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2006-09-02 06:33:15 · 26 réponses · demandé par elie 1 dans Politique et gouvernement Politique

26 réponses

Le socialisme certainement, dommage qu'il soit si déformé, transformé en un système de nivellement par le bas par les uns, utilisé pour nous entuber par le PS qui n'a absolument rien gardé des idées du père Jaurès.
Le capitalisme n'est pas mauvais non plus qui permet à l'argent d'être réinvesti au lieu d'être empilé dans des bas de laines. Mais lui aussi est déformé et pourri.
Il est pourri pour deux raisons:
1/ Les placements en bourse étaient destinés aux gens qui avait trop de pognons et "jouaient", certains gagnaient, d'autres perdaient, ça n'enrichissait pas directement les travailleurs, mais ça créait de l'emploi et des bien.
Maintenant, les classes moyennes et modestes, dont une majorité de gens qui se prétendent opposées au capitalisme, placent leur petites économies en bourse (il y a aussi les fonds de pension): Il est donc impensable que quiconque perde réellement de l'argent en bourse, ce serait la révolution. Donc on arrive à ce paradoxe que les ouvriers placent de l'argent et que par ce système pervers provoquent les délocalisations !
C'est particulièrement net depuis les années 80.

2/ Il y a aussi un fait historique:
Quand Al Capone et la mafia ont eut gagné suffisamment de fric, Al décida qu'ils allaient s'enrichir "honnêtement" et leur pognon passa dans toute activité légales qui pouvaient rapporter.
Seulement les méthodes étaient restées (Corruption, intimidation, rétorsion).
En Europe il en était différemment. Le patronat était paternaliste, c'est à dire qu'il prenait en charge les ouvriers de leur naissance à leur mort (ils jouaient le rôle que l'on demande à l'état actuellement). Quand ils faisaient faillite, c'était sur leur bien personnels et généralement un failli se suicidait car c'était quelque chose de honteux.
Les syndicats ont réprouvé ces pratiques, ce qui a permis au système américain de gagner petit à petit l'Europe.
Ça avait commencé dés après guerre, les dernières traces de paternalisme ont disparu dans les années 70.
De Gaulle avait permit à la France de résister (un peu), à la pression américaine, ses successeurs aussi avaient gardé une certaine prudence, mais à partir de 81 on a cédé et on a commencé à brader les parties rentables du service public (celles qu'il fallait garder).
Actuellement, il n'y a plus de volonté politique, il n'y a qu'un souci de gestion pour le quinquennat à venir (avant, on voyait sur une durée de 7 ans !) , droite comme gauche collent des rustine sur un vieux pneu qui crève de partout, les politiciens se bouffent le nez entre gens du même bord et ceux qui font leur travail honnêtement se font coller des emmerdes par les autres, ceux qui ne veulent la place que par goût du pouvoir.

Les Français, en bons veaux qu'ils sont, gobent toutes les salades au lieu de regarder réellement les résultats des uns et des autres (Il n'y a que ça qui compte !)


J'en rajoute un peu: Ceux qui font des copié-collé de Wilkipédia pourraient avoir l'honnêteté de citer leur source ou l'intelligence de changer quelques mots ou phrase afin qu'on ne retrouve pas immédiatement leur source.
De plus ça n'a aucun intérêt, puisque les questionneurs ne sont pas cons au point de ne pas avoir cherché ! Ce qu'ils veulent c'est notre avis, pas des idées imposées par telle ou telle référence.

2006-09-02 07:02:47 · answer #1 · answered by xenex 4 · 2 0

Il faut des deux, mais j'ai une préférence pour le coté tirer le monde vers le haut, inciter à l'effort, du capitalisme. Le social, c'est clair qu'on ne peut pas laisser des gens trop dans la merde, mais on peut pas nourrir tout le monde au frais de la princesse et pendant toutes leurs vies.

Je suis pour que les gens se bougent le cul, rien n'est jamais acquis !

2006-09-02 06:51:46 · answer #2 · answered by Anonymous · 1 0

les deux ne sont pas justes. LA raison est simple: les dirigeants sont corrompus et/ou assoiffés de pouvoir dans les deux systèmes. pour juger et comparer les deux systèmes il faudrait que les dirigeants s'occupent des problémes quotidiens de la population... ben quoi... pourquoi vous rigolez tous, j'ai dit une connerie:-)

2006-09-02 06:39:29 · answer #3 · answered by dzik 3 · 1 0

ni l'un, ni l'autre!

2006-09-02 06:36:46 · answer #4 · answered by Anonymous · 1 0

Il y a surement qq chose au mileiu des deux qui est plus juste

2006-09-02 06:35:10 · answer #5 · answered by WATER 5 · 1 0

(mode schtroumpf grognon on) :

J'aime pas les isme !

(mode schtroumpf gronon off)

C'est très dangereux les isme :

strabisme
snobisme
racisme
séisme
canibalisme...

2006-09-02 06:46:08 · answer #6 · answered by fibule2003 4 · 0 0

le capitalisme à ces avantages et ces inconvénients :


un capitalisme à base foncière, exploitant les rentes constituées par les différences de rendement agricole ;
un capitalisme minier, interférant avec la politique internationale quand le contrôle des ressources relève du pouvoir politique ;
un capitalisme industriel, exploitant un stock de machines onéreuses concentrées dans des manufactures ou usines ; la place accordée aux travailleurs est alors variable, elle peut se réduire à un rôle d'objet sans plus d'importance qu'un cheval ou qu'un tas de charbon, ou obtenir plus de respect et de considération comme dans le fordisme;
un capitalisme financier portant sur des biens abstraits (actifs financiers) non directement liés aux équipements de production. Cette forme de capital, le capital financier, est l'objet d'anathèmes nombreux, y compris de la part de capitalistes.
La mutation des conditions de production fait appel de plus en plus au capital-savoir

On parle aussi de deux formes archétypiques de capitalisme:

le "capitalisme rhénan", caractérisé par un poids majeur des banques (détentrices de près de la moitié des actions des sociétés cotées, et très influentes sur les autres entreprises), et une influence importante de syndicats puissants;
le "capitalisme anglo-saxon", désignant une forme où ce sont les actionnaires individuels, souvent regroupés dans des fonds d'investissement, dont les fonds de pension pour les futurs retraités, qui ont l'influence déterminante.



Dans un régime capitaliste, les biens qui forment le capital, comme tous les facteurs de production, appartiennent à des personnes ou des entreprises privées. Les rôles de détenteur de capitaux, d’apporteur de travail et d’entrepreneur y sont dissociés et peuvent être joués par des individus différents, chacun cherchant à satisfaire ses propres objectifs. Si pour l'analyse théorique il est commode d'insister sur cette séparation, en pratique un même individu peut jouer simultanément ou successivement plusieurs de ces rôles, en plus de son rôle de consommateur.

Une des caractéristiques essentielles du capitalisme est de fonctionner sur la base de la recherche du profit par le capitaliste. Le profit effectivement réalisé dépend, lui, de la réaction du marché aux offres des entrepreneurs qui mettent en œuvre ce capital.

Dans le régime capitaliste, l’existence de l’entreprise est soumise au jugement des détenteurs de capitaux, sous la contrainte de satisfaire les actionnaires, qui tiennent le destin de l'entreprise entre leurs mains. Les intérêts des hommes en tant qu'entrepreneurs sont donc subordonnés à leurs intérêts en tant que consommateurs ou détenteurs de capitaux. Cette pression subie par les producteurs tend à mettre les facteurs de production entre les mains de ceux qui savent le mieux les utiliser pour la satisfaction des actionnaires.



Le capitalisme est l'objet de nombreuses controverses. Ces controverses peuvent porter:

sur l’accumulation du capital en elle-même
sur la propriété du capital
sur le comportement des propriétaires du capital
sur les conséquences humaines, sociales, écologiques et économiques d'un tel système
On trouve sous un régime capitaliste de nombreuses inégalités de revenu, de patrimoine, des déséquilibres d'imposition favorisant le capital au détriment du travail, etc. Beaucoup y voient un scandale spécifique au capitalisme, et préconisent d'autres systèmes.

Une autre caractéristique avancée pour le capitalisme est une forme de schizophrénie : à cause de la séparation des rôles, le même individu s'inflige à lui-même, via la machine sociale et économique, une bonne partie des tourments dont il se plaint (l'exemple archétypique étant qu'on ne peut à la fois réclamer des prix bas et des services à tout moment du jour et de la semaine, et se plaindre des « délocalisations » ou des conséquences négatives pour les travailleurs).


et le socialisme également :



Le socialisme a, dès l'origine, suscité méfiance et opposition. Son objectif de transformer de fond en comble la société a soulevé l'opposition de tous ceux qui devaient y perdre (selon les termes même des théories socialistes : "capitalistes", "bourgeois" petits et grands), complété de scepticisme (est-il vraiment possible de tout changer ?) et de peur (car certains socialistes ne reculaient pas devant les moyens les plus violents).

Selon certains critiques du socialisme, les réalisations concrètes inspirée par le socialisme on démontré qu'elles ne faisait pas mieux (et parfois bien pire) que les organisations critiquées par le socialisme. Plusieurs partisans du socialisme ont expliqué cela par le fait que, en dépit de leur inspiration, ces expériences avaient en fait une différence fondamentale avec le vrai socialisme.


Le socialisme marxiste est une théorie politique basée sur le matérialisme historique et caractérisée par la mise en commun des moyens de production et d'échanges ainsi que par la répartition des biens équitablement à tous. Ce courant a été principalement marqué par la pensée de Karl Marx, d'où le terme « marxisme ». Il lutte pour un monde sans classes sociales et sans oppression.



Le socialisme est un ensemble de courants, dont les premiers sont apparus au cours du XIXe siècle. Ils combattent l'individualisme ; défendent les notions d'égalité, d'égalitarisme et de solidarité. Il s'agit selon ses tenants de procéder à « l'abolition du gouvernement politique des hommes par d'autres hommes » et de « passer à une administration des choses par les hommes eux mêmes ». Le socialisme est ainsi un projet à la fois économique (collectivisme économique, autogestion, économie mixte), social (égalité), et politique (démocratie).


il faudrait faire le capito-socialisme !!

2006-09-02 06:45:52 · answer #7 · answered by wafaa k 3 · 0 0

le capitalisme est le seul système à créer de la richesse, elle est peut-être mal réparti mais c'est le seul a en créer.
Le socialisme veut repartir la richesse, mais manque de bol ce système n'en crée pas, il ne peut donc pas être crédible.

2006-09-02 06:44:28 · answer #8 · answered by clob 5 · 1 1

slt
Je prefère la justice.

2006-09-02 06:44:00 · answer #9 · answered by bidhani2006 5 · 0 0

Ni l'un ni l'autre,ou plutôt l'un et l'autre,de toute manière le résultat est le même.Seulement une illusion d'avoir un choix.

2006-09-02 06:43:00 · answer #10 · answered by jyb 5 · 1 1

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