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Ma question est simple que faites-vous chaque que des terroristes et des arguments depuis des milliers de personnes ? que faites-vous de concret ? pour que des personnes qui ont organisé le 11 septembre n'est pas d'arguments en faveur du terrorisme ? n'oublions pas le terrorisme c'est vous qui le créez et vous seul alors que faites-vous pour empêcher la misère du monde ? à part de données de l'argent?

2006-09-11 04:23:03 · 15 réponses · demandé par Anonymous dans Actualités et événements Événements

15 réponses

C'est aux décideurs politiques des grandes puissances, américains européens, de changer de politique au moyen orient et trouver une solution équitable au peuple palestinien qui a trop souffert de l'indifférence des pays occidentaux. Qu'ils soit courageux pour que la paix règne dans ce bout de terre.

2006-09-11 04:35:09 · answer #1 · answered by Mandragore 6 · 1 0

de quel terrorisme parles tu?
celui des US ou celui d israel?

2006-09-11 12:10:30 · answer #2 · answered by f g 1 · 1 0

Il n'y a rien à faire : chacun attrape les idées qu'il peut, bonnes ou mauvaises...

2006-09-14 08:15:34 · answer #3 · answered by michelmontignon 4 · 0 0

il y en aura toujours malheureusement.
il changent juste de camp, de nom, de moyen de méthode..

2006-09-13 17:37:00 · answer #4 · answered by ouimai 7 · 0 0

C'est au états riches qui maintiennent les regimes fascistes en place de faire la revolution
c'est à dire aux gens comme toi, comme nous de s'éveiller et de voir que l'on a un pouvoir pour réduir les frustrations que l'on cause en dehors de chez nous

2006-09-12 07:55:16 · answer #5 · answered by el desdichado 2 · 0 0

je vote utile

2006-09-11 11:53:49 · answer #6 · answered by laurent r 1 · 0 0

Trois types de prétextes ont été utilisés par l’administration Bush pour justifier l’invasion de l’Irak : le premier fut, bien sûr, la « guerre contre le terrorisme » décrétée à la suite du 11 septembre 2001 ; contre toute évidence, le président Saddam Hussein fut présenté au public américain comme complice, sinon commanditaire, de M. Oussama Ben Laden. Le second argument fut la menace représentée par les « armes de destruction massive » ; nous savons désormais que les informations données par les Etats-Unis et la Grande-Bretagne à ce sujet étaient mensongères.
Thomas Carothers critiquait il y a un an le « dédoublement de la personnalité » du président Bush et de son équipe : « “Bush le réaliste” cultive activement des relations chaleureuses avec des “tyrans amis” dans plusieurs parties du globe, tandis que “Bush le néoreaganien” prononce des appels retentissants pour une nouvelle et vigoureuse campagne pour la démocratie au Moyen-Orient (7). »

Une initiative retentissante
Dans un article sur la stratégie des Etats-Unis, Sherle Schwenninger, codirecteur du programme de politique économique mondiale de la New America Foundation, rappelait que « l’essence même de la politique américaine au cours des trois dernières décennies a été contraire à la démocratie et à l’autodétermination arabes ». Chaque président a poursuivi la même stratégie composée de trois piliers qui ont chacun « profondément aliéné la population arabe » : « le financement de la défense d’Israël et la promotion d’un certain type de processus de paix » ; « le soutien aux gouvernements pro-américains en Egypte et en Jordanie » ; et « le développement d’une étroite alliance avec les familles régnantes des Etats pétroliers du golfe Persique, en particulier avec la famille royale saoudienne ».

« L’occupation de l’Irak, ajoute-t-il, n’a fait qu’aggraver les problèmes de légitimité de l’Amérique. Pour la plupart des peuples de la région, elle n’a fait que renforcer leur perception que les Etats-Unis sont plus intéressés par le pétrole et leur position militaire dominante que par le bien-être du peuple irakien (8). »

L’absence d’armes de destruction massive en Irak et la dynamique d’une situation marquée par une profonde défiance populaire, sinon une franche hostilité, à l’égard des Etats-Unis, ont amené M. George W. Bush à augmenter le volume de l’« argumentaire démocratique ». A cette fin, il prononça un discours à ambition programmatique, le 6 novembre 2003, devant le National Endowment for Democracy, un think tank bipartisan créé en 1983 sous l’impulsion de l’administration Reagan et réuni à la Chambre de commerce des Etats-Unis. Faisant de la démocratie dans le monde musulman le thème central de son discours, le président illustra néanmoins la géométrie très variable de la conception qu’il en a en décernant des satisfecit aux dirigeants d’une longue liste de pays arabes autocratiques – Maroc, Bahreïn, Oman, Qatar, Yémen, Koweït, Jordanie, et même la monarchie saoudienne – tout en fustigeant « les dirigeants palestiniens qui bloquent et sapent la réforme démocratique (9) ».

Quelques jours plus tard, un bras de fer était engagé en Irak entre, d’une part, le « proconsul » Paul Bremer, comme l’appelle l’hebdomadaire britannique The Economist, et ses collaborateurs irakiens et, d’autre part, le grand ayatollah Ali Al-Husseini Al-Sistani, principale autorité spirituelle des chiites d’Irak. Bras de fer éminemment « paradoxal » (selon le paradoxe de Huntington) puisque c’est l’ayatollah qui exigeait le suffrage universel, tant pour l’élection d’une Assemblée constituante que pour la ratification d’une nouvelle Constitution, tandis que l’autorité occupante arguait de l’impossibilité d’organiser un scrutin à court ou moyen terme afin de justifier le transfert formel du pouvoir à un gouvernement irakien désigné par Washington. Dans cette confrontation, l’ayatollah, s’appuyant sur les manifestations de masse de ses partisans, est parvenu à imposer une médiation de l’Organisation des Nations unies (ONU) qui a débouché sur la promesse d’organiser des élections vers la fin de cette année.

C’est dans ce contexte très nuisible à l’image « démocratique » dont elle s’était affublée que l’administration d’un George W. Bush en perte de vitesse dans les sondages, à quelques mois de l’élection présidentielle, choisit de lancer une nouvelle initiative retentissante. Le 13 février 2004, le quotidien libéral de langue arabe Al-Hayat, basé à Londres, publiait un document de travail (working paper) intitulé « Partenariat G8 Grand Moyen-Orient (10) », que Washington avait distribué aux « sherpas » des dirigeants du G8 en vue du sommet qui aura lieu du 8 au 10 juin à Sea Island (Géorgie), aux Etats-Unis.

Puisant largement dans les rapports sur le monde arabe préparés sous l’égide du Fonds arabe de développement économique et social (Fades) et du bureau régional du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) (11), le document américain évoque le niveau de pauvreté, d’illettrisme et de chômage dans les pays arabes pour tirer une sonnette d’alarme à l’intention des membres du G8, dont les « intérêts communs » seraient menacés par « une croissance de l’extrémisme, du terrorisme, du crime international et de l’immigration illégale (12) ». C’est à ce titre que Washington interpelle les membres du groupe en présentant comme complémentaires des initiatives passablement concurrentes – comme le Partenariat euro-méditerranéen (le « processus de Barcelone ») et la Middle East Partnership Initiative du département d’Etat américain – et en invoquant les « efforts multilatéraux de reconstruction en Afghanistan et en Irak » comme s’ils s’inscrivaient dans une seule et même démarche.

Une des toutes premières et des plus virulentes critiques arabes du document américain est venue du rédacteur principal du Rapport sur le développement humain arabe, l’Egyptien Nader Fergany. Offusqué par la façon dont Washington s’est approprié le rapport, il publie, dans Al-Hayat, un article dans lequel il souligne que la procédure même – le peu de temps laissé aux partenaires du G8, et encore moins aux Etats arabes, pour se prononcer sur le projet – dénote déjà « la mentalité arrogante de l’administration américaine actuelle à l’égard du reste du monde, qui l’entraîne à agir comme si elle pouvait disposer du sort des Etats et des peuples (13) ».

De la même façon, écrit-il en exprimant un sentiment fort répandu dans la région, Washington cherche à « compromettre » l’Europe dans son propre projet. Cela concerne surtout les Etats – l’Allemagne et la France, au premier chef – auxquels l’opposition à l’invasion de l’Irak « a gagné popularité et respect auprès du peuple arabe au point que les forces du changement dans la région voient en eux d’importants alliés ». Si ces pays adhéraient aux vues américaines, continue Fergany, « ils perdraient largement le capital politique que leur a valu leur soutien limité aux droits arabes » et rateraient une occasion historique de partenariat avec les forces du changement dans la région. Peut-être est-ce là même, ajoute-t-il, « un objectif latent » du document de Washington.

Fergany critique, en particulier, la volonté des Etats-Unis d’imposer leur modèle économique au Moyen-Orient. S’y ajoute le fait que le document ignore les problèmes principaux du monde arabe : il postule une intégration d’Israël dans l’ensemble régional, sans même évoquer les droits des Palestiniens. Il ne s’intéresse qu’à la reconstruction de l’Irak – et non à sa souveraineté – dans la mesure où cela signifie « la distribution de contrats aux entreprises des Etats qui ont contribué à détruire l’Irak ».

Ce problème de crédibilité est le handicap le plus lourd du projet américain. Même les partisans les plus résolus du changement dans le monde arabe le rejettent à ce titre. Ainsi, le militant tunisien des droits humains Moncef Marzouki souligne, toujours dans Al-Hayat, « l’absence totale de crédibilité de la politique des Etats-Unis de promotion de la démocratie dans le monde arabe (15) ». « On peut même dire, ajoute-t-il, que toute leur politique aboutit au contraire à ouvrir un boulevard aux forces islamiques extrémistes, comme nous le voyons en Irak et le verrons encore ailleurs. »

L’hostilité profonde que suscite l’administration Bush dans les pays arabes et la méfiance exacerbée contre tout ce qui émane d’elle ont poussé les principaux alliés et protégés arabes de Washington que sont les régimes égyptien et saoudien à se démarquer de l’initiative américaine. Le président égyptien Moubarak a pris la tête du camp critique afin de mieux se prémunir contre les réactions virulentes que ne manque pas de provoquer cette initiative. Après avoir émis ses réserves, il s’est envolé pour Riyad, où il a publié avec ses hôtes un communiqué rejetant « l’imposition de l’extérieur d’un type spécifique de réforme aux pays arabes et musulmans (16) ».


Celui qui séme le vent récolte la tempête.
Les américains font toutes leurs guerres hors de chez eux, ils tuent des innocents sans état d'âme peut -être lorqu'ils connaîteront le deuil ils auront plus de compassions pour nos enfants assassinés.








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(1) Pour un exposé du programme de « démocratisation » du Moyen-Orient, lire Victor Davis Hanson, « Democracy in the Middle East : It’s the hardheaded solution », dans le principal organe des néo-conservateurs, The Weekly Standard, Washington, 21 octobre 2002.

(2) George W. Bush, « President Discusses the Future of Iraq », Office of the Press Secretary, The White House, Washington, 26 février 2003.

(3) George W. Bush, « Remarks by the President in Commencement Address at the University of South Carolina », Office of the Press Secretary, The White House, 9 mai 2003.

(4) Michael Ignatieff, « The Burden », New York Times Magazine, 5 janvier 2003.

(5) Au point qu’Ignatieff a dû se rétracter publiquement au sujet de l’Irak : « The Year of Living Dangerously », New York Times Magazine, 14 mars 2004 (traduction française publiée sous le titre « Comment j’ai changé d’avis sur l’Irak », dans Le Monde du 21 mars 2004).

(6) Adam Garfinkle, « The Impossible Imperative ? Conjuring Arab Democracy », The National Interest, New York, automne 2002.

(7) Thomas Carothers, « Promoting Democracy and Fighting Terror », Foreign Affairs, New York, janvier-février 2003.

(8) Sherle Schwenninger, « Revamping American Grand Strategy », World Policy Journal, New York, automne 2003.

(9) « Remarks by the President at the 20th Anniversary of the National Endowment for Democracy, United States Chamber of Commerce », The White House, 6 novembre 2003.

(10) Le texte anglais original est publié sur le site Internet en langue anglaise du quotidien.

(11) PNUD et Fades, Rapport arabe sur le développement humain 2002 et Rapport arabe sur le développement humain 2003,, New York. Le titre est, bien sûr, mal traduit : dans sa version arabe originale et en traduction anglaise, le rapport s’intitule Rapport sur le développement humain arabe. Les deux éditions sont disponibles en téléchargement (gratuit en langue arabe uniquement, payant en anglais et français) sur le site du PNUD.

(12) On appréciera la façon dont l’« immigration illégale » est associée aux autres fléaux.

(13) Nader Fergany, « Critique du projet du “Grand Moyen-Orient” : les Arabes ont grandement besoin de refuser une réforme qui vient de l’extérieur » (en arabe), Al-Hayat, Londres, 19 février 2004.

(14) En représailles, l’administration Bush a considérablement réduit la contribution des Etats-Unis au budget du PNUD par rapport à ce qui avait été déjà voté par le Congrès.

(15) Moncef Marzouki, « Le projet américain de démocratie dans le Grand Moyen-Orient. Oui, mais avec qui ? » (en arabe), Al-Hayat, 23 février 2004.

(16) Lire à ce sujet Nevine Khalil, « Winds of Change », Al-Ahram Weekly, Le Caire, 26 février 2004.

(17) Lire Amira Howeidy, « Swan-Song for Arab Unity », Al-Ahram Weekly, 6 mars 2003.






LE MONDE DIPLOMATIQUE | avril 2004 | Pages 14 et 15
http://www.monde-diplomatique.fr/2004/04/ACHCAR/11101

Traductions de cet article >> English — Greater Middle East: the US plan فارسى — خاورميانه بزرگ 日本語 — アメリカの大中東構想とは Português do Brasil — A nova máscara da política norte-americana
Dans un article sur la stratégie des Etats-Unis, Sherle Schwenninger, codirecteur du programme de politique économique mondiale de la New America Foundation, rappelait que « l’essence même de la politique américaine au cours des trois dernières décennies a été contraire à la démocratie et à l’autodétermination arabes ». Chaque président a poursuivi la même stratégie composée de trois piliers qui ont chacun « profondément aliéné la population arabe » : « le financement de la défense d’Israël et la promotion d’un certain type de processus de paix » ; « le soutien aux gouvernements pro-américains en Egypte et en Jordanie » ; et « le développement d’une étroite alliance avec les familles régnantes des Etats pétroliers du golfe Persique, en particulier avec la famille royale saoudienne ».








« la mentalité arrogante de l’administration américaine actuelle à l’égard du reste du monde, qui l’entraîne à agir comme si elle pouvait disposer du sort des Etats et des peuples (13) ».

2006-09-11 11:41:23 · answer #7 · answered by shahira 2 · 0 0

moi je pense que si les gourvernement, ne s occupais des affaires des autres pays, y aurais moins le bordel. Suffit de regarder les americains, depuis qu ils ont ete en irak c set le bordel tout le monde veux le pouvoir. Ils veulent pas que l iran construise des central nucleaire et il veulent detruire tout les pays qui possede des armes de destruction massive. Ils devrais ce declarer la guerre a eux meme

2006-09-11 11:38:28 · answer #8 · answered by Anonymous · 0 0

et vous que faites vous ?????
pour arreter les guerres le terrorisme la violence la haine
??????????????????????????

2006-09-11 11:32:48 · answer #9 · answered by patrick m 1 · 0 0

il faut manifester; dire aux politiques qu'on a compris leur jeu et on sait qui mène la danse!
ça suffit! on s'aime tous on veut la même chose donc respect entre gens et election des bons ou abstention totale!
c'est une question grave que tu pose! il faut des années d'université pour ne pas pouvoir y repondre (rires) bon courage
cree une association!

2006-09-11 11:29:19 · answer #10 · answered by erase 4 · 0 0

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