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2006-09-25 14:35:48 · 9 réponses · demandé par Anonymous dans Sciences sociales Psychologie

Merci *Momo* sais pas comment tu fais pour écrire aussi vite un tel condensé de savoir sans lien... c'est très intéressant en tout cas. *bilalpac* tu es hors-sujet mais ça doit être un lapsus révélateur peut-être, pas grave :-)

2006-09-25 15:24:06 · update #1

9 réponses

Ecoute de l'autre ........tout simplement !!

2006-09-25 16:33:01 · answer #1 · answered by Anonymous · 3 0

Ma def. : La psychologie vient de "psyché" l'âme et de logos qui désigne le corpus de science. Aujourd'hui, la psychologie n'étudie bien entendu plus l'âme, mais le fonctionnement psychique de l'être humain. Il existe quatres grandes branches dans la psychologie : La psychologie cognitive, la psychologie clinique, la psychologie sociale et la psychologie du développement, qui se déclinent elle même en plusieurs sous branches. (bon je vais m'arreter là, sinon, j'en fais toute une tartine beurre-confiture mais je reste à la disposition de qui le voudra pour des indications supplémentaires ou sinon y'a des dictionnaires :) )

Une science, un art ? : La psychologie est une science parce qu'elle utilise des méthodes scientifiques pour valider ses théories et ses outils (elle emet des hypothèses, elle les prouve, elle les teste, elle les reteste, etc.), elle est consciente du niveau de validité de certains de ces outils et en tient compte lorsqu'il s'agit de l'évaluation d'une personne. Le cursus de psychologie comporte un nombre d'heures non négligeable d'enseignement de statistique et de neurophysionomie ce qui permet la pérénisation et l'assimilation de cette conception scientifique.
Une des définitions que j'ai trouvé pour l'art est "L'art est la création-invention,au niveau du mécanisme de la pensée et de l'imagination,d'une idée originale à contenu esthétique traduisible en effets perceptibles par nos sens." (http://www.olats.org/schoffer/defart.htm). Cela va à l'inverse même de la conception et de l'utilisation de la psychologie.
Petite précision pour finir : la psychanalyse ne fait pas partie de la psychologie...

2006-09-26 07:32:16 · answer #2 · answered by mélusine 3 · 2 0

pour moi,c'est l'art ou le don de percevoir les émotions et les ressentis d'autrui,de comprendre son mode de "fonctionnement", ses motivations voire ses intentions...

2006-09-25 20:21:19 · answer #3 · answered by Nanou 5 · 2 0

l'art de comprendre l'autre et ses motivations profondes. Ca veut dire le comprendre intellectuellement, ca ne veut pas forcement dire accepter ce qu'il est. On peut comprendre le processus d'un assassin sans etre d'accord avec ses crimes

2006-09-25 18:02:54 · answer #4 · answered by franck einstein 7 · 1 0

Du grec philosophia, amour de la sagesse recherche critique et rationnelle des principes fondamentaux.
Dans le langage courant, le terme « philosophie » est souvent employé pour désigner un ensemble de valeurs et une attitude envers la vie, la nature et la société, comme dans l’expression « philosophie de la vie ». Les limites et les traits distinctifs des divers champs du savoir étant flexibles et susceptibles de changements, la définition de la philosophie demeure un sujet controversé.
faut ce cultiver dans la vie frère
et puis tapez c démoder.

2006-09-25 15:03:35 · answer #5 · answered by What? 3 · 1 0

Interpréter un rêve ; analyser les processus par lesquels un rat, en un certain nombre d'essais successifs, parvient à apprendre une trajectoire arbitraire ou la manœuvre d'un appareil fournissant de la nourriture quand un signal est allumé ; mesurer le « degré d'intelligence » d'un adulte ou d'un enfant de cinq ans ; montrer si, et comment, l'opinion d'un sujet qui doit par exemple estimer librement l'amplitude du déplacement d'un point lumineux est modifiée par l'influence des jugements de deux « compères » qui fournissent, eux, des évaluations peu probables, mais constantes ; justifier les erreurs systématiques des enfants de six ans dans un problème qui, à sept ans, sera résolu immédiatement et comme allant de soi : il peut n'être pas évident, pour le profane et souvent pour le spécialiste lui-même, que ces entreprises variées relèvent d'une seule et même discipline. Dire, comme c'est l'usage, qu'elles sont toutes du ressort de la psychologie, parce qu'il s'agit chaque fois de conduites ou de comportements (humains ou animaux) et de leurs significations, ne réglerait pas davantage la question : la signification d'un rêve n'a pas forcément le même statut que la signification d'une erreur de raisonnement, et rien ne permet a priori de poser que la production inconsciente d'images pendant le sommeil (entendons : de telles images plutôt que de telles autres) est une conduite de même nature que la résolution d'un problème, ou que la réponse réflexe à un excitant extérieur, ou même que la remémoration volontaire du passé, qui paraît cependant lui être plus directement apparentée. Dirons-nous alors que ces divers phénomènes externes ou internes ont en commun l'activité du système nerveux ? Ce serait seulement postuler en ce cas leur unité physiologique, et bien des psychologues du reste, même en souscrivant à cette affirmation un peu générale, se refuseront à admettre que le système nerveux est semblablement impliqué dans une conduite perceptive, dans un processus d'apprentissage ou dans l'adhésion à une croyance.
Force est donc de renoncer, provisoirement du moins, à assigner aux investigations psychologiques un objet - c'est-à-dire un champ de faits - unitaire et cohérent. En conséquence, et aussi pour des raisons historiques et doctrinales, leur unité méthodologique n'est pas davantage assurée en l'état actuel. Il n'est même guère possible, à quelques rares exceptions près, d'établir une correspondance entre une liste de problèmes ou de domaines et une liste de méthodes, les mêmes termes pouvant renvoyer à des aspects et à des modes de conceptualisation bien différents. L'éthologiste ne regarde pas le comportement d'un chat ou d'un pigeon de la même façon que l'expérimentateur béhavioriste. La motivation, si même on s'accordait à donner de ce mot relativement technique une définition unique, n'est pas analysée au même niveau par le clinicien et par le psychologue de laboratoire. L'intitulé « psychologie sociale » désigne tantôt l'étude (expérimentale ou non) des interactions entre individus, tantôt l'analyse psychologique de certains comportements collectifs (préjugés, paniques, attitudes politiques, familiales), tantôt enfin l'étude des influences et des modelages que la vie collective impose à des comportements individuels comme la perception des couleurs ou la soumission à certaines formes « logiques » de pensée. Les adjectifs ou appositions qui accompagnent le terme de psychologie peuvent donc spécifier soit un domaine de recherche (psychologie différentielle : étude des différences individuelles), soit un style méthodologique (psychologie clinique : approche des conduites par les méthodes cliniques), soit encore un champ de pratique sociale (psychologie clinique : dépistage, guidance et au besoin thérapie des troubles du comportement), soit enfin une école déterminée de pensée qui, à divers égards, définit pour son propre usage sa problématique, ses concepts et ses instruments de recherche : aujourd'hui, par exemple, le terme « psychologie cognitive » désigne aussi bien un champ de recherches (l'étude des fonctions cognitives, par opposition à l'affectivité) qu'un mouvement « cognitiviste », qui s'est développé en réaction contre le behaviorisme associationniste et qui pose les problèmes psychologiques (y compris ceux de l'affectivité) en termes de traitement de l'information, en insistant, d'autre part, sur le rôle du système nerveux central.
Cette multiplicité d'aspects, fort embarrassante pour qui voudrait brosser un panorama ou établir un inventaire systématique, ne doit pas à vrai dire alarmer outre mesure. Il n'y aurait en fait comme en droit, aucun inconvénient majeur à parler de « psychologies » au pluriel. C'est du moins le parti qu'on prendra ici. On ne cherchera ni à énumérer un lexique ni à défendre une option. On essaiera plutôt d'élucider les fondements épistémologiques de ce pluralisme en prenant comme postulat non pas une hypothétique hétérogénéité des « fonctions mentales » elles-mêmes, mais le seul fait qu'en l'état actuel des techniques et des données les phénomènes psychologiques - ceux que l'expérience commune reconnaît comme tels - ne sont pas tous accessibles au même niveau d'observation, ne sont donc pas semblablement justiciables des mêmes procédures d'identification, de description, de repérage, de mesure et, par conséquent, de contrôle et d'interprétation.
Mais c'est encore trop peu dire, puisque chez les psychologues eux-mêmes, le statut scientifique de la psychologie fait encore question. Ce problème, évidemment central, on ne l'a pas abordé de front dans les présentations qui suivent, pour ne pas s'enfermer par avance dans les cadres d'un débat doctrinal. On a cherché au contraire à l'évoquer soit à propos de quelques références historiques sommaires, soit plutôt à propos d'un examen des méthodes. Par « méthodes », on entend ici un ensemble de démarches de pensée constituant la vérité, et non les techniques particulières, qui ne seront invoquées qu'à titre d'exemples. Ce choix, qui réfère donc l'objet à la méthode et non l'inverse, est devenu classique en épistémologie, au moins depuis Bachelard. Mais comme il est, pour les sciences de l'homme, assez peu conforme à l'usage académique, il appelle une brève justification. On a considéré en effet qu'un champ scientifique n'est pas défini a priori par les propriétés particulières des « objets réels » qu'il vise, propriétés qui indiqueraient directement les orientations méthodologiques à suivre. Un discours scientifique est toujours un discours conceptuel, et les faits dont parle ce discours ne sont jamais les données immédiates de notre expérience quotidienne qui, elle, ne nous livre que des anecdotes ou des événements. Un recueil d'anecdotes ne fait pas une science, même en prenant ce mot en un sens assez large, et pas plus que la physique l'histoire n'est faite d'événements. Le premier problème épistémologique est donc de montrer comment on passe de l'événement au fait, qui est une relation, et si possible une relation répétable. Ces relations, la réalité les vérifie, elle ne les exhibe pas toutes faites, et l'observateur déjà n'est pas le témoin passif d'un spectacle, mais le sujet actif d'une construction ou reconstruction. À cet égard, si la psychologie expérimentale construit bien évidemment son objet, la psychanalyse ne construit pas moins le sien, à sa manière. Et c'est à présenter quelques-uns des principaux modes de construction qu'on s'est attaché. Renvoyant le lecteur aux articles spécialisés, on n'a, par exemple, considéré la psychologie des tests que sous l'angle de la construction des variables quantitatives, et la psychologie expérimentale que dans ses démarches constitutives de lois ou de preuves. Mais est-ce là toute la psychologie ? Certes non. Une « psychologie clinique », florissante dans la pratique autant que dans l'enseignement universitaire, s'inscrit régulièrement en faux contre ces façons « scientistes » ou « abstraites » de voir. Elle se veut « concrète » et dénonce les autres psychologies comme inutiles et incertaines ; elle les tolère au mieux comme disciplines auxiliaires en se réservant le privilège du « savoir totalisant » ; c'est à examiner son programme qu'on s'emploiera pour commencer.

2006-09-25 14:55:32 · answer #6 · answered by Momo 7 · 1 1

Rien du tout! Qu'est-ce que "psichi" selon-t- elle?

Ciao........John-John.

2006-09-26 00:26:01 · answer #7 · answered by John-John 7 · 1 2

melange de mensonges, de manipulation,de fausses promesses etc..c'est de l'hypocrisie scientifique!!

2006-09-25 18:56:22 · answer #8 · answered by Mira 5 · 1 2

ppppppppppssssssssssffffffffffffffffffffffffffffff !!!!!!!!!!!!!!!!!!

2006-09-25 14:47:09 · answer #9 · answered by Anonymous · 0 2

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