabe) comme étant le Messie afin de garder son status. Ce qui explique qu'il le "vende" à Pilate afin qu'il soit cruxifié.

Answer 7

Les musulmans ne reconnaissent pas jésus comme LEUR prophète.

Jésus était juif et a décidé de prendre sa voie. Les siens ne l'ont pas reconnu comme messie. point barre.

Luther et les proestants ont fait pareil ensuite.
Les chiites idem.

Answer 8

peut etre parce que le Coran est posterieur a Jesus, et que la Torah a été écrite avant sa naissance.
et comme chacun sait, un livre saint n'est pas upgradable...

Answer 9

Là tu dis une connerie!
Les musulmans reconnaissent Jesus (AISSA) et Moise(Moeshin) en revanche les Juifs attendent leur messie qui n'est autre que Mahomet pour les Musulmans.
C'est tout!

Answer 10

jésus est fils de marie
http://www.air-islam.com/religions/jesus.htm
les miracles de jésus d'aprés le coran et la bible:
http://www.air-islam.com/religions/miraclesdejesus.html
"Je ne suis", répondit-il, "que l'émissaire de ton Seigneur, [venu] pour que je te donne un garçon pur." - "Comment aurais-je un garçon", demanda-t-elle, "alors que nul mortel ne m'a touchée et que je ne suis point femme?"
http://www.theologia.fr/article/index.jsp?docId=1680151
Les Juifs n'acceptent pas Jésus en tant que Messie parce que :

1) Jésus n'a pas accompli les prophéties messianiques.

2) Jésus n'a pas incarné les qualifications personnelles du Messie.

Maïmonide énonce (" Fondements de la Torah " 8, 1) :

" Les Juifs n'ont pas cru en Moïse, notre maître, à cause des miracles qu'il a exécutés. Toutes les fois que la croyance de quelqu'un s'appuie sur la contemplation de miracles, elle ne fait que traîner derrière elle des doutes, parce qu'il est possible que les miracles soient accomplis à l'aide de la magie ou de la sorcellerie. Tous les miracles que Moïse a provoqués dans le désert ont été mis en œuvre parce qu'ils étaient nécessaires, et non en tant que preuves de sa prophétie.
Il est de fait historique que Jésus n'a accompli aucune de ces prophéties messianiques.
Les Chrétiens répliquent que Jésus accomplira celles-ci lors de sa deuxième venue, mais les sources juives assurent que c'est d'emblée que le Messie accomplira ses prophéties, sans avoir besoin de venir une deuxième fois.
Jésus n'était pas un prophète. La prophétie ne peut exister en Israël que lorsque le pays est habité par la plus grande partie du peuple juif. A l'époque d'Ezra - vers l'an 300 avant l'ère commune - quand la majorité des Juifs refusa de quitter Babylone pour retourner en Israël, la prophétie prit fin avec la mort des derniers prophètes - Aggée, Zacharie et Malachie.

Le Messie doit être un descendant du côté paternel du roi David (Voir Genèse 49, 10 et Isaïe 11, 1). Or, selon la thèse des Chrétiens, Jésus est né d'une femme vierge, et donc n'avait pas de père. Il est par conséquent impossible qu'il ait pu satisfaire aux exigences d'une filiation paternelle remontant au roi David !

Le Messie conduira le peuple juif à une pleine observance de la Torah. La Torah énonce que toutes les mitswoth resteront toujours en vigueur, et que quiconque voudra changer la Torah sera aussitôt identifié comme un faux prophète (Deutéronome 13, 1-4).

Tout au long du Nouveau Testament, Jésus prend le contre-pied de la Torah et affirme que ses commandements
Le judaïsme est la seule parmi les grandes religions de monde à ne pas s'appuyer sur des " revendications de miracles " comme base de la foi. En fait, la Bible précise que D.ieu accorde parfois à des charlatans le pouvoir de réaliser des " miracles ", et ce afin de mettre à l'épreuve la loyauté des Juifs envers la Torah (Deutéronome 13, 4).

Maïmonide énonce (" Fondements de la Torah " 8, 1) :

" Les Juifs n'ont pas cru en Moïse, notre maître, à cause des miracles qu'il a exécutés. Toutes les fois que la croyance de quelqu'un s'appuie sur la contemplation de miracles, elle ne fait que traîner derrière elle des doutes, parce qu'il est possible que les miracles soient accomplis à l'aide de la magie ou de la sorcellerie. Tous les miracles que Moïse a provoqués dans le désert ont été mis en œuvre parce qu'ils étaient nécessaires, et non en tant que preuves de sa prophétie.

La Révélation au mont Sinaï, que nous avons vue de nos propres yeux et entendue de nos propres oreilles, et non comme rapportée par les témoignages de tiers... ainsi qu'il est écrit : "Hachem t'a parlé face à face..." La Torah dit aussi : "Ce n'est pas avec nos pères que Hachem a conclu cette alliance-là, mais avec nous, ceux de nous qui sommes ici aujourd'hui tous vivants." (Deutéronome 5, 3) "

L'idée catholique de la Trinité transforme D.ieu en trois parties distinctes : Le Père, le Fils et le Saint-Esprit (Matthieu 28, 19).

Cette conception s'oppose à celle contenue dans le Chema', base de la foi juive : " Ecoute, Israël, Hachem est notre D.ieu, Hachem est UN ! " (Deutéronome 6, 4). Les Juifs récitent chaque jour le Chema', ils l'écrivent sur les poteaux des portes (Mezouza), et ils se l'attachent au bras et à la tête (Tefilines). Cette affirmation de l'unicité de D.ieu est ce que l'enfant apprend à dire en premier, et elle constitue les derniers mots que le Juif prononce avant de mourir.

Selon la loi juive, l'adoration d'une divinité en trois parties est considérée comme une forme d'idolâtrie - l'un des trois péchés capitaux dont un Juif doit se garder même au péril de sa vie. Cela explique pourquoi, pendant l'Inquisition et à travers l'histoire, les Juifs ont sacrifié leurs vies plutôt que se convertir.