Une déception, c'est ce qu'on éprouve quand on s'attendait à une chose agréable, et que c'en est une désagréable qui arrive ! On est déçu, on se sent triste, parfois trahi...
Une dépression, c'est un état qui peut durer des jours, ou des semaines, et parfois mêmes des années.
C'est presque une maladie.
C'est une telle tristesse généralisée que l'on n'a plus goût à rien, plus envie de s'amuser, plus capable de rire, de passer un bon moment...
Ce que tu décris, c'est que tu as eu une grosse déception et que maintenant tu commences une dépression.
Trouve quelqu'un à qui parler, famille, ami, psy, et trouve la force de dépasser ta tristesse (je sais, c'est pas facile).
Le temps t'aidera aussi.
Il faut que tu retrouves goût à la vie, elle peut encore t'apporter plein de bonheur, même si tu penses que c'est impossible pour l'instant.
Bon courage.
2006-09-08 11:12:29
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answer #1
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answered by Anonymous
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Bonjour,
Définition de la dépression
C'est une maladie mentale caractérisée par une modification profonde de l'état thymique, de l'humeur dans le sens de la tristesse, de la souffrance morale et du ralentissement psychomoteur. La dépression s'accompagne généralement d'anxiété, et entretient chez le patient une impression douloureuse d'impuissance, de fatalité désespérante, de ruminations à thème de culpabilité, d'indignité, d'auto dépréciation... Tout cela peut le conduire à envisager le suicide et parfois à le réaliser.
Distinction entre "endogène", "exogène" et "dépression narcissique"
C'est dans la forme mélancolique, dite "endogène", que la douleur morale est la plus intense (accès au dossier "mélancolie"). La perte de l'estime de soi et le désir de disparaître peuvent entraîner des idées suicidaires que seule l'inhibition empêche alors de mettre en acte. Certains traitements antidépresseurs présentent justement le danger de lever cette inhibition avant d'agir sur l'état thymique. La forme mélancolique, qui est un des versants de la psychose maniaco dépressive (accès au dossier "psychose maniaco dépressive"), peut s'accompagner de troubles neuro végétatifs et somatiques comme l'anorexie, les troubles du sommeil...
L'autre forme de dépression, la dépression névrotique ou "exogène" revêt des aspects cliniques variés mais dont l'intensité est relativement moins grande. Les idées de suicide y sont cependant fréquentes, présentant l'aspect d'une quête affective inassouvie ou d'un sentiment d'échec. L'anxiété, l'asthénie ou la fatigue générale sont parfois la seule manifestation symptomatique (accès au dossier "dépression").
Notons aussi pour information un type particulier de dépression, sans interdits ni sans culpabilité, spécifique à la psychopathie. C'est la dépression narcissique du psychopathe (accès au dossier "psychopathie").
Etude psychanalytique
La mélancolie peut se comparer à un travail de deuil qui n'arrive pas à s'accomplir. Le Moi, au cours de la dépression, va s'identifier à l'objet perdu, prenant à son propre compte les sentiments ambivalents d'amour et surtout de haine vis à vis de cet objet. Le dépressif va alors affronter une perte imaginaire en s'adressant à lui-même les reproches et l'agressivité destinés normalement à l'objet perdu. "L'ombre de l'objet tomba ainsi sur le Moi, qui put alors être jugé par une instance particulière comme un objet, comme l'objet abandonné. De cette façon, la perte de l'objet s'était transformée en une perte du Moi, et le conflit entre le Moi et la personne aimée en une scission entre la critique du Moi et le Moi modifié par identification".
FREUD, "Deuil et mélancolie".
Une déception, c'est que tu te dis que tu as tout gâcher mais tu surmontes quand même ton problème !
Pour moi, là, tu es dépréssif !
2006-09-08 18:29:38
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answer #2
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answered by dark_elektra9 5
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bonsoir...
debut de bonne depression mon gars ...les deceptions ça se surmontent avec bcp de tps...apprends a tirer les positifs de cet evenement negatif...et tu verras tu en sortiras grandi et plus fort...
là pour le moment arrete de ne penser qu'a toi ouvres les yeux sur l'exterieur visite des hopitaux et quand tu auras vraiment gouter a la vue du malheur et entendus les plaintes silencieuses là tu reagiras ....
dernier conseil reagis vite et donne une bonne leçon a cette nana en te relevant ...tu verras d'en haut tes soucis sont plus petits ...
bon courage et si tu as besoin d'aide ya des tas de personnes ici qui te tendront la main...
et bravo tu as deja un peu reagi puisque que tu as ecris ..continues....
2006-09-09 13:21:22
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answer #3
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answered by syl_en_cieux 3
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là c'est plus une dépression ou aussi ça peut être une mauvaise passe mais ne t'inquiète pas ça passe faut juste ke tu te reposes fasse un point et pour le moment juste chercher des petites choses ki te font envie un film,un bout de chocolat
courage rien est irrémédiable
2006-09-08 19:41:59
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answer #4
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answered by lili_rose_21 2
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la deception c'est ce que l'on eprouve, et la depression, plutot la façon dont on gere la deception
2006-09-08 18:23:36
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answer #5
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answered by licorne 5
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c'est une relation de cause et conséquence c'est a dire quand t'es déçu tu subi une dépression..
2006-09-08 18:18:49
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answer #6
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answered by faycel i 2
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La déception c'est ce qui frappe dans les conduite de l'anorexie aussi bien que de la boulimie, c'est leur radicalité. Qu'il s'agisse de ne rien manger ou de ne pouvoir s'empêcher de tout manger, la loi du « tout ou rien » domine la scène et impose un régime d'angoisse qui fait de la nourriture une source de préoccupation permanente, une obsession qui ne laisse aucun répit. L'alimentation perd sa fonction nutritive aussi bien que sa valeur sociale ; il n'est plus question de faim (la faim est niée dans un cas, rendue impossible dans l'autre), ni de repas. De cette activité fondamentale qui régit les échanges entre l'extérieur et l'intérieur, entre les autres et soi, il ne reste que les limites toujours dépassées : trop-plein et vide qui ne peut être comblé. Entre les deux, pas de passage possible autrement que par un basculement brutal : le moindre désir devient manque, la moindre satisfaction devient excès. Cette vulnérabilité douloureuse témoigne de la grande difficulté qui existe dans ce qu'on pourrait appeler le travail de transformation. Sur la ligne qui mène de l'ingestion à l'identification, il est des moments de passage qui ne peuvent s'effectuer que par les mots. Ou, pour reprendre la formule de Guy Rosolato, « la quête de l'objet primaire sans possibilité de remplacement, de substitution signifiante, doit céder le pas à un deuil qui déclenche les échanges symboliques ». Or c'est bien l'impossibilité de ce deuil qu'évoquent les troubles alimentaires quand ils en viennent à envahir ainsi la vie psychique, au point que plus rien d'autre ne compte que le rapport à la nourriture, cette trace à la fois inaltérable et dérisoire de la quête originelle. C'est dans la boulimie que l'impossibilité du renoncement s'exprime le plus clairement. Avant la crise, se déroule une lutte au cours de laquelle tous les arguments sont invoqués pour dénoncer l'inutilité, la nocivité ou la médiocrité des aliments convoités, ce « n'importe quoi », ces « cochonneries ». L'objet est d'abord déprécié, méprisé, ce qui n'amène finalement qu'à fournir des efforts plus grands encore pour le récupérer. On reconnaît là le symbolisme de la coprophagie, dans lequel Karl Abraham voyait un « symbolisme typique de la mélancolie », cet autre drame de la perte dont la déception et la réincorporation sont le pivot.
On ne dit pas dépression tout court. On dit dépression nerveuse Sous l'appellation de dépression nerveuse ou sous celle, plus juste, d'état dépressif, on désigne en psychiatrie un état pathologique fondé essentiellement sur deux séries de troubles : d'une part, une modification pénible de l'humeur (J. Delay) faite de pessimisme, de sentiments d'incapacité, d'impuissance, de dévalorisation de soi-même, de culpabilité ; d'autre part, un ralentissement de l'activité générale, des fonctions intellectuelles et du comportement psychomoteur.
Si les processus intellectuels sont ralentis, ils se déroulent cependant de façon adéquate. Il n'y a aucun trouble véritable de la mémoire, du jugement et de l'attention, même si le malade, subjectivement, se plaint de tels ou tels troubles.
À ces deux séries de symptômes s'associent d'autres troubles, le plus souvent physiques : douleurs, troubles digestifs, manque d'appétit, diminution de la libido, troubles du sommeil (insomnie ; plus rarement, hypersomnie ; quelquefois dyssomnie, c'est-à-dire impression de mauvais sommeil). Il arrive, d'ailleurs, que ces symptômes physiques sans support lésionnel précis constituent la partie la plus apparente du tableau clinique et que l'état dépressif vécu par le malade ne puisse être mis en évidence qu'après un entretien assez poussé, lorsque le malade n'a pas lui-même vraiment conscience de ce qu'il supporte de pénible. On peut alors parler de « dépression latente » ou de « dépression masquée » (Kielholz).
D'autres troubles mentaux (obsession, phobie, délire) peuvent reposer avant tout sur une organisation dépressive et disparaissent avec elle lorsqu'on la traite. On constate enfin que, pour lutter contre un fond dépressif, certains sujets sont amenés à développer une série de conduites antidépressives (hyperactivité, réaction de caractère de type coléreux, jalousie, conduite alcoolique surtout) capables, avec plus ou moins de succès, de compenser le fond dépressif. C'est ainsi que, de la maladie dite dépression nerveuse, on passe insensiblement à un trouble de l'organisation de la personnalité, voire à une manière d'être au monde. L'état dépressif n'a pas, en effet, que des aspects négatifs ; il peut aussi représenter, pour la personnalité, une phase de réorganisation au cours de laquelle le monde extérieur sera désinvesti de ses attraits au profit de ceux de la personne propre. Il s'agit plus alors d'un trouble de l'économie affective, le sujet se déprimant pour éviter, en quelque sorte, de s'enliser dans la dépression pathologique. On est ainsi à la limite du normal.
Si l'on s'en tient aux états dépressifs pathologiques proprement dits, les statistiques de l'Organisation mondiale de la santé estiment à 5 ou 10% la fréquence dans le monde de tels états. Environ 10% de ces cas sont soignés, les quatre cinquièmes par des médecins non spécialisés, un cinquième seulement par des psychiatres.
On admet généralement que les états dépressifs se développent de plus en plus dans le monde contemporain. Surtout dans les pays industrialisés et pour différentes raisons, ils sont plus fréquents après l'âge de cinquante ans et augmentent avec la longévité de la population. Ils sont plus nombreux dans certaines sphères culturelles en voie d'« occidentalisation », alors que, dans d'autres régions, par exemple dans les pays musulmans, la pratique religieuse semble freiner non seulement la dépression mais les tentatives de suicide. Les excès alimentaires, qui augmentent les risques de maladies cardio-vasculaires, entraînent du même coup une fréquence plus grande des états dépressifs, assez souvent liée à des désordres vasculaires chez les personnes âgées. Enfin, l'extension des thérapeutiques médicamenteuses a fait découvrir l'existence de dépressions iatrogènes consécutives à des régimes excessifs, à l'utilisation de certaines drogues anti-hypertensives, de corticoïdes, etc.
On est mieux informé, dans l'opinion sur les symptômes des états dépressifs et le diagnostic en serait plus répandu qu'avant la Première Guerre mondiale. On tend à codifier au maximum la symptomatologie dépressive à l'aide d'échelles d'évaluation (Hamilton, Mongomery-Asberg), utilisables à la fois par les psychiatres, les médecins généralistes et les infirmières. On y recourt pour juger de l'effet de nouveaux médicaments antidépresseurs, mais aussi pour permettre des comparaisons transculturelles, entre pays de culture différente par exemple, grâce à un langage commun plus homogène.
2006-09-08 18:17:44
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answer #7
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answered by Momo 7
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je voulais répondre,
mais bon, après babeth,
on peut pas faire mieux.
Je sais, c'est très moyen, mais:
"ne regarde pas l'arbre, mais la forêt qui est cachée derrière"
Bon courage!!!!!
2006-09-08 18:16:25
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answer #8
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answered by none 2
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si les signes que tu dis sont vrais, c'est une dépression et elle est sérieuse.
un conseil : va voir un psychiatre pour te faire soigner.
Ne va pas voir un médecin généraliste ou un psychologue.
une dépression c'est grave mais c'est pas une catastrophe, il faut se faire soigner, c'est une maladie comme une autre.
bon courage
2006-09-08 18:11:40
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answer #9
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answered by nice revival 1
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la deception : tu é déçu apré cette histoire,,,alors tu met du temp ,,je dirai le temp ke tu revoi d'autre horizons,,,
la depression : tu te met dans un cercle viscieux de kestions,,,envers toi meme,,,et tu fé ainsi du mal sans s'en apercevoir,,é la tu DISJONCTE,,,
bref,,,,
fo saccrocher,,,fo jamais baisser les bras,,juska trouver la bonne foi,,,la bonne MADAME mdrr,,bann courage
2006-09-08 18:10:18
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answer #10
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answered by cannavaro 1
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