comment survivre à la perte d'un enfant?

Answer 1

c'est très difficile !!! j'ai perdu mon gamin qui avait 14 ans il s'est suicidé ,pendant 6 mois je ne dormais plu qu'une a deux heures par nuit je faisais des cauchemars et me réveillais en sursaut ,comme j'élevais déjà ma fille de 10 ans qui elle aussi n'allait pas très bien suite au suicide de son frère et bien j'ai pris le taureau par les corne et je suis allé voir un psychiatre!! et je dit psychiatre et pas psychologue qui ne sont pas compétant et surtout cene sont pas des médecins !!! j'ai donc vu 3 psy et je suis resté en thérapie chez celui chez qui je me suis sentit le plus en confiance !!! et ça m'a aidé a comprendre a accepter et a atténuer et a faire disparaître la culpabilité et toutes ces choses qui me pourrissaient les nuits et les jours !!! donc,, va consulter mais surtout surtout pas chez un charlatan !!! va chez un psy lui seul pourra t'aider !!! la religion les cercle de parole les réunions je ne suis pas pour car trop souvent trop de rapaces et de profiteurs ,, donc prudence !!! et courage !!!

Answer 2

bonjour
je te donne la réponse de quelqu'un de proche touchée par le même mal:
vivre pour cet enfant disparu
je ne peux te soutenir que par la pensée

Answer 3

un enfant ne meurt jamais il seras pres de vous toute votre vie la mort physique fait partie de la vie il faut continuer pour vous pour votre mari pour d'autre enfant un enfant ne se remplace jamais car chaque enfant est un autre votre chagrin et justifiee pleurez mais sachez qu'il sera toujour pres de vous allumez une bougie avec sa photo des que vous pensez a lui se seras votre message pour lui de votre part vous verrez il viendras vous rendre visite et ca personne ne peut vous l'enlever

Answer 4

Avec un courage hors du commun.
Il faut continuer à vivre pour cet enfant trop tôt disparu ainsi que pour les autres membres de la famille qui sont aussi dans la souffrance.

Ci-dessous un site qui pourra je l'espère t'aider.

http://www.parents-brises.org/
Bizzz.
Mamie

Answer 5

Je n'arrive à imaginer la situation qu'en partie mais la souffrance et la douleur se font profondément sentir...
Hélas,c'est la vie,tantot elle nous sourit et tantot elle nous fait souffrir,et dans ce cas,un mélange de foi et d'espoir s'avère un remède capable d'atténuer la peine...
Enfin,les etres chers qui nous quittent,nous manquent à mourir mais ne meurent jamais,ils sont toujours là,avec nous,on peut leur parler et ils peuvent nous entendre...

Answer 6

on pensant qu'il est heureux au paradis loin de ce monde qui n'est pas du tout parfait où il aurait été forcement blessé par la cruauté d'autrui il ne pe pas être mieuc que là ou il est aujaurd'hui et de savoir que de là haut il est ta bonne étoile ki te surveille, te donne conseille et te préserve votre enfant est un ange ça fait mal d ele perdre c'est clair mais ça doit vous réjouir aussi .beacoup de courage

Answer 7

le mot est juste : on survit, on ne vit pas !
il faut bien sûr faire le deuil mais on ne peut pas s'en remettre totalement ni oublier ;

Answer 8

"survivre" est le mot exact. Si c'est vous qui êtes concerné, je vous souhaite d'avoir d'autres enfants, qui ne remplaçent pas le disparu, mais qui aident à surmonter. Avec le temps tout s'atténue mais ne disparait pas. Bon courage

Answer 9

Difficilement ! c'est très dur ! Et dans ma famille çà à l'air d'être une malédiction :

- ma grand-mère : un fils d'insolation en 1940
- ma mère : un fils dans un accident de voiture 1987
- moi : un fils de la mort subite du nourrisson en 1979

Donc tu vois que je sais de quoi je parle ! Et depuis 1980 je suis régulièrement un traitement anti-dépressif ! c'est par période !

Answer 10

j'en voudrais savoir aussi je suivrai les reponses