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si vous deviez faire une déclaration d'amour!!!

soyez réels !!!!!!

2006-09-16 09:42:03 · 19 réponses · demandé par sylvia 4 dans Amour et relations Amour et relations - Divers

19 réponses

Je te la ferais devant toi!!!....Promis...un jour...Peut etre...Bientot!!!...A bas la timidité!!!!...Bizzzzzzzz

2006-09-16 13:32:23 · answer #1 · answered by Solo 4 · 0 1

Tu as la personne à qui je pense en me couchant, en me levant, chaque minute de la journée. Chaque chose que j'ai envie de faire, j'ai envie de le faire avec toi. J'ai envie que tu fasses partie de chaque minute de ma vie. J'ai besoin de toi pour être complète. J'ai envie de vieillir avec toi, tu fais partie de ma vie, tu es ma vie, je t'aime.

2006-09-16 16:47:07 · answer #2 · answered by skellen8 2 · 2 1

Pour moi c'est Goldman qui en a ecrite une tres touchante, sinon la plus belle c'est celle que je vois dans les yeux de mon homme...

Sache que je,

Il y a des ombres dans " je t'aime "
Pas que de l'amour, pas que ça
Des traces de temps qui traînent
Y a du contrat dans ces mots là

Tu dis l'amour a son langage
Et moi les mots ne servent à rien
S'il te faut des phrases en otage
Comme un sceau sur un parchemin

Alors sache que je
Sache le
Sache que je

Il y a mourir dans " je t'aime "
Il y a je ne vois plus que toi
Mourir au monde, à ses poèmes
Ne plus lire que ses rimes à soi

Un malhonnête stratagème
Ces trois mots là n'affirment pas
Il y a une question dans " je t'aime "
Qui demande " et m'aimes-tu, toi ? "

Alors sache que je
Sache le
Sache que je

2006-09-16 18:45:34 · answer #3 · answered by Florence 3 · 1 1

-_- je me rappelle de la mienne mot pour mot puisque j'ai encore la lettre.

Chaque personne à un chemin à prendre. Parfois ce chemin est plus dur pour d'autre mais on trouve toujours des coins pour s'abriter et reprendre son soufle.
C'est dans un coin comme celui là que je t'ai rencontré. Ta grace, ton charme, ton éléguance m'ont tout de suite charmé. On a vite sympathisé et chacun des mots que l'on prononcait nous rapprochait l'un de l'autre. Lentement on s'est découvert des affinités, mais aussi des choses que l'on ne partageait pas.
Maintenant on ne peut plus se passer l'un de l'autre, et puisque l'on dit toujours "on" en parlant de nous autant se dire le dernier secret que l'on connait déjà l'un pour l'autre mais qu'on ose se dire encore.
Je ferai donc le premier pas:
Je t'aime

2006-09-16 17:54:13 · answer #4 · answered by ? 6 · 1 1

puisque ce qui est inscrit dans nos coeurs prime sur ce que les princes ont décrit,puisse ton coeur couvrir de roses pétales mon désir de t'aimer.

2006-09-16 17:52:22 · answer #5 · answered by Anonymous · 1 1

je t'aime.

2006-09-16 16:53:50 · answer #6 · answered by nono f 1 · 1 1

Mon texte préféré... Car je ne dirai pas mieux!
C'est Psyché
Elle est dans le désert, un oracle lui impose une confrontation avec un monstre... Et là un dieu Magnifique se présente devant elle:



PSYCHÉ

Qu'un monstre tel que vous inspire peu de crainte!
Et que s'il a quelque poison,
Une âme aurait peu de raison
De hasarder la moindre plainte
Contre une favorable atteinte
Dont tout le cœur craindrait la guérison!
À peine je vous vois, que mes frayeurs cessées
Laissent évanouir l'image du trépas,
Et que je sens couler dans mes veines glacées
Un je ne sais quel feu que je ne connais pas.
J'ai senti de l'estime et de la complaisance,
De l'amitié, de la reconnaissance;
De la compassion les chagrins innocents
M'en ont fait sentir la puissance;
Mais je n'ai point encor senti ce que je sens.
Je ne sais ce que c'est, mais je sais qu'il me charme,
1060 Que je n'en conçois point d'alarme;
Plus j'ai les yeux sur vous, plus je m'en sens charmer:
Tout ce que j'ai senti n'agissait point de même,
Et je dirais que je vous aime,
Seigneur, si je savais ce que c'est que d'aimer.
Ne les détournez point, ces yeux qui m'empoisonnent,
Ces yeux tendres, ces yeux perçants, mais amoureux,
Qui semblent partager le trouble qu'ils me donnent.
Hélas! plus ils sont dangereux,
Plus je me plais à m'attacher sur eux.
Par quel ordre du Ciel, que je ne puis comprendre,
Vous dis-je plus que je ne doi,
Moi de qui la pudeur devrait du moins attendre
Que vous m'expliquassiez le trouble où je vous voi?
Vous soupirez, Seigneur, ainsi que je soupire;
Vos sens comme les miens paraissent interdits;
C'est à moi de m'en taire, à vous de me le dire,
Et cependant c'est moi qui vous le dis.

L'AMOUR

Vous avez eu, Psyché, l'âme toujours si dure,
Qu'il ne faut pas vous étonner
Si, pour en réparer l'injure,
L'amour, en ce moment, se paye avec usure
De ceux qu'elle a dû lui donner.
Ce moment est venu qu'il faut que votre bouche
Exhale des soupirs si lontemps retenus,
Et qu'en vous arrachant à cette humeur farouche,
Un amas de transports aussi doux qu'inconnus
Aussi sensiblement tout à la fois vous touche,
Qu'ils ont dû vous toucher durant tant de beaux jours
Dont cette âme insensible a profané le cours.

PSYCHÉ

N'aimer point, c'est donc un grand crime!

L'AMOUR

En souffrez-vous un rude châtiment?

PSYCHÉ

C'est punir assez doucement.

L'AMOUR

C'est lui choisir sa peine légitime,
Et se faire justice en ce glorieux jour
D'un manquement d'amour par un excès d'amour.

PSYCHÉ

Que n'ai-je été plus tôt punie!
J'y mets le bonheur de ma vie;
Je devrais en rougir, ou le dire plus bas,
Mais le supplice a trop d'appas;
Permettez que tout haut je le die et redie:
Je le dirais cent fois, et n'en rougirais pas.
Ce n'est point moi qui parle, et de votre présence
L'empire surprenant, l'aimable violence,
Dès que je veux parler, s'empare de ma voix.
C'est en vain qu'en secret ma pudeur s'en offense,
Que le sexe et la bienséance
Osent me faire d'autres lois;
Vos yeux de ma réponse eux-mêmes font le choix,
Et ma bouche asservie à leur toute-puissance
Ne me consulte plus sur ce que je me dois.

L'AMOUR

Croyez, belle Psyché, croyez ce qu'ils vous disent,
Ces yeux qui ne sont point jaloux;
Qu'à l'envi les vôtres m'instruisent
De tout ce qui se passe en vous.
Croyez-en ce cœur qui soupire,
Et qui, tant que le vôtre y voudra repartir,
Vous dira bien plus, d'un soupir,
Que cent regards ne peuvent dire:
C'est le langage le plus doux,
C'est le plus fort, c'est le plus sûr de tous.

PSYCHÉ

L'intelligence en était due
À nos cours, pour les rendre également contents:
J'ai soupiré, vous m'avez entendue;
Vous soupirez, je vous entends.
Mais ne me laissez plus en doute,
Seigneur, et dites-moi si par la même route,
Après moi, le Zéphire ici vous a rendu,
Pour me dire ce que j'écoute.
Quand j'y suis arrivée, étiez-vous attendu?
Et quand vous lui parlez, êtes-vous entendu?

L'AMOUR

J'ai dans ce doux climat un souverain empire,
Comme vous l'avez sur mon cœur;
L'amour m'est favorable, et c'est en sa faveur
Qu'à mes ordres Æole a soumis le Zéphire.
C'est l'amour qui, pour voir mes feux récompensés,
Lui-même a dicté cet oracle
Par qui vos beaux jours menacés
D'une foule d'amants se sont débarrassés,
Et qui m'a délivré de l'éternel obstacle
De tant de soupirs empressés,
Qui ne méritaient pas de vous être adressés.
Ne me demandez point quelle est cette province,
Ni le nom de son prince:
Vous le saurez quand il en sera temps.
Je veux vous acquérir, mais c'est par mes services,
Par des soins assidus, et par des vœux constants,
Par les amoureux sacrifices
De tout ce que je suis,
De tout ce que je puis,
Sans que l'éclat du rang pour moi vous sollicite,
Sans que de mon pouvoir je me fasse un mérite;
Et, bien que souverain dans cet heureux séjour,
Je ne vous veux, Psyché, devoir qu'à mon amour.
Venez en admirer avec moi les merveilles,
Princesse, et préparez vos yeux et vos oreilles
À ce qu'il a d'enchantements.
Vous y verrez des bois et des prairies
Contester sur leurs agréments
Avec l'or et les pierreries;
Vous n'entendrez que des concerts charmants;
De cent beautés vous y serez servie,
Qui vous adoreront sans vous porter envie,
Et brigueront à tous moments
D'une âme soumise et ravie
L'honneur de vos commandements.

PSYCHÉ

Mes volontés suivent les vôtres:
Je n'en saurais plus avoir d'autres;
Mais votre oracle enfin vient de me séparer
De deux sœurs et du Roi mon père,
Que mon trépas imaginaire
Réduit tous trois à me pleurer.
Pour dissiper l'erreur dont leur âme accablée
De mortels déplaisirs se voit pour moi comblée,
Souffrez que mes sœurs soient témoins
Et de ma gloire et de vos soins;
Prêtez-leur comme à moi les ailes du Zéphire,
Qui leur puissent de votre empire
Ainsi qu'à moi faciliter l'accès;
Faites-leur voir en quels lieux je respire,
Faites-leur de ma perte admirer le succès.

L'AMOUR

Vous ne me donnez pas, Psyché, toute votre âme:
Ce tendre souvenir d'un père et de deux sœurs
Me vole une part des douceurs
Que je veux toutes pour ma flamme.
N'ayez d'yeux que pour moi, qui n'en ai que pour vous,
Ne songez qu'à m'aimer, ne songez qu'à me plaire,
Et quand de tels soucis osent vous en distraire.

PSYCHÉ

Des tendresses du sang peut-on être jaloux?

L'AMOUR

Je le suis, ma Psyché, de toute la nature:
Les rayons du soleil vous baisent trop souvent;
Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent:
Dès qu'il les flatte, j'en murmure;
L'air même que vous respirez
Avec trop de plaisir passe par votre bouche;
Votre habit de trop près vous touche;
Et sitôt que vous soupirez,
Je ne sais quoi qui m'effarouche
Craint parmi vos soupirs des soupirs égarés.
Mais vous voulez vos sœurs. Allez, partez, Zéphire:
Psyché le veut, je ne l'en puis dédire.
(Le Zéphire s'envole.)
Quand vous leur ferez voir ce bienheureux séjour,
De ses trésors faites-leur cent largesses,
Prodiguez-leur caresses sur caresses,
Et du sang, s'il se peut, épuisez les tendresses,
Pour vous rendre toute à l'amour.
Je n'y mêlerai point d'importune présence;
Mais ne leur faites pas de si longs entretiens:
Vous ne sauriez pour eux avoir de complaisance
Que vous ne dérobiez aux miens.

PSYCHÉ

Votre amour me fait une grâce
Dont je n'abuserai jamais.

L'AMOUR

Allons voir cependant ces jardins, ce palais,
Où vous ne verrez rien que votre éclat n'efface.
Et vous, petits amours, et vous, jeunes Zéphyrs,
Qui pour âmes n'avez que de tendres soupirs,
Montrez tous à l'envi ce qu'à voir ma princesse
Vous avez senti d'allégresse.

2006-09-16 16:48:36 · answer #7 · answered by patricia b 6 · 0 0

Donne-moi tes mains pour l'inquiétude
Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé
Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude
Donne-moi tes mains que je sois sauvé

Lorsque je les prends à mon pauvre piège
De paume et de peur de hâte et d'émoi
Lorsque je les prends comme une eau de neige
Qui fond de partout dans mes main à moi

Sauras-tu jamais ce qui me traverse
Ce qui me bouleverse et qui m'envahit
Sauras-tu jamais ce qui me transperce
Ce que j'ai trahi quand j'ai tressailli

Ce que dit ainsi le profond langage
Ce parler muet de sens animaux
Sans bouche et sans yeux miroir sans image
Ce frémir d'aimer qui n'a pas de mots

Sauras-tu jamais ce que les doigts pensent
D'une proie entre eux un instant tenue
Sauras-tu jamais ce que leur silence
Un éclair aura connu d'inconnu

Donne-moi tes mains que mon coeur s'y forme
S'y taise le monde au moins un moment
Donne-moi tes mains que mon âme y dorme
Que mon âme y dorme éternellement.

Louis ARAGON (1897 – 1982)

2006-09-16 16:48:10 · answer #8 · answered by Anonymous · 1 1

allez jouons le jeu:

Bonjour ou bonsoir,
Nous ne connaissons pas mais je n'ai pourtant de cesse de penser à vous, à chaque instant ou mon pauvre esprit obscurci se voit inonder de la lumière de votre présence, dans ma pensée, mon coeur.
Mon corps tout entier vibre à l'idée de pouvoir partager ne serait ce qu'une seule fois un moment d'intimité en votre compagnie, afin de vous convaincre de la nécéssité que vous représentez pour moi de vous voir un jour m'accompagner dans cette vie qui, bien qu'en noir et blanc à l'heure ou je vous parle, serait un arc en ciel chatoyant rien qu'à l'entente de votre voix, une palette d'innombrables couleurs rien qu'à la vue de votre magnifique visage.

Bien entendu je mentirais si je vous disais que je vous aime car l'Amour se construit chaque jour qui est fait, en revanche mon coeur de vous s'est épris et commence déjà ce grand chantier.

Ayant eu l'autorisation de construction pour la plus belle tâche dont un être puisse se voir incomber dans une vie que celle d'apprendre à aimer et partager cet Amour, je n'attend plus que le maître d'oeuvre, vous, pour mettre le coeur à l'ouvrage.

Pour cela à cet instant ma vie est semblable à un plat désert qui n'attend que vous pour se transformer en un palace de plaisirs et de joies diverses que nous partagerions tous deux...

Pensez vous que nous puissions mener à bien cette immense tâche que celle de partager un sentiment sans faille?


C'est réél et exploité à de nombreuses reprises, mais les tournures de phrase n'ont pas été les mêmes...

2006-09-16 20:22:10 · answer #9 · answered by Alex 5 · 0 1

Le plus simple possible. J'avais deja assez le trac, j'aurais pas plus faire plus long.

2006-09-16 19:29:45 · answer #10 · answered by Lulu M 5 · 0 1

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