Bonjour,
Faisons une analyse du texte.
Je vais développer ici les points sensibles sur le discours de Benoit XVI, en fait si on fait une lecture minucieuse de son intervention, on peut souligner ce qui suit :
1) "Le dialogue porte sur toute l'étendue de la dimension des structures de la foi contenues dans la Bible et dans le Coran et s'arrête notamment sur l'image de Dieu et de l'homme, mais nécessairement aussi toujours à nouveau sur la relation entre — comme on le disait — les trois « Lois » ou trois « ordres de vie »: l'Ancien Testament — le Nouveau Testament — le Coran. Je n'entends pas parler à présent de cela dans cette leçon ; je voudrais seulement aborder un argument — assez marginal dans la structure de l'ensemble du dialogue — qui, dans le contexte du thème « foi et raison », m'a fasciné et servira de point de départ à mes réflexions sur ce thème. "
Dans ce passage, on peut mettre sous la loupe, ce qui attire le plus.
* "Le dialogue porte sur toute l'étendue de la dimension des structures de la foi contenues dans la Bible et dans le Coran"
* "les trois « Lois » ou trois « ordres de vie »: l'Ancien Testament — le Nouveau Testament — le Coran"
* "dans le contexte du thème « foi et raison », m'a fasciné et servira de point de départ à mes réflexions sur ce thème."
Maintenant on peut retenir comme premier point ce qui suit.
Le texte ancien qui parle de cette histoire entre l'empreur Byantain et le persan, a "faciné le Pape", donc c'est aussi sa façon de voir. Cette leçon qu'il va donner porte sur les trois testaments "ancien", "nouveau" et le "Coran", donc ce qui suivera sera porter à comprendre que ce qui va se dire se dira sur toute la religion, puisque ça va être les notions de bases ditent dans le livre saint qui représente la religion et donc la religion en elle même.
Il dit : "m'a fasciné et servira de point de départ à mes réflexions sur ce thème.", donc il va prendre le discour qui à tourné dans l'histoire comme l'une de ses vision et un point essentiel qui servira comme point de départ.
2) Maintenant que le Pape à bien dit que ce qui suivera fera partie de ses réflexions personnelle et un point de départ pour son analyse, il continu par réciter :
"Dans le septième entretien (dialexis — controverse) édité par le professeur Khoury, l'empereur aborde le thème du djihad, de la guerre sainte. Assurément l'empereur savait que dans la sourate 2, 256 on peut lire: « Nulle contrainte en religion ! ». C'est l'une des sourates de la période initiale, disent les spécialistes, lorsque Mahomet lui-même n'avait encore aucun pouvoir et était menacé. Mais naturellement l'empereur connaissait aussi les dispositions, développées par la suite et fixées dans le Coran, à propos de la guerre sainte. Sans s'arrêter sur les détails, tels que la différence de traitement entre ceux qui possèdent le « Livre » et les « incrédules », l'empereur, avec une rudesse assez surprenante qui nous étonne, s'adresse à son interlocuteur simplement avec la question centrale sur la relation entre religion et violence en général, en disant: « Montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme son mandat de diffuser par l'épée la foi qu'il prêchait ». L'empereur, après s'être prononcé de manière si peu amène, explique ensuite minutieusement les raisons pour lesquelles la diffusion de la foi à travers la violence est une chose déraisonnable. La violence est en opposition avec la nature de Dieu et la nature de l'âme. « Dieu n'apprécie pas le sang — dit-il —, ne pas agir selon la raison , “sun logô”, est contraire à la nature de Dieu. La foi est le fruit de l'âme, non du corps. Celui, par conséquent, qui veut conduire quelqu'un à la foi a besoin de la capacité de bien parler et de raisonner correctement, et non de la violence et de la menace... Pour convaincre une âme raisonnable, il n'est pas besoin de disposer ni de son bras, ni d'instrument pour frapper ni de quelque autre moyen que ce soit avec lequel on pourrait menacer une personne de mort...». "
On souligne comme pour avant :
* "l'empereur aborde le thème du djihad, de la guerre sainte."
* "Assurément l'empereur savait que dans la sourate 2, 256 on peut lire: « Nulle contrainte en religion ! ». C'est l'une des sourates de la période initiale, disent les spécialistes, lorsque Mahomet lui-même n'avait encore aucun pouvoir et était menacé."
Maintenant son analyses, bien voulue "Mais naturellement l'empereur connaissait aussi les dispositions, développées par la suite et fixées dans le Coran, à propos de la guerre sainte."
Donc par là le Pape veut dire que « Nulle contrainte en religion ! » n'était que lors de la periode où notre prophète était menacé. Sinon la croyance en islam se fera par la force. Par la suite "Mais naturellement l'empereur connaissait aussi les dispositions, développées par la suite et fixées dans le Coran, à propos de la guerre sainte.", et donc Tuer n'est jamais interdis en islam, au contraire il est autorisé dans tout les cas et pas seulement pour se défendre.
* "Sans s'arrêter sur les détails, tels que la différence de traitement entre ceux qui possèdent le « Livre » et les « incrédules »", encore une fois, il sous entend que l'islam mal traite les « incrédules » .
* "l'empereur, avec une rudesse assez surprenante qui nous étonne, s'adresse à son interlocuteur simplement avec la question centrale sur la relation entre religion et violence en général, en disant: « Montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme son mandat de diffuser par l'épée la foi qu'il prêchait ».". Il veut dire par là que l'empreur avait eu un courage et une rudeur et à osé dire que d'autre n'osent pas et c'est le cas du pape aussi en quelque sorte, lorsqu'il dit : "l'empereur, avec une rudesse assez surprenante qui nous étonne", pour dire par la suite: "s'adresse à son interlocuteur simplement avec la question centrale sur la relation entre religion et violence en général". La question centrale ici veut dire le principe de base de la religion "ici Islam",et ça peut être généraliser à toute la religion, puisque cette question porte sur "a relation entre religion et violence en général".
L'empreur dit « Montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme son mandat de diffuser par l'épée la foi qu'il prêchait »
* "L'empereur, après s'être prononcé de manière si peu amène, explique ensuite minutieusement les raisons pour lesquelles la diffusion de la foi à travers la violence est une chose déraisonnable.", donc pour lui puisque l'empreur et courageux et peu poser des question sensibles les autres non pas pu voir et poser, et que son analyse est un point essentiel pour généraliser à toute la religion le Pape à travers les parole de l'empreure puisque il est faciné par sa façon de pensé, que l'islam est porte une "chose déraisonnable".
* La violence est en opposition avec la nature de Dieu et la nature de l'âme. « Dieu n'apprécie pas le sang — dit-il —, ne pas agir selon la raison , “sun logô”, est contraire à la nature de Dieu. La foi est le fruit de l'âme, non du corps. Celui, par conséquent, qui veut conduire quelqu'un à la foi a besoin de la capacité de bien parler et de raisonner correctement, et non de la violence et de la menace... Pour convaincre une âme raisonnable, il n'est pas besoin de disposer ni de son bras, ni d'instrument pour frapper ni de quelque autre moyen que ce soit avec lequel on pourrait menacer une personne de mort...». Là c'est la meilleurs, il veut dire à travers les paroles de l'empreur et de son analyse que l'islam impose la croyance aux autres par la force du corps et par la violence et pas par la paix, et ce qui est au contraire de la nature de Dieu. Donc si l'islam est une religion de violence selon le pape et l'empreur, ça ne pourait être une bonne religion, ni venue de Dieu. De plus l'islam n'utilise pas le discours pour faire comprendre la foi aux autres mais bien la force.
Maintenant je vais intervenir pour dire le contraire de ce que ramène le pape par son analyse, qui n'est qu'une mauvaise vision de l'islam et bien voulu, non pas par erreur.
L'islam et une religion de paix et non de violence, sinon elle n'aurait pas portée le nom Islam=salam ou paix en arabe.
Se battre ou "Djihad", n'est autorisé qu'en cas de défence, et personne n'est obliger d'être musulman par la force, d'allieurs les chrétiens vivaient sous le royaum musulman sans aucun problème et personne ne leur a imposer d'être musulman.
Je suis musulman et personne ne m'impose de l'être mais c'est de bonne foi en moi, et c'est d'ailleurs la même chose pour le cas de tous les musulmans. Comment selon toi le nombre de musulman est entrain de s'étendre. On étaient 980 millions ça fait de cela 10 ans, et aujourd'hui avec le nombre de ceux qui se convertissent en islam on a atteint 1 milliard 300 millions, est ce que c'est par l'épée?
De plus si tu connais l'histoir de l'islam, est ce que tu peux me dire comment ça se fait qu'il y ai des musulmans en Chine en Indonésie en Malysie, en Russie, en Bosnie....
Est ce que les gens son musulman par la force? Non, non, et mille fois non. Mais les paroles du pape ne son que d'une haine profonde en lui envers l'islam, et ce n'est pas digne d'un grand homme qui représente l'une des religion monothéistes.
Le Coran dont il parle est resté authentique, par contre la bible a été modifier par les hommes et la preuve :
http://www.islam-paradise.com/bible_parole_de_dieu.php
Le site juste en haut et en lien avec un autre site,qui utilise pour démonstration. Le face à face fameux entre deux grand savants religieux.
Jemmy swager et Ahmed Didat. L'un musulman et l'autre Chrétien. Dans cet entrevu Ahmed Didat à exposer le problème à Jemmy Swager et l'a convaincu par le fait que la bible n'est plus authentique.
Pour savoir un peu plus sur Benoit XVI :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Benoit_XVI
2006-09-18 05:04:51
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answer #9
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answered by Shade Avec Gaza 4
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