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13 réponses

le premier oui, par tradition; le second l'a décidé de lui même à 13 ans... par contre, il n'en reste pas grand chose mais je trouve que c'est bien. Il faut garder une certaine base, je pense

2006-09-02 00:00:44 · answer #1 · answered by Bagherra 4 · 1 0

Mes parents ne m'ont pas fait baptiser. C'était pour me laisser la possibilité de choisir ma religion par moi-même et je les en remercie de fond du coeur.

2006-09-02 06:57:07 · answer #2 · answered by Lilyou 2 · 2 0

Une tradition divine ou humaine?

BON ALORS...

Sans pouvoir s’appuyer sur un précédent biblique, le Vatican dit: “La pratique de baptiser les petits enfants est considérée comme une norme de tradition immémoriale.” Mais cette tradition a-t-elle été fondée par Jésus Christ? Non, car le baptême des enfants n’est devenu populaire qu’assez longtemps après la mort des apôtres. À la fin du IIe siècle, Tertullien, un des Pères de l’Église, affirmait: “Laissez [les enfants] devenir chrétiens lorsqu’ils seront devenus aptes à connaître Christ.”

L’apôtre Paul avait cependant annoncé que les hommes finiraient par ‘ne plus supporter la saine doctrine’. (II Timothée 4:3, La Bible de Jérusalem.) Quand les apôtres sont morts et n’ont plus été là pour ‘faire obstacle’ aux pratiques condamnées par les Écritures, celles-ci commencèrent à s’infiltrer dans le culte chrétien (II Thessaloniciens 2:6). Le baptême des enfants était de leur nombre. Mais ce rite n’est pas devenu règle avant le Ve siècle. À cette époque s’engagea une ardente controverse qui a changé pour toujours la chrétienté.

Le débat éclata lors d’un voyage que fit à Rome un moine anglais nommé Pélage. Consterné par la corruption qu’il y vit parmi les prétendus chrétiens, l’ecclésiastique entreprit d’encourager les hommes à “un plus grand effort moral”. Pélage disait que l’homme ne pouvait pas rendre le ‘péché originel’ responsable de sa faiblesse. “Tout ce qui est bon et tout ce qui est mauvais (...) est fait par nous et non inné en nous.” La doctrine pélagienne défraya rapidement les conversations dans la chrétienté.

Mais pas pour longtemps. Les chefs religieux qualifièrent d’hérésie son rejet du dogme du ‘péché originel’. Et sans le vouloir Pélage leur donnait lui-même des arguments en étant partisan d’une coutume déjà populaire à l’époque: le baptême des enfants. Un évêque du nom d’Augustin trouvait cette position d’une évidente inconsistance. ‘Si les enfants doivent être baptisés, demandait-il, que deviennent ceux qui ne le sont pas?’ On aboutissait à la conclusion apparemment logique que ceux qui n’étaient pas baptisés subiraient pour cette raison les flammes de l’enfer. Cette conclusion admise, Augustin portait le coup de grâce: Si les enfants qui n’ont pas été baptisés sont bel et bien damnés, comment expliquer ce châtiment autrement que par le ‘péché originel’?

La doctrine de Pélage s’effondrait. Par la suite, les enseignements pélagiens furent déclarés hérétiques par un concile de l’Église réuni à Carthage. Le ‘péché originel’ entra dans le catholicisme au même titre que la confession. Et l’Église se mit alors à promouvoir des conversions en masse — souvent forcées — pour sauver les humains des ‘flammes de l’enfer’. De coutume populaire, le baptême des enfants devint instrument officiel du salut, instrument dont le protestantisme allait hériter.

‘Aux portes de l’enfer’

La doctrine d’Augustin soulevait d’embarrassantes questions: Comment un Dieu d’amour pouvait-il envoyer d’innocents bébés souffrir en enfer? Les nouveau-nés qui n’avaient pas été baptisés allaient-ils endurer le même supplice que les pécheurs impénitents? Les théologiens ont eu bien du mal à fournir des réponses. Vincent Wilkin, prêtre catholique, déclare: “Certains livraient les enfants qui n’avaient pas reçu le baptême à la violence des flammes de l’enfer, d’autres croyaient qu’ils n’étaient pas dévorés par les flammes mais simplement chauffés jusqu’à être vraiment incommodés par la température; d’autres encore rendaient cette incommodité la plus légère possible pour un lieu comme l’enfer (...). Certains les plaçaient dans un paradis terrestre.”

Cependant, la théorie la plus populaire s’est avérée être celle selon laquelle les âmes des enfants morts sans baptême séjournent dans les limbes. Ce mot signifie littéralement “bordure” (comme la bordure, ou lisière, d’un vêtement) et désigne une région qu’on suppose être aux portes de l’enfer. La notion de limbes est très commode pour les théologiens. Au moins elle modère l’horreur de la vision d’enfants qui souffrent.

Mais comme toute théorie imaginée par l’homme, celle des limbes comporte ses incohérences. Pourquoi n’en est-il pas question dans les Écritures? Les bébés peuvent-ils sortir des limbes? Et pourquoi des nouveau-nés innocents devraient-ils aller d’abord dans ce lieu? On comprend que l’Église ne manque pas de dire que les limbes “ne sont pas un enseignement officiel du catholicisme”. — Nouvelle encyclopédie catholique.

La controverse s’enflamme de nouveau

Pendant des siècles, les catholiques s’en sont tenus pour l’essentiel au point de vue d’Augustin et ont ‘épargné les limbes’ à leurs enfants en les faisant baptiser. Toutefois, la controverse sur le baptême des nouveau-nés connaît une spectaculaire reprise depuis les années 1950. Des exégètes catholiques se sont mis à douter sérieusement que cette pratique tire son origine de la Bible. D’autres conviennent que ni les notions infernales d’Augustin ni les limbes ne sont acceptables.

Au début, cependant, les chefs religieux traditionalistes refusèrent de changer d’avis. En 1951, le pape Pie XII fit un discours devant un groupe de sages-femmes. Réaffirmant la croyance selon laquelle “il est absolument indispensable d’être en état de grâce au moment où l’on meurt pour être sauvé”, il encouragea les sages-femmes à célébrer elles-mêmes le rite du baptême quand il semblait probable qu’un nouveau-né était sur le point de mourir. Il les exhorta ainsi: “En une telle circonstance, ne manquez pas de vous acquitter de ce service charitable.” De la même façon, en 1958 le Vatican donna ce ferme avertissement: “Les enfants doivent être baptisés le plus tôt possible.”

Malgré tout, la controverse fut à nouveau soulevée après le célèbre concile Vatican II. Contre toute attente, l’Église essaya de ménager les positions traditionaliste et libérale. Le concile décréta que ‘le baptême était absolument nécessaire pour le salut’. Curieusement, néanmoins, le salut pouvait également être accordé aux personnes “qui indépendamment de leur volonté ne connaissent pas l’évangile du Christ”.

En conséquence, l’Église révisa alors le rite pour le baptême des petits enfants. Entre autres changements, les prêtres avaient désormais la possibilité de refuser le baptême si les parents de l’enfant ne promettaient pas de lui donner une éducation catholique. L’Église avait-elle finalement rejeté la doctrine d’Augustin? Certains le pensaient et commencèrent à s’interroger sur la nécessité de baptiser les nouveau-nés.

Le Vatican publia alors l’article “Instruction sur le baptême des petits enfants”, qui déclarait: “L’Église (...) ne connaît pas d’autre moyen que le baptême pour assurer aux petits enfants l’entrée dans la béatitude éternelle.” Les évêques reçurent l’ordre de “ramener à la pratique traditionnelle ceux qui (...) s’en seraient écartés”. Mais que deviennent les bébés qui meurent sans être baptisés? “L’Église ne peut que les confier à la miséricorde de Dieu.”

Le baptême des nouveau-nés et votre enfant

Tout cela doit sans doute rendre bien des catholiques sincères véritablement perplexes. Malgré la doctrine de l’Église, peut-être certains considèrent-ils toujours que le baptême donne au moins un bon départ à la vie religieuse d’un enfant. Mais est-ce bien le cas? Une mère catholique a dit: “J’ai deux très jeunes enfants qui ont tous deux été baptisés quand ils étaient bébés, et je ne vois en eux aucune parcelle de grâce; en fait, ce serait même plutôt le contraire.”

Ce n’est pas le baptême qui aide un enfant à acquérir la foi. En réalité, une telle pratique va à l’encontre de ce commandement de Jésus: “Allez donc et faites des disciples [ou “faites des élèves”] (...) les baptisant.” (Matthieu 28:19). Le baptême n’a de sens que si le baptisé est assez âgé pour être un disciple. Il existe, il est vrai, une “tradition immémoriale” en rapport avec le baptême des enfants. Mais Jésus n’a-t-il pas condamné ceux qui ont ‘rendu inopérante la parole de Dieu à cause de leur tradition’? — Matthieu 15:6.

En conséquence, la Bible encourage les parents à familiariser leurs enfants avec les questions spirituelles “depuis la plus tendre enfance”. (II Timothée 3:14-17.) Ainsi, les Témoins de Jéhovah prennent au sérieux l’exhortation biblique qui dit d’élever les enfants “dans la discipline et l’éducation mentale de Jéhovah”. (Éphésiens 6:4.) Souvent ils s’en acquittent en suivant un programme régulier d’étude de la Bible en famille. De tels parents habituent leurs enfants à assister et à participer aux réunions chrétiennes (Hébreux 10:24, 25). Ils les encouragent à faire “la déclaration publique” de leur foi (Romains 10:10). Avec le temps, leurs enfants peuvent être incités à se vouer d’eux-mêmes à Jéhovah et à se faire baptiser dans l’eau en symbole de l’offrande de leur personne à Dieu. Cette façon d’agir est conforme aux Écritures et est de loin plus significative et plus satisfaisante que l’observance d’un rite formaliste qu’on accomplit sur un nouveau-né qui ne le comprend pas.

Si l’enfant d’un chrétien meurt avant d’être baptisé, ses parents n’ont pas à craindre qu’il brûle en enfer ou séjourne dans les limbes. La Bible enseigne en effet que les morts sont inconscients (Ecclésiaste 9:5, 10). Les parents peuvent donc trouver du réconfort dans la promesse de Jésus selon laquelle “l’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux commémoratifs entendront sa voix et sortiront” pour vivre dans le Paradis rétabli (Jean 5:28, 29; Luc 23:43). Cette espérance fondée sur la Bible est de loin plus réconfortante que les traditions humaines changeantes et déroutantes.

2006-09-04 09:53:52 · answer #3 · answered by guillaume g 2 · 1 0

Mon fils n'est pas baptisé pour lui laisser le libre choix et aussi parce que je suis athée et que je considérerais comme un manque de respect pour les croyants de " singer" leurs coutumes juste pour faire comme les autres ou pour avoir une belle fête ou par prudence au cas où.

2006-09-02 07:32:41 · answer #4 · answered by Chantal ^_^ 7 · 1 0

en ce qui me concerne on m'a fait une ablation du zizi sans me demander mon consentement ( mon zizi ressemble à un champignon )

2006-09-02 06:57:32 · answer #5 · answered by badys 1 · 1 0

non, mes enfants ne sont pas baptisés...j'ai préféré les laisser choisir leur religion. je précise que je suis athée, mais je leur ai parlé des différentes religions que je respecte.

2006-09-02 06:55:38 · answer #6 · answered by Lutine 6 · 1 0

Nom p.c.q. je ne peux pas décider a leurs place, ils doivent atteindre la maturité et se décider eux même.

2006-09-02 07:17:16 · answer #7 · answered by Lebon 4 · 0 0

mon frère et ma soeur ontv été baptisés car mon père est catholique non pratiquant et ma mère athée et elle a accepté
pr moi ils ont hésiét mon père ne voulait plus...mais finalemnt ils l ont fait
ma famille est composé de croyants non pratiquants
cependnat mes frères et soeurs, et moi m^sommes athés m^si ma soeur é été catho vers 12 ans
cependnat notre père nous laisse choisir

2006-09-02 07:00:59 · answer #8 · answered by Alice 2 · 0 0

Contre vents et marées ça a été non.....et c'était il y a 42 ans!..... fallait tenir à l'époque!... mdrrrrr
J'ai voulu laisser le choix à mon fils sachant que je lui ai inculqué (ou fait inculqué) les principes religieux de différentes religions ainsi que la philo.....
Il a choisi.... aussi mécréant que sa mère!......

2006-09-02 06:58:49 · answer #9 · answered by MamieB suspendue 2 fois !.... 7 · 0 0

Oui, pour faire plaisir à ma grand mère

2006-09-02 06:55:57 · answer #10 · answered by ju et jo 2 · 0 0

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