C'est un serpent à sonnette, en pleine digestion, à qui on a coupé la tête.
2006-09-17 22:30:45
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answer #1
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answered by max s 3
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Voici des explications sur cette oeuvre :
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_trahison_des_images
2006-09-18 05:49:43
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answer #2
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answered by Mathieu 7
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Ca évoque que l'itnerpréataiton est l'art de l'art et que magritte a suremetn voulu ainsi le définir tou ten prenant à parti les spectateurs pour les emmener d'eux même dans leurs jardins secrets et faire découvrir à tous qu'on est tous un peu artiste au fond si on s'en donne le mal et si on est aiguillé. Il nous dit que ce q'uon voit n'est peut être pas ce qu'on pense et que ce qu'on pense ne se voit pas forcèment de la même manière poru le sautres, il nous montre que l'interprétation c'est l'art humain mais c'est aussi la source des malentendus malgrè toutes les conventions sociales pour essayer de nous faire tous penser de la même façon !!
Je ne sait pas grand chose sur cette oeuvre et je n'ai aps fait beaucoup d'histoire de l'art dans ma familel en fait c'est juste que c'est ainsi que je reçois le message de ce tableau c'est tout. Mais peut être n'y avait il pas de message d'ailleurs.
2006-09-18 05:29:58
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answer #3
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answered by boucles d'or overbookée 7
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bah personnellement, ça m'évoque pas grand chose...
peut-être est-ce une question philosophique que pose le peintre, à savoir : une pipe (ou une chaise, ou etc...) est une pipe, certes, mais la représentation de celle-ci (photo, dessin, peinture) reste une représentation de l'objet....
autrement dit quand il dit "ceci n'est pas une pipe" il veut peut-etre dire "ceci est la représentation, l'image d'une pipe"....bref, si c'est cela, je trouve pas que ça vole très haut de toute manières...
2006-09-18 05:29:05
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answer #4
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answered by moulinex 3
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René Magritte, peintre belge du mouvement surréaliste, est né le 21 novembre 1898 à Lessines (Wallonie), et mort le 15 août 1967 à Bruxelles.
Une caisse auprès de son berceau, la récupération d'un ballon de navigation échoué sur le toit de la maison familiale, la vision d'un peintre dans un cimetière... Trois souvenirs de sa petite enfance passée à Lessines, dans le Hainaut : Magritte gardera toute sa vie le goût du mystère et du contraste.
Son père est tailleur et sa mère, modiste: leurs affaires marchent mal et son enfance se passe en déménagements de Gilly à Charleroi. Son adolescence commence tragiquement par le suicide de sa mère et il est confié à sa grand-mère. Il se passionne alors pour les films de Fantômas, lit Robert Louis Stevenson, Edgar Allan Poe, Maurice Leblanc et Gaston Leroux. Un an plus tard, lors d'une fête foraine à Charleroi, il rencontre une fille de treize ans dont le père est boucher à Marcinelle. Elle s'appelle Georgette et si la vie les sépare quelque temps, elle finit par les réunir pour toujours. Georgette, c'est « l'amour fou », la muse, l'unique modèle.
En 1916, Magritte s'inscrit à l'Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles et suit les cours de littérature de G. Van Eekhoud et ceux du peintre Constand Montald. Il y fait quelques rencontres - Edouard Mesens et Marcel Lecomte - qui l'introduisent dans le milieu Dada. Il doit d'ailleurs à Marcel Lecomte sa plus grande émotion artistique: une reproduction du Chant de l'Amour de Giorgio de Chirico. « Mes yeux ont vu la pensée pour la première fois », écrira-t-il, en se souvenant de cette révélation. Il se lie aussi avec Paul Nougé et Louis Scutenaire. L'année 1926 est particulièrement riche: il peint soixante tableaux et est prêt pour une exposition personnelle à la Galerie Le Centaure.
Ensuite, c'est l'aventure parisienne et son amitié avec les Surréalistes français - André Breton, Paul Éluard, Max Ernst - et Salvador Dali. Il rentre à Bruxelles en 1930. Le succès vient lentement grâce au marchand Iolas et à l'Amérique. Le reste de sa vie se passe en expositions belges et internationales (New York, Rome, Rotterdam, Stockholm). Il meurt d'un cancer à soixante-neuf ans.
2006-09-18 05:28:21
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answer #5
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answered by Mylene-Elyzabeth 7
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