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2006-09-05 04:48:06 · 14 réponses · demandé par Merlin 4 dans Arts et sciences humaines Livres et auteurs

14 réponses

le renard et gugus

2006-09-05 05:03:46 · answer #1 · answered by facedeux 1 · 0 0

Le loup est le chien je crois.

J'aime bien la fin, notamment :

"Chemin faisant, il vit le col du chien pelé.
" Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître loup s'enfuit, et court encor. "

2006-09-05 12:01:59 · answer #2 · answered by hihihi 2 · 1 0

Le loup et le brebis
Le cigale et le fourmi

2006-09-06 13:15:23 · answer #3 · answered by Edo 3 · 0 0

"Les animaux malades de la peste", car il fallait oser l'écrire. "La besace" est aussi excellente.

2006-09-06 12:27:51 · answer #4 · answered by AVOINE anti censure 6 · 0 0

La Cigale et la Fourmie
Le Corbeau et le Renard
Le Loup et l'Agneau
Le grenier son fils et l'âne

2006-09-06 11:46:51 · answer #5 · answered by Charline 5 · 0 0

Le Renard et les Raisins

Certain renard gascon, d'autres disent normand,
Mourant presque de faim, vit au haut d'une treille
Des raisins mûrs apparemment,
Et couverts d'une peau vermeille.
Le galand en eut fait volontiers un repas;
Mais comme il n'y pouvait point atteindre:
"Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats."
Fit-il pas mieux que de se plaindre?

Concise, efficace...

2006-09-06 00:04:28 · answer #6 · answered by hiraoka_85 1 · 0 0

Pour moi aussi, ma fable préférée est "Les animaux malades de la peste" et son célèbre "Haro sur le baudet" dont on voit de nombreux exemples.

2006-09-05 17:34:20 · answer #7 · answered by guy2net60 2 · 0 0

Les animaux malades de la peste. (toujours d'actualité depuis le XVIIème)


Les Animaux malades de la peste

Un mal qui répand la terreur,
Mal que le Ciel en sa fureur
Inventa pour punir les crimes de la terre,
La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom)
Capable d'enrichir en un jour l'Achéron,
Faisait aux animaux la guerre.
Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :
On n'en voyait point d'occupés
A chercher le soutien d'une mourante vie ;
Nul mets n'excitait leur envie ;
Ni Loups ni Renards n'épiaient
La douce et l'innocente proie.
Les Tourterelles se fuyaient :
Plus d'amour, partant plus de joie.
Le Lion tint conseil, et dit : Mes chers amis,
Je crois que le Ciel a permis
Pour nos péchés cette infortune ;
Que le plus coupable de nous
Se sacrifie aux traits du céleste courroux,
Peut-être il obtiendra la guérison commune.
L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents
On fait de pareils dévouements :
Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence
L'état de notre conscience.
Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons
J'ai dévoré force moutons.
Que m'avaient-ils fait ? Nulle offense :
Même il m'est arrivé quelquefois de manger
Le Berger.
Je me dévouerai donc, s'il le faut ; mais je pense
Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi :
Car on doit souhaiter selon toute justice
Que le plus coupable périsse.
- Sire, dit le Renard, vous êtes trop bon Roi ;
Vos scrupules font voir trop de délicatesse ;
Et bien, manger moutons, canaille, sotte espèce,
Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes Seigneur
En les croquant beaucoup d'honneur.
Et quant au Berger l'on peut dire
Qu'il était digne de tous maux,
Etant de ces gens-là qui sur les animaux
Se font un chimérique empire.
Ainsi dit le Renard, et flatteurs d'applaudir.
On n'osa trop approfondir
Du Tigre, ni de l'Ours, ni des autres puissances,
Les moins pardonnables offenses.
Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins,
Au dire de chacun, étaient de petits saints.
L'Ane vint à son tour et dit : J'ai souvenance
Qu'en un pré de Moines passant,
La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense
Quelque diable aussi me poussant,
Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.
Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
A ces mots on cria haro sur le baudet.
Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue
Qu'il fallait dévouer ce maudit animal,
Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal.
Sa peccadille fut jugée un cas pendable.
Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable !
Rien que la mort n'était capable
D'expier son forfait : on le lui fit bien voir.
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.

2006-09-05 16:31:11 · answer #8 · answered by Anonymous · 0 0

le loup et le chien
le coq et le renard

2006-09-05 15:17:06 · answer #9 · answered by fenrisodessa 4 · 0 0

Le corbeau et le renard

2006-09-05 14:24:30 · answer #10 · answered by Evelyne j 3 · 0 0

moi j'aime bien celle qui raconte l'histoire du paysan qui se fait ravager son jardin par le passage de la chasse d'un grand seigneur et qui dit "selon que vous serai puissant ou misérable..." j'ai plus le titre en téte

2006-09-05 14:20:14 · answer #11 · answered by oph 2 · 0 0

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