La ville a été bombardé sauvagement, car les Alliés pensaient (??!!) a tord que c´etait un endroit stratégique militaire. (la ville a été rasé a env. 90%!! Toutes les villes allemandes sont toutes relativement neuves, du aux bombardements de la seconde guerre mondiale.)
Les seuls mouvements que la ville aient vraiment connu en Hiver 45, c´est le flux massif de réfugiés de Prusse Orientale. Les Soviétique venaient en masse, et faisaient une peur monstre aux populations. (Certes il y avait une belle propagande, mais les Russes n´étaient pas tendres. Il y a un nombre de cas ressencé de viols assez astronomique!!)
La population locale a du fuire les territoires de l´Est (maintenant connu comme Pologne, a savoir la Silésie et la Pommeranie), en peu de temps et tout laisser derriére elle. Ces gens la ont tout perdu de leur bien. L´hiver 44 - 45 a été particulierement rude, et les gens mouraient de froid.
Il n´y avait pas assez de trains et de moyen de locomotion pour quitter la Prusse Orientale. C´était la debacle totale pour la population civile. Les gens était entassé dans des trains, roulant de nuit, et sans lumiére. (peur des attaques alliés).
Cette attaque est quasi inconnu des Alliés et des Francais. Et quand on souléve la possibilité de crime de guerre (on me fera pas croire que les Alliés ignoraient la situation du front est allemand!!), on est tout de suite catalogué partisant nazis. Les Allemands ont eu "le tord de perdre", dans le sens que tout ce que la population a vécu... ben c´est de leur faute!! (Le perdant a toujours tord!!)
2006-10-10 21:02:33
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answer #1
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answered by Allissa 6
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Le bombardement de Dresde a été le plus destructeur d'Allemagne (suivent Pforzheim et Würzburg). Les ruines subsistent encore maintenant en plein centre ville. La Frauenkirche vient à peine d'être reconstruite. A noter qu'à la manière d'un puzzle, on a utilisé les ruines qui pouvaient encore l'être.
Et je suis bien d'accord sur les copiés-collés...
2006-10-10 15:50:55
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answer #2
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answered by latsarine 2
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C'est marrant, j'en parlait ce week end avec la mère de ma copine. Elle avait une version que je ne connaissais pas. Celon un reportage qu'elle a vu, les alliés auraient tenté de monter la population contre Hitler en réalisant un bombardement sans précédent.
Moi, j'ai entendu dire que c'était surtout une vengeance après les lourds bombardements sur Londres
2006-10-10 15:48:03
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answer #3
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answered by Dave 5
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franchement, il faut arrêter le copier coller, les internautes....mdr
2006-10-10 15:39:04
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answer #4
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answered by chamois d'or 5
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Au total, en quinze heures, ce sont 7.000 tonnes de bombes incendiaires qui tombent sur Dresde, détruisant plus de la moitié des habitations et le quart des zones industrielles.
Une grande partie de la ville est réduite en cendres et avec elle environ 35.000 personnes, dont 25.000 ont été identifiées. Beaucoup de victimes disparaissent en fumée sous l'effet d'une température souvent supérieure à 1000°C.
L'évaluation actuelle de 35.000 morts (dont 25.000 corps identifiés) résulte des travaux d'une commission d'historiens mandatée par la ville de Dresde. Le chercheur allemand Jörg Friedrich, qui n'est pas tendre pour les Alliés, fait état de 40.000 morts dans son livre Der Brand (L'incendie).
Les raisons du drame
En détruisant cette ville au prestigieux passé culturel, le Premier ministre a voulu asséner le coup de grâce à l'Allemagne hitlérienne et détruire un centre industriel majeur. Il a voulu aussi détruire un noeud de communication important entre Berlin et Leipzig de façon à briser toute résistance face à l'avancée des troupes soviétiques, alors à 130 km de la ville. Selon une interprétation quelque peu malveillante, il aurait au contraire voulu montrer sa force à ses «alliés» soviétiques dans la perspective de la future guerre froide !
Après la chute du régime nazi, sous la tutelle communiste, le centre historique de Dresde a été reconstruit à l'identique à l'exception du vieux Schloss (château), toujours en travaux. Le reste de la ville a été doté de constructions modernes (Prager Strasse,...).
Le général Arthur Harris, surnommé «Harris Bomber» ou mieux «Harris Butcher» (Harris le boucher), a été anobli dès 1942. Mais après la Victoire, il est devenu le bouc émissaire pour tous les excès commis pendant le conflit. C'est ainsi qu'il fut écarté de la liste des honneurs établie par le Premier ministre Clement Attlee et sa demande d'une médaille de guerre pour le «Bomber Command» fut rejetée.
2006-10-10 15:34:12
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answer #5
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answered by Padawan 7
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Dresde réduite en cendres
Dans la nuit du 13 au 14 février 1945, la ville de Dresde est victime du plus brutal bombardement aérien de la Seconde Guerre mondiale (à l'exception de Tokyo, Hiroshima et Nagasaki).
Dès le début du conflit, le Premier ministre britannique Winston Churchill confie au «Bomber Command» de la Royal Air Force la mission de détruire les sites stratégiques de l'ennemi. Il veut de cette façon briser les défenses militaires de l'Allemagne et relever le moral de ses concitoyens, durement affecté par les attaques de l'aviation allemande sur les villes anglaises.
Le «Bomber Command» lance d'abord des attaques sur des sites stratégiques uniquement (zones industrielles et noeuds de communication). Cependant, ces attaques ciblées se révèlent de plus en plus coûteuses et inefficaces.
Le Premier ministre place alors le général Arthur Harris à la tête du «Bomber Command» et, le 14 février 1942, décide d'autoriser les bombardements massifs, étendus aux zones urbaines. Churchill espère de cette façon dresser la population allemande contre Hitler...
Escalade de la violence
Dès le mois de mai 1942, Sir Arthur Harris démontre l'efficacité des tapis de bombes incendiaires en attaquant la ville de Cologne. En août 1943, c'est le tour de Hambourg. Un an plus tard, celui de Berlin.
1,35 million de tonnes de bombes sont au total déversées sur l'Allemagne par les Anglo-Saxons. Un rapport américain estime le nombre de victimes à 305.000 morts et 780.000 blessés (*). La France occupée n'est pas épargnée. Elle reçoit 0,58 million de tonnes de bombes qui auraient causé 20.000 morts.
Les bombardements anglo-saxons atteignent leur plus grande intensité après le débarquement allié sur les plages normandes.
Toutefois, ces bombardements s'avèrent d'un coût élevé pour l'aviation anglo-saxonne. D'un raid à l'autre, 5% des équipages anglais ne reviennent pas à leur base. Autant dire que les Anglo-Saxons ne sont pas en mesure de continuer durablement dans cette voie. Et, au contraire de ce qu'espérait Churchill, les bombardements tendent à resserrer les Allemands autour de leur Führer (*).
Un drame humain sans précédent
Dresde marque le paroxysme de cette tragédie.
L'ancienne capitale du royaume de Saxe est surnommée la «Florence de l'Elbe» en raison de ses richesses artistiques et architecturales. Elle n'en subit pas moins de nombreux bombardements de la part des Anglo-Saxons d'octobre 1944 à avril 1945. Cela n'empêche pas d'innombrables civils de s'y réfugier dans les dernières semaines de la guerre, hissant sa population de 600.000 habitants à près d'un million.
Le bombardement des 13 et 14 février 1945 survient alors même que ces réfugiés tentent d'oublier les horreurs de la guerre dans un carnaval improvisé.
Au total, en quinze heures, ce sont 7.000 tonnes de bombes incendiaires qui tombent sur Dresde, détruisant plus de la moitié des habitations et le quart des zones industrielles.
Une grande partie de la ville est réduite en cendres et avec elle environ 35.000 personnes, dont 25.000 ont été identifiées. Beaucoup de victimes disparaissent en fumée sous l'effet d'une température souvent supérieure à 1000°C.
L'évaluation actuelle de 35.000 morts (dont 25.000 corps identifiés) résulte des travaux d'une commission d'historiens mandatée par la ville de Dresde. Le chercheur allemand Jörg Friedrich, qui n'est pas tendre pour les Alliés, fait état de 40.000 morts dans son livre Der Brand (L'incendie).
Les raisons du drame
En détruisant cette ville au prestigieux passé culturel, le Premier ministre a voulu asséner le coup de grâce à l'Allemagne hitlérienne et détruire un centre industriel majeur. Il a voulu aussi détruire un noeud de communication important entre Berlin et Leipzig de façon à briser toute résistance face à l'avancée des troupes soviétiques, alors à 130 km de la ville. Selon une interprétation quelque peu malveillante, il aurait au contraire voulu montrer sa force à ses «alliés» soviétiques dans la perspective de la future guerre froide !
Après la chute du régime nazi, sous la tutelle communiste, le centre historique de Dresde a été reconstruit à l'identique à l'exception du vieux Schloss (château), toujours en travaux. Le reste de la ville a été doté de constructions modernes (Prager Strasse,...).
Le général Arthur Harris, surnommé «Harris Bomber» ou mieux «Harris Butcher» (Harris le boucher), a été anobli dès 1942. Mais après la Victoire, il est devenu le bouc émissaire pour tous les excès commis pendant le conflit. C'est ainsi qu'il fut écarté de la liste des honneurs établie par le Premier ministre Clement Attlee et sa demande d'une médaille de guerre pour le «Bomber Command» fut rejetée
2006-10-10 15:37:02
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answer #6
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answered by MamieB suspendue 2 fois !.... 7
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Dresde réduite en cendres
1er septembre 1939 : la Wehrmacht envahit la Pologne
16 février 1940 : Début des hostilités en Norvège
10 mai 1940 : Hitler envahit la Belgique et la Hollande
30 juillet 1940 : bataille d'Angleterre
22 juin 1941 : Hitler attaque l'URSS
7 décembre 1941 : attaque surprise de Pearl Harbor
3-6 juin 1942 : l'aéronavale japonaise défaite à Midway
23 octobre 1942 : offensive anglaise à El Alamein
8 novembre 1942 : débarquement en Afrique du Nord
27 novembre 1942 : la flotte française se saborde à Toulon
31 janvier 1943 : reddition allemande à Stalingrad
6 juin 1944 : débarquement de Normandie
14 février 1945 : destruction de Dresde
8 mai 1945 : fin de la guerre en Europe
6 août 1945 : destruction d'Hiroshima
Dans la nuit du 13 au 14 février 1945, la ville de Dresde est victime du plus brutal bombardement aérien de la Seconde Guerre mondiale (à l'exception de Tokyo, Hiroshima et Nagasaki).
Dent pour dent...
Dès le début du conflit, le Premier ministre britannique Winston Churchill confie au «Bomber Command» de la Royal Air Force la mission de détruire les sites stratégiques de l'ennemi. Il veut de cette façon briser les défenses militaires de l'Allemagne et relever le moral de ses concitoyens, durement affecté par les attaques de l'aviation allemande sur les villes anglaises.
Le «Bomber Command» lance d'abord des attaques sur des sites stratégiques uniquement (zones industrielles et noeuds de communication). Cependant, ces attaques ciblées se révèlent de plus en plus coûteuses et inefficaces.
Le Premier ministre place alors le général Arthur Harris à la tête du «Bomber Command» et, le 14 février 1942, décide d'autoriser les bombardements massifs, étendus aux zones urbaines. Churchill espère de cette façon dresser la population allemande contre Hitler...
Escalade de la violence
Dès le mois de mai 1942, Sir Arthur Harris démontre l'efficacité des tapis de bombes incendiaires en attaquant la ville de Cologne. En août 1943, c'est le tour de Hambourg. Un an plus tard, celui de Berlin.
1,35 million de tonnes de bombes sont au total déversées sur l'Allemagne par les Anglo-Saxons. Un rapport américain estime le nombre de victimes à 305.000 morts et 780.000 blessés (*). La France occupée n'est pas épargnée. Elle reçoit 0,58 million de tonnes de bombes qui auraient causé 20.000 morts.
Les bombardements anglo-saxons atteignent leur plus grande intensité après le débarquement allié sur les plages normandes.
Toutefois, ces bombardements s'avèrent d'un coût élevé pour l'aviation anglo-saxonne. D'un raid à l'autre, 5% des équipages anglais ne reviennent pas à leur base. Autant dire que les Anglo-Saxons ne sont pas en mesure de continuer durablement dans cette voie. Et, au contraire de ce qu'espérait Churchill, les bombardements tendent à resserrer les Allemands autour de leur Führer (*).
Un drame humain sans précédent
Dresde marque le paroxysme de cette tragédie.
L'ancienne capitale du royaume de Saxe est surnommée la «Florence de l'Elbe» en raison de ses richesses artistiques et architecturales. Elle n'en subit pas moins de nombreux bombardements de la part des Anglo-Saxons d'octobre 1944 à avril 1945. Cela n'empêche pas d'innombrables civils de s'y réfugier dans les dernières semaines de la guerre, hissant sa population de 600.000 habitants à près d'un million.
Le bombardement des 13 et 14 février 1945 survient alors même que ces réfugiés tentent d'oublier les horreurs de la guerre dans un carnaval improvisé.
Au total, en quinze heures, ce sont 7.000 tonnes de bombes incendiaires qui tombent sur Dresde, détruisant plus de la moitié des habitations et le quart des zones industrielles.
Une grande partie de la ville est réduite en cendres et avec elle environ 35.000 personnes, dont 25.000 ont été identifiées. Beaucoup de victimes disparaissent en fumée sous l'effet d'une température souvent supérieure à 1000°C.
L'évaluation actuelle de 35.000 morts (dont 25.000 corps identifiés) résulte des travaux d'une commission d'historiens mandatée par la ville de Dresde. Le chercheur allemand Jörg Friedrich, qui n'est pas tendre pour les Alliés, fait état de 40.000 morts dans son livre Der Brand (L'incendie).
Les raisons du drame
En détruisant cette ville au prestigieux passé culturel, le Premier ministre a voulu asséner le coup de grâce à l'Allemagne hitlérienne et détruire un centre industriel majeur. Il a voulu aussi détruire un noeud de communication important entre Berlin et Leipzig de façon à briser toute résistance face à l'avancée des troupes soviétiques, alors à 130 km de la ville. Selon une interprétation quelque peu malveillante, il aurait au contraire voulu montrer sa force à ses «alliés» soviétiques dans la perspective de la future guerre froide !
Après la chute du régime nazi, sous la tutelle communiste, le centre historique de Dresde a été reconstruit à l'identique à l'exception du vieux Schloss (château), toujours en travaux. Le reste de la ville a été doté de constructions modernes (Prager Strasse,...).
Le général Arthur Harris, surnommé «Harris Bomber» ou mieux «Harris Butcher» (Harris le boucher), a été anobli dès 1942. Mais après la Victoire, il est devenu le bouc émissaire pour tous les excès commis pendant le conflit. C'est ainsi qu'il fut écarté de la liste des honneurs établie par le Premier ministre Clement Attlee et sa demande d'une médaille de guerre pour le «Bomber Command» fut rejetée.
2006-10-10 15:35:27
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answer #7
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answered by EDMOND WELLS 3
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