Si tout le monde est d'accord, et que ca ne vient pas d'une quelconque tradition où la femme doit la fermer et accepter cet état de fait, je pense que chacun devrait être libre de choisir (ca pourra alors être 3 hommes et 2 femmes vivants ensemble pourquoi pas ?).
Plus personnellement, ca ne m'interresse pas.
2006-08-31 20:15:35
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answer #1
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answered by mashgau 4
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c'est le contraire de la monotonie
2006-09-01 03:08:27
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answer #2
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answered by Kosac II 3
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Contre Contre Contre
Ya qu'a prendre les femmes pour des connes aussi !
2006-09-01 03:08:16
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answer #3
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answered by hermione 2
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c est mon putain de reve de vie depuis que j ai la maturite sexuelle
2006-09-04 18:04:17
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answer #4
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answered by Anonymous
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Je ne sais pas ce que j'en pense...
Tout ce que je sais c'est que moi je ne suis pas partageuse!!! Depuis toujours d'ailleurs, meme qd j'etais petite, je n'aimais pas preter mes jouets a mes copines... Ca n'a pas change aujourd'hui!! lol
;-)
2006-09-01 06:44:25
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answer #5
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answered by clairedelune 5
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Totalement illégal en France.
Devrait être davantage sanctionné.
Selon mon meilleur ami (Togolais), une véritable catastrophe pour les enfants.
2006-09-01 06:38:26
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answer #6
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answered by emei46 7
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Source de Conflits
2006-09-01 06:09:06
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answer #7
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answered by KING 2
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résolument contre
2006-09-01 04:58:33
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answer #8
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answered by Sebastien P 2
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La seule raison qui pourraît me laisser penser que ce n'est pas si mal, c'est si en contrepartie il y a la polyandrie (une femme peut avoir plusieurs maris). Et ça, les gros machos qui se la racontent, ils sont bien trop fiers pour l'accepter...
Alors arrêtez vos fantasmes de Don Juan à la noix, les femmes, c'est pas un cheptel.
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Pour information, voici une société matriarcale très étonnante, de quoi en prendre de la graine :
Les Moso sont une ethnie du sud-ouest de la Chine, dans la province du Yunnan, sur les contreforts de l'Himalaya.
Cette petite ethnie de 30 000 habitants encore peu connue préserve à travers les âges des traditions et des rites particuliers. C'est une des rares sociétés matriarcales encore en état dans le monde.
Les mères sont les piliers de la société. Seule l'ascendance féminine est prise en compte et la transmission du nom comme des biens est exclusivement féminine. La notion de père est inexistante. Les hommes et les femmes ne vivent pas en couple mais chacun dans sa famille d'origine. Plusieurs fois par an, l'homme va rejoindre pour quelques jours la mère et sa compagne attitrée. Plus l'homme vient de loin, plus le prestige de la femme est grand. Sans que cela soit ressenti comme de la légèreté sexuelle et tout en observant strictement le tabou de l'inceste, en particulier entre frère et sœur, les liaisons se nouent et se dénouent sans aucune contrainte sociale. Sans mariage ni infidélité, cette société exclut si radicalement la possession que la jalousie en devient honteuse.
Les hommes sont dispensés de travail et vaquent en groupe à leurs occupations voire à leur inactivité. De temps à autres, ils aménagent les maisons, les réparent ou en construisent d'autres. Les femmes en groupe assurent l'essentiel du travail pour la subsistance quotidienne. A la tombée de la nuit, les hommes les rejoignent : ils se présentent sous la fenêtre de la jeune femme dont ils espèrent les faveurs. Celle-ci en choisit un avec lequel elle va passer la nuit. Chaque soir elle peut si elle le souhaite, se choisir un partenaire différent. L'homme écarté par une jeune femme s'empresse d'aller rejoindre une autre jeune femme jusqu'à en trouver une qui l'accepte. Rapidement les couples se sont formés et durant la nuit, ils doivent conduire leurs ébats avec discrétion sans déranger la maisonnée.
Les enfants sont élevés par les oncles de la mère qui remplacent le père et ils ont de l'affection pour eux comme un père. Les femmes sont fières de leur position sociale et en riant, expliquent que les hommes dans la journée doivent se reposer pour être plus vaillant dans leur lit la nuit durant. Elles tiennent aujourd'hui toujours au maintien de ce mode de vie car elles estiment ne vivre avec leur compagnon que des moments d'amour et de sentiments partagés sans qu'aucune dispute ne vienne détruire ou perturber cette relation. Les aspects matériels, les questions de propriété, les aspects de l'éducation des enfants, tous les sujets sur lesquels tous les couples vivants ensemble vont se quereller tôt ou tard, n'existent pas pour les amoureux du peuple Moso. Ils s'aiment sans contrainte. Il n'y a pas de mariage arrangé ou pire, forcé. Ils se sont choisis et lorsque l'homme se languit de sa compagne, il va la voir.
La mère est chef de famille. Âgée, elle va préparer une de ses filles à sa succession. Il n'y a pas de partage du patrimoine à sa mort. La propriété communautaire reste la même de générations en générations et la famille, une fois sa subsistance assurée, ne fait pas d'effort pour l'agrandir au détriment d'autres familles ou embellir son patrimoine avec des œuvres richement décorées.
2006-09-01 04:07:01
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answer #9
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answered by Le Petit Nicolas 4
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J'en pense rien, c'est interdit ici. Quand aux endroits où c'est toléré, chacun fait ce qu'il veut, d'après ses coutumes et traditions.
2006-09-01 03:59:52
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answer #10
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answered by ? 7
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la polygamie c'est d'avoir des relations sexuelles avec plusieurs personnes sous le nom du mariage; des relations officielles qui permettent aux femmes dans ces pays d'avoir leurs droit d'héritage et que leur progéniture ayant le nom et la protection financière du père.
En Europe,la plupart des hommes trompent leur femmes sans se considérer comme polygame;le sexe sans aucune responsabilité
Je vais dire un mot a tout ceux qui critiquent les autres cultures et religions; regardez vous d'abord avant de juger les autres qui sont plus honnête a ce niveau
J'aimerai bien vivre dans un monde monogame mais sans tromperie et sans trahison...
2006-09-01 03:43:23
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answer #11
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answered by hanassim 2
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