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Je ne peux pas m'empêcher de sourire lorsque je pense que le maire de Paris a inauguré cette plaque commémorative à l'honneur d'un pape dont tout le monde connaissait son homophobie et ses prises de position anti IVG.

2006-09-10 13:23:36 · 4 réponses · demandé par Anonymous dans Actualités et événements Événements

4 réponses

quelle ironie n'est ce pas

2006-09-10 13:29:11 · answer #1 · answered by diane 4 · 0 0

Moi ça ne me fait pas sourire, je trouve ça honteux.
Il y avait quand même un millier de personnes venues contester cette décision stupide.

2006-09-10 20:44:11 · answer #2 · answered by saintegrrr 7 · 1 1

Et bien que les Catholiques persistent dans l'idolâtrie, certains tiennent à aller plus loin dans l'oecuménisme

Le défunt pape polonais n'est pas encore canonisé, mais déjà, des villes, dont Paris, baptisent des places à son nom et des portraits fleurissent dans les chapelles.

LE 3 SEPTEMBRE prochain, Jean-Paul II va être honoré à Paris. L'espace situé devant la cathédrale sera renommé Parvis Notre-Dame-Place Jean-Paul-II par le maire de Paris, Bertrand Delanoë, en présence de l'archevêque de Paris, Mgr André Vingt-Trois, du nonce apostolique, Mgr Fortunato Baldelli, du cardinal Jean-Marie Lustiger et du recteur de la cathédrale, Mgr Patrick Jacquin. Les responsables du diocèse ont invité les Parisiens à venir nombreux pour «rendre hommage» au pape défunt.

La tradition parisienne veut que l'on attende au moins cinq ans après le décès d'une personne avant de lui attribuer le nom d'une place, d'une avenue ou d'une rue. Dans le cas de Jean-Paul II, la règle a été bouleversée.

Une béatification déjà en marche

Le Conseil de Paris n'a pourtant pas voté ce projet à l'unanimité. Les Verts, les radicaux de gauche et les communistes s'y sont fortement opposés. Mais la personnalité du prédécesseur de Benoît XVI – surtout abordée sous l'angle du défenseur des droits de l'homme – a emporté les suffrages. Le pape polonais, seize mois après son décès, reste présent dans tous les esprits.

Ainsi, à Cambrai (Nord), le parvis de la basilique Notre-Dame de Grâce, va lui aussi être rebaptisé Place Jean-Paul II, ce 15 août, par le député et maire François-Xavier Villain (apparenté UMP), en présence de l'archevêque Mgr François Garnier et du recteur de la basilique, le père Denis Lecompte. Selon ce dernier, «les habitants sont fiers de passer avant la capitale pour honorer Jean-Paul II et, contrairement à Paris, les élus cambraisiens ont voté à l'unanimité».

L'inauguration se déroulera à l'issue de la grande procession mariale du 15 août qui traverse la cité nordiste. «Sa personnalité, ses écrits et ses gestes ne cessent pas d'être une source de réflexions et de prières, bien au-delà du cercle catholique», explique le père Villain.

Ouvert le 28 juin 2005, son procès en béatification ne sera sans doute pas aussi rapide que pouvaient l'espérer les fidèles qui le réclamèrent «santo subito» – saint tout de suite – lors des funérailles à Rome. Benoît XVI a bien accordé une dispense aux officiels pour que le procès puisse être engagé immédiatement et non cinq ans après le décès, comme la règle l'exige. Mais s'il a souhaité devant des Polonais ravis, lors de sa visite à Cracovie fin mai, «que la providence nous accorde bientôt» sa béatification et sa canonisation, Benoît XVI n'a accordé aucune dispense sur le contenu du procès qui ne sera pas écourté et encore moins bâclé.

Or, en théorie, l'Église n'autorise pas de dévotion officielle pour celui ou celle dont le procès en béatification n'a pas encore abouti. Il n'empêche. Des portraits de Jean-Paul II apparaissent régulièrement au détour d'une chapelle, d'une école ou au domicile des fidèles.

Une personnalité adorée par les fidèles

À la chapelle parisienne de la Médaille miraculeuse, rue du Bac, les religieuses gardent toutes en mémoire sa visite de 1980. Soeur Roselyne conserve ainsi une image du pape sur sa table de chevet et «prie avec lui, chaque soir». Claude, à l'accueil, affirme en avoir une sur son buffet, datant du début de son pontificat. «Il était jeune et beau...» dit-elle.

Pèlerine d'un jour dans ce lieu d'apparition, Colette Bernard, cannoise, possède «une très grande photo de Jean-Paul II» encadrée dans sa chambre. Fatoumata, 28 ans, musulmane pratiquante d'origine sénégalaise, est elle aussi attachée au pape polonais. En stage au Secours catholique, non loin de la chapelle, elle soutient que «l'action de Jean-Paul II en faveur de la paix est toujours aussi présente dans les esprits». Le 3 septembre, elle sera sur le parvis de Notre-Dame de Paris.

2006-09-10 15:40:26 · answer #3 · answered by sharcker01 2 · 1 1

tout le monde a connu le pape pour ses atouts et faiblesses

2006-09-10 16:22:17 · answer #4 · answered by Anonymous · 0 1

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