Aucun Bœing sur mon transit
Aucun bateau sur mon transat
Je cherche en vain la porte exacte
Je cherche en vain le mot exit
Je chante pour les transistors
Ce récit de l'étrange histoire
De tes anamours transitoires
De Belle au Bois Dormant qui dort
Je t'aime et je crains
De m'égarer
Et je sème des grains
De pavot sur les pavés
De l'anamour
Tu sais ces photos de de l'Asie
Que j'ai prises à deux cents Asa
Maintenant que tu n'es pas là
Leurs couleurs vives ont pâli
J'ai cru entendre les hélices
D'un quadrimoteur mais hélas
C'est un ventilateur qui passe
Au ciel du poste de police
Je t'aime et je crains
De m'égarer
Et je sème des grains
De pavot sur les pavés
De l'anamour
Je t'aime et je crains
De m'égarer
Et je sème des grains
De pavot sur les pavés
De l'anamour
2006-09-14 20:51:59
·
answer #1
·
answered by hana 2
·
1⤊
0⤋
Summertime, and the living is easy
Fish are jumping
And the cotton is high
Oh, your daddy's rich
And your mama's good looking
So hush, little baby, don't you cry
2006-09-14 08:57:05
·
answer #2
·
answered by Michel 7
·
1⤊
0⤋
Plus bleu, que le bleu de tes yeux, je ne vois rien de mieux, même le bleu des cieux...Plus blond que tes cheveux dorés, ne peut s'imaginer, même le blond de blés..plus pur que ton souffle si doux, le vent même au mois d'aout, ne peut être plus doux..Plus for que mon amour pour toi, la mer même en furie, ne s'approche pas..
Edith Piaf.
2006-09-14 17:01:04
·
answer #3
·
answered by sara j 4
·
0⤊
0⤋
Tout nu dans ma serviette
qui me servait de pagne
J'avais le rouge au front
et le savon à la main
Au suivant au suivant
J'avais juste vingt ans
et nous étions cent vingt
A être le suivant de celui qu'on suivait
Au suivant au suivant
J'avais juste vingt ans
et je me déniaisais
Au bordel ambulant d'une armée en campagne
Au suivant au suivant
Moi j'aurais bien aimé
un peu plus de tendresse
Ou alors un sourire
ou bien avoir le temps
Mais au suivant au suivant
Ce ne fut pas Waterloo
mais ce ne fut pas Arcole
Ce fut l'heure où l'on regrette d'avoir manqué l'école
Au suivant au suivant
Mais je jure que d'entendre
cet adjudant de mes fesses
C'est des coups à vous faire des armées d'impuissants
Au suivant au suivant
Je jure sur la tête de ma première vérole
Que cette voix depuis je l'entends tout le temps
Au suivant au suivant
Cette voix qui sentait l'ail
et le mauvais alcool
C'est la voix des nations et c'est la voix du sang
Au suivant au suivant
Et depuis chaque femme
à l'heure de succomber
Entre mes bras trop maigres semble me murmurer
Au suivant au suivant
Tous les suivants du monde
devraient se donner la main
Voilà ce que la nuit je crie dans mon délire
Au suivant au suivant
Et quand je ne délire pas
j'en arrive à me dire
Qu'il est plus humiliant d'être suivi que suivant
Au suivant au suivant
Un jour je me ferai cul-de-jatte
ou bonne sœur ou pendu
Enfin un de ces machins où je ne serai jamais plus
Le suivant le suivant
2006-09-14 15:19:05
·
answer #4
·
answered by Trickno 3
·
0⤊
0⤋
Une chanson qui vient du Québec et qui me fait vivre tous les matins.
Le p'tit bonheur
C'était un petit bonheur
Que j'avais ramassé
Il était tout en pleurs
Sur le bord d'un fossé
Quand il m'a vu passer
Il s'est mis à crier:
"Monsieur, ramassez-moi
Chez vous amenez-moi
Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade
Si vous n'me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade !
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure
Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture"
J'ai pris le p'tit bonheur
L'ai mis sous mes haillons
J'ai dit: " Faut pas qu'il meure
Viens-t'en dans ma maison "
Alors le p'tit bonheur
A fait sa guérison
Sur le bord de mon cœur
Y avait une chanson
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oublié
Ma vie de désœuvré, j'avais dégoût d'la r'commencer
Quand il pleuvait dehors ou qu'mes amis m'faisaient des peines
J'prenais mon p'tit bonheur et j'lui disais: "C'est toi ma reine"
Mon bonheur a fleuri
Il a fait des bourgeons
C'était le paradis
Ça s'voyait sur mon front
Or un matin joli
Que j'sifflais ce refrain
Mon bonheur est parti
Sans me donner la main
J'eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes
Lui montrer le grand trou qu'il me faisait au fond du cœur
Il s'en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine
Comme s'il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure
J'ai bien pensé mourir
De chagrin et d'ennui
J'avais cessé de rire
C'était toujours la nuit
Il me restait l'oubli
Il me restait l'mépris
Enfin que j'me suis dit:
Il me reste la vie
J'ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles
Et je bats la semelle dans des pays de malheureux
Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux
...Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux...
2006-09-14 09:36:27
·
answer #5
·
answered by Dany 7
·
0⤊
0⤋
Emmène-moi dessus bord
Viens mon ange, retracer le ciel
J'irai crucifier ton corps
Pourrai-je dépunaiser tes ailes?
Embrasser, te mordre en même temps
Enfoncer mes ongles dans ton dos brûlant
Te supplier de me revenir
Et tout faire, oh tout, pour te voir partir
Viens! Emmène-moi là-bas
Donne-moi ta main que je ne la prenne pas
Ecorche mes ailes, envole moi
Et laisse-moi tranquille à la fois
Mille fois entrelaçons-nous
Et lassons nous même en dessous
Serre-moi encore, serre-moi
Jusqu'à etouffer de toi...
2006-09-14 09:00:32
·
answer #6
·
answered by ? 3
·
0⤊
0⤋
Nous étions trois jeunes matelots,
Trois beaux marins grands et costauds
Embarqués un jour à Toulon
Sans uniforme et sans gallon
Sur le porte-avions Clemenceau
Nous étions trois jeunes militaires,
Pas trop amoureux de la guerre
Et nous voulions bien nous faire tondre
En échange d'un tour du monde
Sur un joli bateau en fer
Le premier de ces matelots
Etait breton jusqu'au mégot
Mais il était con comme un manche,
Comme un déjeuner du dimanche,
Comme un article du Figaro
'l'avait grandi au bord de l'eau
Et n'en avait jamais bu trop
A quinze ans pour une donzelle,
Il a déserté La Rochelle
Pour les remparts de St Malo
Rue de la soif on le vit beau
A écumer tous les tripots
Mais lorsque s'en venait l'aurore,
Rouler de bâbord à tribord
Et s'échouer dans le ruisseau
Voulu partir sur un bateau
Goûter un peu du Sirocco
En pensant avec raison
Que l'océan rendait moins con
Et qu' pour lui y' avait du boulot
Dieu qu'elle est belle l'histoire des trois matelots
Presqu' aussi belle que l' pont du Clemenceau
Le deuxième de ces matelots
Etait corse dans toute sa peau
Il était méchant comme la tourmente,
Vicieux comme une déferlante
Comme un article de Jean Co
'l'avait grandi au bord de l'eau,
Mais n'en buvait que dans l' Pernod
A quinze ans par un légionnaire,
S'est fait tailler une boutonnière
Près d' la citadelle d'Ajaccio
Est devenu un vrai salaud,
S'est fait tatouer les biscotos
Entre le prénom de sa mère,
Des loups, des serpents, des panthères
Et le Christ au milieu du dos
Voulu partir sur un bateau
Pour ne jamais vivre comme un veau
Et pour faire voyager sa haine
De cette putain de race humaine
Peuplée de rasés, de blaireaux
Dieu qu'elle est longue l'histoire des trois matelots
Presqu' aussi longue que l' pont du Clemenceau
Le dernier de ces matelots
C'était moi j'étais parigot
J'étais bon comme la romaine,
Rusé, malin comme une hyène
Musclé comme un flan aux pruneaux
J'avais grandi très loin de l'eau,
J'en buvais autant qu'un moineau
A quinze ans j'ai quitté Paname
Pour chasser d' mon cœur une femme
Qui voulait y faire son berceau
J'ai bourlingué comme un claudo
J'ai rencontré des écolos
Qui m'ont dit: "Va voir les baleines
Qui vivent dans les eaux lointaines
Tu verras que ce monde est beau"
Voulu partir sur un bateau
Pour voir la Terre d'un peu plus haut
Doubler l' Cap Horn dans les deux sens
Et voyager de Recouvrance
Jusqu'aux bordels de Macao
Dieu qu'elle est dure l'histoire des trois matelots
Presqu' aussi dure que l' pont du Clemenceau
Le premier de ces matelots
Qui était con comme un drapeau
Il a fini plein de gallons,
Plein de sardines sur son veston
Et plein de merde sous son calot
Le deuxième de ces matelots
Qui était méchant comme un corbeau
Il a fini dans une vitrine
Au Ministère de la Marine
Petit chef derrière un bureau
Le dernier de ces matelots
S'est fait virer de son bateau
Pour avoir offert son pompon
A une trop jolie Ninon
Contre un baiser sucré et chaud
Si votre enfant est un salaud,
Un vrai connard, une tête pleine d'eau
Faites en donc un militaire
Alors il fera carrière
Sur un navire, dans un bureau
Mais s'il est bon, mais s'il est beau,
Même s'il est un peu alcolo
Qu'il fasse son tour de la Terre
Tout seul sur un bateau en fer
Mais pas su' le pont du Clemenceau
Simple soldat, brave matelot,
Surtout ne m'en veuillez pas trop
Cette chanson je ne l'ai chantée
Que pour les planqués, les gradés
Les abonnés du Figaro
2006-09-14 08:52:17
·
answer #7
·
answered by maryl 5
·
0⤊
0⤋
envie de m'envoler,
partir avec toi,
très loin de tous les bruits vers un autre nid,
et si tu ve gouter au paradis,
on jouera à tous les jeux surtout aux interdits
emmène moi,emmène moi,
loin de là ,
là ou tu veux,je te suivrai,
emmène moi,emmène moi,
loin de là
là ou tu veux je serai là!!
2006-09-14 09:31:52
·
answer #8
·
answered by sunny 3
·
0⤊
1⤋
Na nana Na ! Na nana Na ! Hey heyyy ey! Goo-ood Byyyye !
Na nana Na ! Na nana Na ! Hey heyyy ey ! Goo-ood Byyyye !
Tudut tu tudut
Tudut tu tudut
Bananarama - Na Na Hey Hey (Kiss Him Goodbye)
2006-09-14 09:30:06
·
answer #9
·
answered by shinz_fr 1
·
0⤊
1⤋
Je ne vous oublie pas non jamais
Vous êtes au creux de moi, dans ma vie, dans ce que je fais
Mes premières amours, mes premiers rêves sont venus avec vous
C'est notre histoire d'amour, je ne vous oublie pas
Chanté par Céline DION
2006-09-14 09:14:39
·
answer #10
·
answered by Charline 5
·
0⤊
1⤋