Bonjour.
il faut bien comprendre et définir le mot bonheur ici évoqué...et ne pas le confondre avec la joie ou le plaisir qu'un homme peut éprouver à un moment de sa vie....
il faut aussi bien définir le "nous"...nous en tant que citoyen, ou en tant qu'homme biologique (ce serait très réducteur), ou en tant qu'Homme conscient de son existence (et donc de son environnement), et qu'Homme croyant... Je retiendrai le "nous" en tant qu'Homme conscient de son existence et croyant pour étoffer ma réponse.
Enfin, il y a le "à tout prix"...est-ce à dire de l'argent? je ne pense pas...est-ce à dire quel qu'en soient les conséquences...? je le prendrai en ce sens.
Revenons donc à la question, en ayant mieux cerné le périmètre...
Personnellement, en tant qu'Homme, je suis conscient d emon existence et du monde qui m'entoure.
Je vis aussi avec ma part de frustration car aussi conscient de nombreuses choses qui me dépassent ou qui ne sont pas palpables pour mes sens...(la religion, l'espace temps, les sciences empiriques...)
Dans le monde "palpable" pour mes sens, je sais ce qu'est le plaisir. Instantané, bref mais mais aussi présent dans ma vie car c'est ce qui me permet de sourire à de multiples occasions. Une joile fille par exemple, ou encore une bonne bière !). Pour autant, je ne cours pas après ces instants, puisque je les apprécie seulement quand ils viennent à moi. La réponse à la question posée pourrait donc être négative.
Néanmoins, noublions pas que nous avons tous besoin de reconnaissance, au delà des besoins primaires (cf la pyramide de Maslow).Selon certaines personnes , cela peut être l'amour, la réussite professionnelle, etc...ou plusieurs choses en même temps... . Pour autant, je sais et je suis certain que même en ayant atteint cette réussite, nous sommes tous tôt ou tard amené à regarder ce qu'il faut faire pour encore être mieux... d'ailleurs ne dit-on pas : "la pelouse est toujours plus verte chez le voisin?" La joie ne nous suffit donc pas non plus.
Nous courons donc après le bonheur...car le bonheur est éternel, immuable infatigable. On ne s'en lasse pas. Oui, mais le bonheur n'existe pas pour l'Homme, car l'homme n'est pas éternel. et change aussi de caractère et de goûts au cours de son existence...le bonheur concerne le mystique. Seul le Zaratoustra de Nietsch peut savoir ce qu'est le bonheur. Moi non.
La réponse est donc OUI. D'ailleurs un grand philosophe n'a-til pas dit que l'homme est un animal religieux? Cela veut bien dire qqu'à tout prix, il cherche à atteindre une dimension qui le dépasse, la dimension dans laquelle le bonheur éternel existe....
2006-09-29 08:22:50
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answer #1
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answered by benoit30 2
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Bonheur, je te veux à tout prix,
Bonheur, je t'aurai
Où t'es tu caché,
je te cherche depuis une éternité.
Jacques Prévert :
"le bonheur est dans le pré,
cours y vite, cours y vite,
le bonheur est dans le pré,
cours y vite... il a filé."
Je pense que la fatalité n'a pas sa place dans la recherche du bonheur, le temps qui passe et disperse, oui.
Si je suis fataliste, j'aurai peu de chance de l'attraper !
Là, où je te rejoints : oui, nous cherchons tous quelque part le bonheur.
2006-09-29 09:10:33
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answer #2
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answered by marie france 5
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c'est lorsque l'on a perdu ce qui faisait notre bonheur que l'on se rend compte combien on était heureux !
2006-09-29 05:08:31
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answer #3
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answered by ♥-Ker-Sherry 7
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" Anne Franck "
<' Pensez à la beauté qui reste encore autour de vous et soyez heureux . '>
Les hommes veulent tout avoir , et ils se rendent malheureux par le désir du superflu .
2006-09-29 05:07:11
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answer #4
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answered by katiouchka 5
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Le problème de beaucoup de gens, c'est qu'ils sont aveugles. Le bonheur est là, sous nos yeux, dans la moindre plante et le moindre sourire. Il suffit de ne pas trop en demander et de remercier pour ce qu'on a.
Tu vois, "le bonheur à tout prix" mène au malheur, il est là, le fatalisme.
2006-09-29 04:59:04
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answer #5
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answered by elle 7
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non, pas à tout prix
2006-09-29 04:57:43
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answer #6
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answered by Lutine 6
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Hmm, pas moi en tout cas, car l'expression "à tout prix" implique qu'il y a eu des concessions ou des sacrifices à faire pour y parvenir, donc peut-on encore parler de bonheur, si l'on a dû abandonner une partie de soi-même ou des choses ou personnes auxquelles on tenait ?
2006-09-29 04:54:59
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answer #7
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answered by fibule2003 4
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