Se refuser à vivre les + intenses moments de bonheur est-il une façon de se protéger des plus gds malheurs ?

Answer 1

Oui, bien sûr. Mais c'est une décision entre vivre ou se protéger des douleurs de la vie, entre aimer, risquer, se compromettre avec les autres et avec nous mêmes et ne rien risquer, voire, ne rien vivre... c'est, à mon avis, une décision entre la couvardie et la vie (le bonheur et, bien sûr, son fin certain, car tout finit, tout a son fin et son réflexe contraire, si nous étions toujours heureux nous ne saurions pas distinguer entre bonheur et malheur). On m'a dit un jour une phrase, comme un aphorisme, qui guidait celui qui l'a dit et qui se ressemble beaucoup à votre question. C'est, an anglais:«I want you to hate me before I die, because I want to know you will not cry.» (Je veux que tu me haisses avant que je meurt, puisque je veux être sûr que tu ne pleureras pas). J'avais 17 ans et j'étais amoureuse de celui qui a préferé éviter le début du bonheur pour se protéger de sa fin. Il a changé d'avis un an plus tard, mais rien n'était plus le même, on a vécu des moments d'un amour avorté l'anné avant. Je n'ai jamais oublié la Lacheté, c'est ce qui signifie pour moi faire de «Se refuser à vivre les + intenses moments de bonheur pour se protéger des plus gds malheurs» une façon de vivre. Le malheur, comme le concept du Mal, est nécessaire pour qu'on comprenne quand on a connu le bonneur, le Bien. C'est ça, la vie.

Answer 2

non, cela ne protège pas des plus grands malheurs, mais j'en fais autant, je fuis l'amour les trois quart du temps pour éviter les mêmes déceptions par la suite, sachant que je choisis toujours dans la même catégorie de traits de caractère, donc je doute de tout... mais surtout de moi-même. Et finalement j'ai vécu tellement de malheurs, que j'ai peur de vivre le bonheur et d'admettre que je peux encore vivre un grand bonheur, c'est du bonheur qu'on a peur et pas du malheur à la fin, car on a tellement l'habitude du malheur que cela fait étrange d'être heureux.

Answer 3

" fuir le bonheur de peur qu'il ne se sauve "...

Answer 4

oui sans aucun doute ms la vie en serait bien monotone, non?

Answer 5

oui, certes, tu te protèges des déceptions...
et tu passes à côté du bonheur, dommage !

Answer 6

Toc Toc !!!
Qui c'est ???
C'est le Bonheur !!
Ho Mir Du Bonheur, j'ai envie mais je peux pas car il a Mir Du Malheur qui attend à la fenêtre.
Avec du double vitrage ça isole très bien mais à force de s'isoler on finit par tout ignorer et surtout s'ignorer. Je connais, j'y suis presque ^_^.
Suffit de trouver le bon équilibre pour que ça fasse pas trop de courants d'air.. mais ça c'est une longue histoire que je vais m'empresser de vous raconter. Na je déconne hihouhaa ^_^...

Answer 7

...ou peut-être est-ce refuser leur fin, inéluctable....

Il est évident que l'on ne risque pas grand chose en restant planqué.... jusqu'au moment ou, comme le malheur, cela nous tombe dessus...
Et on se rend comlpte à quel point on se sent vivant et cette émotion là est la pire des drogues !!!

Personne n'est jamais totalement éparné, alors, autant ne pas avoir de regrets....

Answer 8

C'est certains mais je pense qu'il faut aller de l'avant et vivre à fond les bons moments que la vie nous donne et qui est sûr qu'il y aura malheur après ?? Toutes les histoires ne sont pas les mêmes

Answer 9

il y a les gens qui fuient le bonheur par peur d'être déçus et de souffrir, mais ça ne protège pas forcément des malheurs, on est jamais à l'abri de la maladie par exemple. et puis il y a ceux qui sont imperméables au bonheur, qui ne "savent" tout simplement pas sourire, crispés et austères. et il y a enfin les masochistes, ils ne font pas que se refuser le bonheur eux!!

Answer 10

non tarte a l'oignon c'est rater toute sa vie. le grand malheur de ne pas gouter a ces petites secondes "j'veux mourir malheureux pour ne rien regretter" belle phrase de balavoine '"le chanteur"