C'est vrai !!
Il y a une citation que j'adore : "celui qui oublie son passé est condamné à le revivre".
En fait, chacun de nos actes est dicté par notre connaissance des effets qui sont sensés succédés à nos actes. Ainsi, notre mémoire nous permets de nous souvenir que à tel acte succède telle conséquence.
Ce qui se passe à l'echelle personnelle se revele tout aussi exact à l'echelle historique. En réalité, chacun d'entre nous essaie d'agir en connaissance de cause et de rectifier le tir quand nos actes, la première fois, ont été des echecs.
L'oubli de certains actes ont presque toujours provoqués des réactions graves (notamment au niveau des croisades).
Allez ! Bonne continuation !
2006-10-04 03:45:17
·
answer #1
·
answered by Anonymous
·
0⤊
0⤋
L'histoire est récit d'événements: tout le reste en découle. Puisque elle est d'emblée un récit, elle ne fait pas revivre, non plus que le roman; le vécu tel qu'il ressort des mains de l'historien n'est pas celui des acteurs; c'est une narration. Comme le roman, l'histoire trie, simplifie, organise, fait tenir un siècle en une page. Spéculer sur l'intervalle qui sépare toujours le vécu et la récollection du récit amènerait simplement à constater que Waterloo ne fut pas la même chose pour un grognard et un maréchal, qu'on peut raconter cette bataille à la première ou à la troisième personne; ces spéculations peuvent donner lieu à des expériences d'esthétique amusante; pour l'historien, elles sont la découverte d'une limite. Cette limite est la suivante: en aucun cas ce que les historiens appellent un événement n'est saisi directement et entièrement. Par essence, l'histoire est connaissance par documents. Aussi la narration historique se place-t-elle au-delà de tous les documents, puisqu'aucun d'eux ne peut être l'événement; elle n'est pas un photomontage documentaire et ne fait pas voir le passé "en direct, comme si vous y étiez"
2006-10-04 11:09:31
·
answer #2
·
answered by attendrissant 4
·
0⤊
0⤋
il faut se souvenir de ses erreurs pour éviter de les renouveller,
il ne faut pas oublier ceux qui ont participé à l'histoire car ils font parties de notre famille,
et enfin on aime à découvrir tous ces artistes, écrivains, philosophes... qui ont laissé une empreinte derrière eux pour nous
Je dirai ne pas oublier; tirer des leçons du passé et enfin connaître le pourquoi des choses dont l'explication vient du passé.
2006-10-04 11:06:02
·
answer #3
·
answered by Algor 3
·
0⤊
0⤋
à mon avis l'interet de l'histoire c'est de lutter contre l'oubli de ce passé quinous est chére mais par ailleurs il faut aussi mentionner que c'est avec le passé que nous préparons mieux l'avenir car ce dernier renferme nos erreurs... que nous serons "habilité" à corriger dans le présent et le futur si nous tenons compte du passé.Pour ta dissertation,c'est simple tache juste d'etendre -tes arguments.ne te axe pas trop sur le fait que c'est pour luuter contre l'oubli.mais montre les bienfaits de l'histoire dans notre civilisation récente.
2006-10-04 11:02:40
·
answer #4
·
answered by steven 2
·
0⤊
0⤋
l'empirisme organisateur...ou comment la connaissance de l'histoire nous permet de construire l'avenir (les mêmes causes produisent les mêmes effets, surtout aux mêmes endroits). L'histoire, c'est les racines de l'arbre humain, on y comprend tout. Surtout, on y trouve l'humilité. On a tendance à se la péter parce qu'on est "modernes", mais les Grecs par exemple l'étaient bien plus que nous. le principal but de l'histoire, c'est d'organiser le futur.
2006-10-04 10:52:59
·
answer #5
·
answered by wattie 3
·
0⤊
0⤋
C'est aussi, au travers de ce vécu, nous rappeler d'où nous venons, mais aussi ce que nous retenons du positif et du négatif, se faire une idée de la mentalité des gens dans les siècles passés en comparaison du présent.
Bon courage.
2006-10-04 10:48:15
·
answer #6
·
answered by jean-pierre 6
·
0⤊
0⤋
N'oubli pas de dire aussi, qu'en plus de lutter contre l'oubli, elle offre une culture importante à qui la comprend.
2006-10-04 10:45:52
·
answer #7
·
answered by Seck-El 2
·
0⤊
0⤋