Les gens du petit peuple de Rome croyoient que les trésors cachés dans les entrailles de la terre, étoient gardés par des esprits, qu'ils nommoient incubones, & qui avoient de petits chapeaux, dont il falloit d'abord se saisir, après quoi, si on avoit le bonheur d'y parvenir, on devenoit leur maître, & on les contraignoit à déclarer & à découvrir où étoient ces trésors: on appelloit ce chapeau du génie, le chapeau de Fortunatus. Peut - être que les directeurs des mines des Romains avoient répandu ces contes pour mieux cacher la manoeuvre de leurs opérations.
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Cette histoire de chapeau pourrait correspondre???
Fortunatus, est le héros légendaire d'un gercer-livre européen populaire.
Il était un indigène, dit l'histoire, de Famagusta en Chypre, et la réunion la déesse de la fortune dans une forêt a reçu d'elle une bourse qui a été continuellement complétée le niveau aussi souvent qu'il a tiré d'elle. Avec ceci il a erré par beaucoup de terres, et au Caire était l'invité du sultan. Parmi les trésors qui le sultan montré l'était un vieux chapeau napless ce qui a eu la puissance de transporter son porteur à n'importe quel endroit il a désiré. De ce chapeau il s'est criminellement possédé, et est revenu à la Chypre, où il a mené une vie luxueuse.
Sur sa mort il a laissé la bourse et le chapeau à ses fils Ampedo et Andelosia ; mais ils étaient jaloux de l'un l'autre, et par leur recklessness et folie est bientôt tombé des jours mauvais. La morale de l'histoire est évidente : les hommes devraient désirer la raison et la sagesse avant tous les trésors du monde.
Sous sa pleine forme l'histoire de Fortunatus occupe en matrice de Karl Simrock deutschen Volksbucher, vol. iii., vers le haut de 158 pages. La scène est continuellement décalée -- de Chypre en Flandre, de Flandre à Londres, de Londres en France ; et un grand nombre de caractères secondaires apparaissent. Le modèle et les allusions indiquent une date comparativement moderne pour la profession d'auteur ; mais le noyau de la légende peut être tracé de nouveau à une période beaucoup plus tôt. Les histoires de Jonathas et des trois bijoux dans le Gesta Romanorum, de l'empereur Frederick et les trois pierres précieuses dans l'antiche d'organisation du traité central Novelle, du Mazin de Khorassan les nuits mille et une, et l'échafaudage de vol dans le Bahar Danush, ont tout une certaine similitude.
L'édition connue la plus tôt du texte allemand de Fortunatus est parue à Augsbourg en 1509, et les investigateurs allemands modernes sont disposés considérer ceci comme la forme originale. Les versions innombrables se produisent en français, italien, le Néerlandais et l'anglais. L'histoire a été dramatisée par Hans Sachs en 1553, et par Thomas Dekker en 1600 ; et le dernier comédie est apparu dans une traduction allemande dans l'und Tragodien, 1620d'Englische Komodien. Ludwig Tieck a utilisé la légende dans son Phantasus,
et Adelbert von Chamisso dans son Peter Schleinihl ;et Ludwig Uhland a laissé une poésie narrative non finie autorisée Fortunatus et ses fils.
http://www.biblisem.net/narratio/chamisps.htm
En échange, et pour prouver à monsieur ma reconnaissance, je lui laisserai le choix entre plusieurs bijoux que j’ai avec moi : l’herbe précieuse du pêcheur Glaucus ; la racine de Circé ; les cinq sous du Juif-Errant ; le mouchoir du grand Albert ; la mandragore ; l’armet de Mambrin ; le rameau d’or ; le chapeau de Fortunatus, remis à neuf, et richement remonté, ou, si vous préfériez, sa bourse...
– La bourse de Fortunatus ! » m’écriai-je.
2006-08-30 19:39:42
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answer #2
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answered by Anonymous
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Ce n'est pas plutôt : "La farce de l'homme au chapeau gris comédie farce en un acte" de Joanny Girard que tu cherche?
2006-08-29 04:58:58
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answer #3
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answered by Cat Lady 2
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