Jusqu'au moyen âge les chrétiens s'accordaient sur le fait que la Bible comportait de nombreux passages métaphoriques comme celui de la création d'Adam et Eve. Les croyances littérales n'ont commencé qu'à la renaissance.
Aucune théorie scientifique ne peut être confirmée à 100%. Ce n'est pas dans sa définition.
"Une théorie est scientifique si elle est réfutable." Alain Bachelard.
2006-09-04 04:45:30
·
answer #1
·
answered by Capitaine Flam 4
·
0⤊
0⤋
Je vais peut etre en étonner certains sans prétention toute fois.
LA BIBLE - un livre en accord avec la science ?
Religion et science n’ont pas toujours fait bon ménage. Dans les siècles passés, des théologiens se sont opposés aux découvertes scientifiques qu’ils jugeaient compromettantes pour leur interprétation des Ãcritures. Faut-il pour autant voir dans la science l’ennemie de la Bible ?
Sur quoi la terre repose-t-elle ?
Dans les temps anciens, d’autres questions ayant trait au cosmos hantaient les humains : Sur quoi la terre repose-t-elle ? Qu’est-ce qui maintient en place le soleil, la lune et les étoiles ? La loi de la gravitation universelle, formulée par Newton, ne serait publiée qu’en 1687, et l’idée que des corps célestes puissent être littéralement suspendus dans le vide, sur rien, était étrangère à l’esprit de l’époque. L’explication généralement avancée était donc que des objets ou des substances concrètes maintenaient la terre et les autres corps célestes en suspension.
Selon une ancienne croyance, peut-être imaginée par un peuple insulaire, la terre était entourée d’eau et flottait. Les hindous se figuraient que la terre reposait sur plusieurs fondements successifs : d’abord sur quatre éléphants, les éléphants sur une tortue géante, et la tortue sur un gigantesque serpent enroulé qui flottait sur les eaux de l’univers. Empédocle, philosophe grec du Ve siècle avant notre ère, croyait, quant à lui, que la terre reposait sur un tourbillon à l’origine du déplacement des corps célestes.
à l’époque, l’influence d’Aristote était déterminante. Tout en supposant la terre sphérique, il niait catégoriquement qu’elle puisse être suspendue dans le vide. Réfutant l’idée que la terre repose sur l’eau, il déclara ceci dans son Traité du ciel : “ L’eau non plus [pas plus que la terre] ne reste pas naturellement immobile en l’air, mais elle doit reposer sur quelque chose4. ” Quel est donc ce “ quelque chose ” ? Aristote affirmait que le soleil, la lune et les étoiles étaient fixés à la surface de sphères solides et transparentes. Chaque sphère se trouvait imbriquée dans une autre, et la terre se tenait, immobile, au centre. à mesure que les sphères tournaient les unes dans les autres, les corps qu’elles soutenaient — le soleil, la lune et les planètes — se déplaçaient dans le ciel.
L’explication d’Aristote se tenait. En effet, comment interpréter autrement que des corps célestes restent en suspension sans être retenus à quoi que ce soit ? L’admiration qui entourait ce personnage valut à son opinion d’être admise comme un fait pendant environ 2 000 ans. Une encyclopédie (The New Encyclopædia Britannica) explique qu’aux XVIe et XVIIe siècles l’Ãglise “ a élevé au rang de dogme religieux ” les conceptions d’Aristote5.
L’invention de la lunette astronomique entraîna une remise en cause de la théorie d’Aristote. L’énigme ne devait toutefois trouver solution qu’avec Isaac Newton, lequel expliqua que les planètes sont suspendues dans le vide, maintenues sur leur orbite par une force invisible : la gravité. La chose paraissait incroyable. Même certains collègues de Newton doutaient que l’espace fût un vide, un vide presque totalement dépourvu de matière6.
Que disait la Bible sur cette question ? Il y a près de 3 500 ans, elle affirmait en termes on ne peut plus clairs que la terre est suspendue “ sur rien ”. (Job 26:7.) Dans l’original hébreu, le mot traduit ici par “ rien ” (belimah) signifie littéralement “ sans rien7 ”. Une traduction anglaise (Contemporary English Version) emploie l’expression “ sur le vide ”.
Une planète suspendue “ sur le vide ” : voilà qui à l’époque ne cadrait pas du tout avec l’image que l’on se faisait généralement de la terre. Bien en avance sur son temps, le rédacteur biblique consigna pourtant cette affirmation scientifiquement exacte.
Bible et médecine
La médecine moderne nous a beaucoup appris sur la propagation et la prévention des maladies. Les progrès du XIXe siècle ont introduit dans la pratique médicale l’antisepsie, méthode consistant à lutter contre l’infection par des mesures d’hygiène. Le résultat ne se fit pas attendre. On nota une diminution sensible des cas d’infection et de mort prématurée.
Les médecins de l’Antiquité, eux, ne saisissaient pas pleinement les phénomènes de contagion ni ne mesuraient l’importance de l’hygiène dans la prévention des maladies. Nombre de leurs pratiques médicales passeraient d’ailleurs pour barbares aujourd’hui.
Un des plus anciens textes médicaux parvenus jusqu’à nous est le papyrus Ebers, une compilation du savoir thérapeutique égyptien des années 1550 avant notre ère. Répertoriés dans ce rouleau, quelque 700 remèdes contre les maux les plus divers, “ de la morsure de crocodile à la douleur d’orteil8 ”. Une encyclopédie biblique (The International Standard Bible Encyclopaedia) déclare ceci : “ Les connaissances médicales de ces médecins étaient purement empiriques, essentiellement magiques et tout à fait contraires à la science9. ” La plupart des remèdes proposés étaient au mieux inefficaces, au pire extrêmement dangereux. Une prescription censée favoriser la cicatrisation recommandait par exemple de panser la plaie avec des excréments humains mélangés à d’autres substances10.
Ce précis médical égyptien est à peu près contemporain des premiers livres de la Bible, donc de la Loi mosaïque. Né en 1593 avant notre ère, Moïse grandit en Ãgypte (Exode 2:1-10). Comme il appartenait à la maisonnée de Pharaon, il fut “ instruit dans toute la sagesse des Ãgyptiens ”. (Actes 7:22.) Il connaissait bien “ les médecins ” d’Ãgypte (Genèse 50:1-3). Trouve-t-on l’empreinte de leurs thérapeutiques inefficaces ou dangereuses dans les écrits de Moïse ?
Pas du tout. La Loi mosaïque renferme au contraire des règles sanitaires très en avance sur leur temps. C’est ainsi qu’une loi concernant les campements militaires stipulait que l’on enterre les excréments en dehors du camp (Deutéronome 23:13). C’était là une mesure préventive particulièrement avancée. En effet, outre qu’elle empêchait la contamination de l’eau, elle offrait une protection contre la shigellose, transmise par les mouches, et contre les autres maladies diarrhéiques qui, aujourd’hui encore, fauchent chaque année des millions de vies dans les pays où les conditions sanitaires sont déplorables.
La Loi mosaïque contenait d’autres mesures préventives contre la propagation des maladies infectieuses. C’est ainsi que tout individu contagieux ou supposé tel était mis en quarantaine (Lévitique 13:1-5). Vêtements et récipients touchés par un animal mort de lui-même, peut-être de maladie, devaient être ou lavés ou détruits (Lévitique 11:27, 28, 32, 33). Quiconque touchait un cadavre était considéré comme impur et devait passer par tout un processus de purification, qui prévoyait notamment des bains et le lavage de ses vêtements. Pendant les sept jours de son ‘ impureté ’, l’individu devait éviter tout contact physique avec les autres. — Nombres 19:1-13.
La sagesse d’un tel code sanitaire offrait un contraste saisissant avec la médecine des nations environnantes. Plusieurs milliers d’années avant que la science médicale n’étudie les modes de propagation des maladies, la Bible recommandait des mesures préventives équilibrées. Nul ne s’étonnera dès lors des paroles de Moïse selon lesquelles les Israélites vivaient à son époque en moyenne 70 ou 80 ans. — Psaume 90:10.
L’exactitude scientifique des faits bibliques précédents ne doit pas faire oublier que d’autres affirmations bibliques sont, elles, scientifiquement indémontrables. Faut-il y voir une incompatibilité entre Bible et science ?
2006-09-04 06:55:30
·
answer #2
·
answered by guillaume g 2
·
1⤊
0⤋
La science contredit totalement les religions c'est pour cela que certains musulmans refusent que leurs enfants suivent des cours de biologie.
Rien que l'idée que le paradis est dans le ciel au dessus de nous on a fait le tour y'a rien c'est sur
2006-09-04 04:33:56
·
answer #3
·
answered by Damien 6
·
1⤊
0⤋
le jour où la bible sera une science on le saura ! lol ! la science se n'est pas un livre écrit par les disciples de jésus. Lol. Même les historiens ne sont pas d'accord avec des trucs de la bible (on va dire qu'il exagère dans la bible). La science est beaucoup plus sur que la bible!
2006-09-04 04:32:44
·
answer #4
·
answered by Anonymous
·
1⤊
0⤋
salut,ben tu sais la bible n'est ni un roman ni une biographie,tout ce que tu y lis doit être interpréter d'une autre façon car les mots contiennent beaucoup de symbols.je pense qu'elles se complètent car la science donne des chiffres précis a ce que la bible raconte.par example,la fin du monde dont la bible parle dans l'apocalypse arrivera vraiment d'après les scientifiques ,dans la bible on te dit que c'est a cause du mal et la science te dit que c'est a cause de la pollution,mais en fait la pollution n'est-ce pas un mal crée par l'homme...
2006-09-05 20:39:10
·
answer #5
·
answered by Elodie B 1
·
0⤊
0⤋
La Science et les ouvrages religieux décrivent le monde sous des aspects différents.
D'âme scientifique, et après avoir étudié plusieurs religions, mon avis est le suivant...
La Science décrit les règles et processus qui façonnent le monde tel qu'il existe. Le principe de base de la Science est la reproductibilité de l'expérience à partir des mêmes conditions initiales, ce qui semble bien efficace pour décrire le monde matériel dans lequel nous vivons! Quelques règles de base en physique, chimie et médecine ont suffi pour envoyer des hommes sur la lune, guérir des maladies, mettre en place des vecteurs de communication à l'échelle de la planète qui étaient inimaginables il y a moins de 100 ans.
La Spiritualité travaille sur la rapport qu'entretient l'homme avec le monde et lui permet de trouver du sens et une aspiration. Notre esprit génère tout seul de la "Religion", à savoir des raisonnements ou des déductions non scientifiques. Se cacher loin de ces inspirations, se distancier des mécanismes fondamentaux de l'esprit tue l'homme en tant que créature pensante et en fait un "fonctionnaire" de ses fonctions biologiques. Selon Einstein, l'imagination est la première vertu scientifique.
Après tout, maintenant que nous vivons 90 ans, que nous pouvons communiquer facilement et que nous savons lire et écrire, à quoi pouvons-nous utiliser cela? Tout cela pour nous dire quoi, pour apporter quoi?
2006-09-05 17:25:03
·
answer #6
·
answered by Karim 2
·
0⤊
0⤋
la bible était considéré comme une référence quand la science n'existait pas
maintenant que la science explique le monde qui nous entoure plus besoin de sornettes !!!
2006-09-05 02:50:40
·
answer #7
·
answered by minette 3
·
0⤊
0⤋
La science réfute-t-elle la Bible?
La science et la Bible
LA SCIENCE a-t-elle rendu invraisemblable la croyance en la Bible? Pour certains, il semble que oui, mais nous devons garder présent à l'esprit que, par essence, la Bible n'est pas un ouvrage scientifique. Elle nous fait découvrir une vérité autre que celle révélée par les méthodes de la science. Toutefois, le contenu de la Bible a parfois trait à la géologie, à l'archéologie ou à d'autres sciences. Dans ce cas, son texte concorde-t-il avec les dires des hommes de science?
En 1613, le savant italien Galilée publia un ouvrage connu sous le nom de "Lettres solaires", dans lequel il avançait des preuves que la terre tourne autour du soleil et non l'inverse. Cette publication déclencha une série d'événements qui le conduisirent devant l'Inquisition sous le coup d'une "forte présomption d'hérésie". Il fut contraint d'"abjurer". Mais pourquoi jugeait-on hérétique l'idée que la terre tourne autour du soleil? Les adversaires de Galilée soutenaient que cette hypothèse était contraire à la Bible...
La terre
Arrêtons-nous, par exemple, sur ce que la Bible dit de notre planète. On lit dans le livre de Job: "[Dieu] étend le nord sur le lieu vide, suspendant la terre sur le néant." (Job 26:7). Ésaïe, pour sa part, déclare: "Il y a Quelqu'un qui habite au-dessus du cercle de la terre." (Ésaïe 40:22). Cette image d'une terre ronde, 'suspendue sur le néant', "sur le lieu vide", ne nous fait-elle pas aussitôt penser au globe terrestre flottant dans l'espace, tel que des astronautes l'ont photographié?
Considérez maintenant le cycle étonnant de l'eau.
Ce processus remarquable, qui rend possible la vie sur la terre ferme, fut décrit avec justesse par la Bible, voilà quelque 3 000 ans, en des termes fort simples: "Tous les torrents descendent à la mer, et la mer jamais n'est emplie de ces eaux qui remontent à leur source pour couler de nouveau." - Ecclésiaste 1:7,
Peut-être plus remarquable encore est l'aperçu que donne la Bible de la formation des montagnes. Un manuel de géologie offre cette explication: "Depuis le précambrien jusqu'à notre époque, le phénomène de formation et de destruction des montagnes s'est prolongé. (...) Non seulement les montagnes sont nées au fond des mers qui ont disparu, mais elles ont été souvent submergées longtemps après leur formation. À la suite de ce phénomène, leurs cimes ont été exhaussées2." Comparez cette citation avec les propos poétiques du psalmiste: "Des flots d'un abîme, comme d'un vêtement, tu l'avais couverte [la terre]. Les eaux se tenaient au-dessus des montagnes mêmes. Des montagnes se mirent à monter, des vallées-plaines se mirent à descendre - vers le lieu que tu as fondé pour elles." - Psaume 104:6, 8.
Le premier verset de la Bible déclare: "Au commencement Dieu créa les cieux et la terre." (Genèse 1:1). Sur la foi de leurs observations, les hommes de science ont émis l'hypothèse que l'univers matériel a effectivement eu un commencement. Il n'a pas, en effet, toujours existé. L'astronome Robert Jastrow, un agnostique, écrivit: "Si l'astronomie et la Genèse se contredisent sur des détails, elles s'accordent en revanche sur l'essentiel: La chaîne des événements qui aboutit à l'homme commence de façon brusque, à un moment bien précis, dans un jaillissement de lumière et d'énergie3."
Bien qu'ils reconnaissent un commencement à l'univers, de nombreux scientifiques rejettent la formule "Dieu créa". Pourtant, certains admettent aujourd'hui qu'il est difficile de nier qu'une forme d'intelligence se cache derrière tout ce qui existe. 'Plus j'examine l'univers et étudie en détail son architecture, plus je découvre des preuves qu'il attendait sans doute notre venue', écrit Freeman Dyson, professeur de physique.
QUEL intérêt la Bible peut-elle bien avoir pour des hommes vivant à l'aube du XXIe siècle ? Aucun, répondent certains. Ainsi Eli Chesen, médecin de son état, a expliqué pourquoi il trouvait la Bible dépassée : " Personne ne recommanderait un livre de chimie de 1924 comme manuel de base pour un cours de chimie moderne ; nos connaissances en chimie se sont trop étendues depuis lors. " De prime abord, l'argument se tient. Après tout, depuis la rédaction de la Bible, on a beaucoup appris dans des domaines comme la science, la santé mentale et le comportement humain. D'aucuns demanderont : ' Comment un livre aussi ancien pourrait-il échapper aux aberrations scientifiques ? Comment pourrait-il contenir des conseils encore valables pour l'homme moderne ? '
La Bible répond elle-même. En 2 Pierre 1:21, elle dit que les prophètes s'exprimant dans la Bible " ont parlé de la part de Dieu, comme ils étaient portés par l'esprit saint ". La Bible se présente donc comme un livre venant de Dieu.
La science et la Bible m'ont aidé à trouver le sens de la vie
PAR BERND OELSCHLÄGEL
Il m'a fallu 20 ans pour trouver le sens de la vie. Deux facteurs m'y ont aidé : la science et la Bible. L'étude de la science m'a confirmé que la vie a forcément un sens. La Bible, elle, m'a aidé à le découvrir et à le comprendre.Si vous voulez en savoir plus
( espoirhoffnung@yahoo.fr )
2006-09-04 11:29:59
·
answer #8
·
answered by espoir h 3
·
0⤊
0⤋
"(L'islam) a substitué l'homme au moine. Il apporte l'espoir à l'esclave, la fraternité à l'humanité, et dévoile la quintessence de la nature humaine ".
Canon Taylor
Conférence au Church Congress de Wolverhampton, le 7 octobre 1887.
Texte cité par Arnold dans "The Preaching of Islam" pages 71,72.
"Une des plus belles aspirations de l'islam est la justice. En lisant le Coran, j'y rencontre une doctrine de vie dynamique, non pas des éthiques mystiques, mais une éthique pratique pour mener à bien une vie quotidienne, adaptable au monde entier".
Sarojini Naidu
Conférences sur "The Ideals of Islam" voir "Speeches and Writings of Sarojini Naidu", Madras, 1918, p. 167.
"L'histoire montre cependant clairement, que la légende des Musulmans fanatiques balayant le monde et imposant l'islam par la pointe de l'épée aux races conquises, est un des mythes les plus fantastiquement absurdes qui aient jamais été rapportés par les historiens".
De Lacy O'Leary
"Islam at the Crossroads", Londres, 1923 p. 8.
"Mais l'Islam a encore de nombreux services à rendre à la cause de l'humanité. Après tout, il est plus proche de l'Orient réel que ne l'est l'Europe, et il possède une magnifique tradition de compréhension et de coopération interraciales. Aucune autre société n'a aussi bien réussi à unir, en un même statut, un même objectif et un même effort, tant de races d'hommes différentes... L'Islam a encore le pouvoir de réconcilier des éléments raciaux et de tradition apparemment inconciliables. Si jamais il fallait remplacer l'opposition des grandes sociétés occidentales et orientales par la coopération, la médiation de l'Islam en serait une condition indispensable. Il détient très largement la solution du problème auquel l'Europe est confrontée dans ses relations avec l'Orient. S'ils s'unissent, l'espoir d'une solution pacifique est énorme. Mais si l'Europe, en rejetant cette coopération de l'islam, le jette entre les bras de son rival, alors la solution ne peut qu'être désastreuse pour les deux."
H.A.R. Gibb
"Whither Islam", Londres, 1932, p.379.
"J'ai toujours eu une haute estime pour la religion de Muhammad à cause de sa merveilleuse vitalité. C'est la seule religion qui me semble posséder cette capacité d'assimilation aux différentes étapes de l'existence qui peuvent survenir à n'importe quel âge. J'ai étudié cet homme merveilleux qui, à mon avis, est loin d'être un anté-Christ, et qui devrait être appelé le Sauveur de l'Humanité. J'estime que si un homme comme lui devait exercer une hégémonie sur le monde moderne, il réussirait à résoudre ses problèmes de façon à lui apporter toute la paix et tout le bonheur si nécessaires: en parlant de la foi de Muhammad, j'ai prédit que cette dernière serait acceptable pour l'Europe de demain comme elle est déjà acceptable pour l'Europe d'aujourd'hui".
G. B. Shaw
"The Genuine Islam", Vol. 1, No. 81936.
"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."
A.J. Toynbee
"Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.
« L'essor de l'Islam constitue peut-être l'événement le plus étonnant de l'histoire de l'humanité. Surgissant d'une terre et d'un peuple négligés, l'Islam s'est répandu en un siècle, à travers toute la terre, ébranlant de grands empires, renversant des religions établies de longue date, reforgeant les âmes des races et construisant un monde totalement nouveau - un monde islamique.
Plus on examine ce développement de près, plus il nous semble extraordinaire. Les autres grandes religions on fait leur chemin lentement, en luttant péniblement et ont finalement triomphé grâce à l'aide de monarques puissant convertis à la nouvelle foi. Le Christianisme avait son Constantin, le Bouddhisme son Asoka et le Zoroastrisme, son Cyrus, prêtant chacun au culte de son choix la force d'une autorité séculière. Ce n'est pas le cas de l'Islam. Emergeant d'une terre déserte peu habitée par une race nomade qui ne s'était jamais fait remarquer auparavant dans les annales de l'humanité, l'Islam s'est lancé dans sa grande aventure faiblement soutenu par les hommes et allant à l'encontre de forces matérielles terribles. Et pourtant l'islam a triomphé avec une facilité apparente et deux générations on vu le Fier Croissant porté en triomphe des Pyrénées à l'Himalaya et du désert d'Asie Centrale aux déserts d'Afrique Centrale. »
A.M.L. Stoddard
cité dans "Islam - The Religion of All Prophets", Begum Bawani Waqf, Karachi, Pakistan, p. 56.
"L'islam est une religion essentiellement rationnelle dans la plus large acception étymologique et historique du terme. La définition du rationalisme en tant que système qui fonde les croyances religieuses sur des principes fournis par la raison lui est parfaitement applicable. Il est indéniable que bien des doctrines et des systèmes de théologie ainsi que de nombreuses superstitions, de la vénération des saints à l'utilisation de chapelets et d'amulettes, se sont greffées sur le tronc principal du credo musulman. Mais, malgré l'ampleur du développement, dans tous sens du terme, des enseignements du Prophète, le Coran a invariablement maintenu sa place en tant que point de départ fondamental, et le dogme de l'unicité de Dieu y a toujours été proclamé avec une grandeur, une majesté, une pureté inébranlable et avec une conviction assurée, qu'il est difficile de trouver hors du sein de l'Islam. Cette fidélité au dogme fondamental de la religion, la simplicité élémentaire de la formule par laquelle il est énoncé, la preuve qu'il détient de la fervente conviction des missionnaires qui le propagent, sont autant de causes permettant d'expliquer le succès des efforts missionnaires; musulmans. Un credo si précis, si dénué de toute complexité théologique, et donc si accessible à la compréhension ordinaire, doit certainement posséder et possède d'ailleurs, un merveilleux pouvoir pour se frayer un chemin dans la conscience des hommes. »
Edward Montet
"La Propagande Chrétienne et ses Adversaires Musulmans". Paris 1890,
cité par T.W. Arnold dans "The Preaching of Islam", Londres 1913, p. 413,414.
"je ne suis pas un Musulman dans le sens usuel du terme, mais j'espère bien être un "Musulman" au sens de "serviteur fidèle de Dieu". Je pense toutefois qu'il y a de vastes vitrines de la vérité divine enchâssées dans le Coran et dans d'autres expressions de la vision islamique, dont moi-même et d'autres Occidentaux avons encore beaucoup à apprendre et l'islam est certainement un solide réservoir capable de fournir la structure de base de la religion de l'avenir".
W. Montgomery Watt
"Islam and Christianity Today", Londres 1983, p. IX.
2006-09-04 07:17:32
·
answer #9
·
answered by Sam2007 2
·
0⤊
0⤋
qu en penses tu vraiment ??
2006-09-04 06:34:01
·
answer #10
·
answered by amarante 4
·
0⤊
0⤋
les archéologue travaille avec les scientifique ils ont trouvaient des tablette en iraque datant de 6 milles ans AV JC sa parle de l'histoire d'un sertin noé est d'un bateau échoué sur une montagne.Bien sur les scientifiques ont pu daté ces tablettes au carbone 14 .
tu c'est les auteur de la bible étaient de grand croyant et de grand histoiriens;
ils ont pris les histoires qui leur avaient été transmises par d'autre j'usqu'a ce qu'on finisse par les consigner par écrit est les églises ont pris des portion de l'histoire pour les raconter a leurs façons,
comme tu le vois bien sur ! les scientifique se completent ! ont peut retrouvé des portions de ll'histoire biblique grasse a la science .
de plus grasse a la bible les scientifiques est lse archéologues ont retrouvé sertin cite ou écris .
2006-09-04 06:13:50
·
answer #11
·
answered by Anonymous
·
0⤊
0⤋