Namasté-ji
Aime ton ennemi plus que ton ami
2006-10-09 01:52:20
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answer #1
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answered by Sirius 5
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si l'adversaire tue ta femme que faut il changer?
2006-10-08 12:11:45
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answer #2
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answered by tim2fr 6
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Oui, c'est sûr que sur le papier ça fait chouette.
Encore faut-il que l'adversaire ait un coeur...
2006-10-09 08:43:17
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answer #3
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answered by Anonymous
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Il est vrai que si tu amènes ton adversaire à ta cause tu gagnes un allié et tu perds un ennemi.
Imagine en temps de guerre, plus de bataille et tout le monde qui se sert la main.
Il faut avoir le coeur pur pour arriver à le faire !
2006-10-09 07:34:44
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answer #4
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answered by Algor 3
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je te renvois à la guerre di'ak , a la guerre d'algerie. Gagné militairement et perdu par les guerillas qui se sont soulevées contre les force d'occupation
2006-10-08 13:13:56
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answer #5
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answered by Hades et Persephone 7
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Gandhi avait beaucoup de la patience
2006-10-08 12:52:22
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answer #6
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answered by Momo 7
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il faut etre Bush pour pouvoir le faire !
2006-10-08 12:39:46
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answer #7
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answered by ? 3
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La stratégie de Ghandi suppose la négociation (i.e. politique). Chaque partie ayant des intérêts spécifiques, il faut trouver l'espace menant à une entente.
Mais d'autres paramètres peuvent avoir plus d'impacts: le rapport de force (ex: puissance militaire ou économique, consensus social). Ce sont eux qui détermineront le cadre de la négociation.
Si la stratégie de Ghandi a pu mener à l'Indépendance en Inde, c'est essentiellement parce que les diverses communautés avaient déterminé un objectif commun, un ennemi commun: sortir le pays de la domination britannique. Mais une fois la Grande-Bretagne retirée, les intérêts divergents des différentes communautés (hindouistes, musulmans, shik, etc) prirent le dessus et le territoire l'Inde se fractura... car le dénominateur commun qui unifiait avait disparu et le projet de l'après-Indépendance n'avait pas fait consensus.
S'il est un principe de base de la négociation de ne pas ''écraser'' la partie adverse, ce n'est pas un absolu. Que fait-on lorsque n'existe aucun dénominateur commun ou espace de négociation? Un exemple douloureux: le nazisme! Les fondements idéologiques (supérioté raciale, conquête territoriale, mise en esclavage des peuples conquis).
2006-10-08 12:32:27
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answer #8
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answered by Sylvain 1
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"l'adversaire ne doit pas être écrasé mais gagné", je suis tout à fait d'accord, car on en tire plus de gloire...
Quant à la première partie, "changer le coeur de l'adversaire", je ne suis pas d'accord, même si ça serait tellement beau si c t possible!
Malheureusement, bien qu'étant un grand Monsieur, que j'admire et respecte, Gandhi rejoint le clan des utopistes... il a certes libéré l'Inde grace à sa lutte pacifiste, mais tous les conflits ne se règlent pas aussi noblement!
2006-10-08 12:23:06
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answer #9
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answered by Someone Over The Screen 3
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Écraser un adversaire et lui dicter sa loi voilà ce qu'on fait les alliés en 1918 et on a vu la suite...en 1939
La soif de vengeance à conduit l'Allemagne à la guerre mondiale avec un nombre inégalé d'exactions.
Voilà ce que dit Gandhi !
Voilà ce qu'il n'a pas réussi totalement également car en Inde il ne fait pas bon être musulman !
Il faudrait également envoyer la leçon à GW Bush car ce qu'il est en train de faire au moyen orient va nous conduite à une grosse chienlie internationale.
2006-10-08 12:19:28
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answer #10
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answered by Marco 3
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