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Angoisse, stress, démotivation , envie de rien fair ene rien aimer ....
J ai été sous cachet pendant 2 moi sl année derniere suite à une rupture sentimentale ça m a retourné la tete. Je ne prendrais plus jamais de cachet de ma vie j etais devenu un Zombi !
Un conseil, sors vois des amis, au cinéma, resto .... Bref ne reste pas seule. Le déprime ne se soigne pas avec des cachets c est dans la ete tout ça.
Bon courage.
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2006-08-28 19:36:21
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answer #1
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answered by misou76 6
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le manque de confiance en soi
2006-09-01 14:32:04
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answer #2
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answered by autodidact25 4
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Ta question . Tu dois faire du sport, de l'amour tu dois vivre..Pas question et pas de place a la déprsion l'ami
2006-09-01 03:46:16
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answer #3
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answered by Anonymous
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ta question,et la réponse des autres
2006-08-29 07:42:39
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answer #4
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answered by guytou 2
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Tristesse, auto-dépréciation, inertie, introversion, insomnie , "pas faim", ralentissement psychomoteur et intellectuel .
2006-08-29 03:38:27
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answer #5
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answered by marholyne 3
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Salut à tous,
La dépression touche 340 millions de personnes dans le monde. Et le nombre de cas est en augmentation constante.
Des chiffres inquiétants
La dépressionLa dépression est une maladie très répandue, un homme sur 10 en est atteint au cours de sa vie. Plus touchées encore, les femmes sont une sur cinq à connaître un épisode dépressif. Et ces chiffres sont en augmentation constante : la France comptait 7 fois plus de personnes déprimées en 1996 qu’en 1970. Cette maladie n’épargne pas les jeunes adultes, puisque 7 déprimés sur 10 ont moins de 45 ans.
Différents facteurs en cause
Au premier rang des accusés, notre vie de plus en plus stressante. Outre les événements familiaux, la pression au travail est notamment en ligne de mire. Espérons que l’arrivée des 35 heures aura un effet bénéfique ! D’autres facteurs pourraient aussi expliquer cette hausse. Une étude a par exemple évoqué le rôle de la cigarette comme facteur favorisant. Un autre facteur montre que la situation risque d’empirer : en effet, les scientifiques ont remarqué une "hérédité de la dépression" : les enfants de parents déprimés ont plus de risques d’en faire une…
Des risques importants pour la santé
La dépression est actuellement la cinquième cause de mortalité et de handicap dans le monde et d’après le Dr Benedetto Saraceno, directeur du département de santé mentale de l’OMS, elle devrait atteindre la deuxième place d’ici 2020. Parmi les problèmes liés à la dépression sévère, les tentatives de suicides sont parmi les plus importants. On estime à 12 000 le nombre de morts par suicide chaque année en France. ET il y aurait vingt à trente fois plus de tentatives, parmi lesquelles 30 à 50 % sont liées à une maladie dépressive (ANAES, 1996). Mais la dépression aurait d’autres effets indirects cette fois, sur la santé. Ainsi, elle serait responsable d’une augmentation des risques cardiovasculaires. De plus, des relations avec l’apparition et le développement des cancers semblent exister.
Un traitement insuffisant
Face au nombre croissant de dépressions, il existe pourtant des solutions : le traitement médicamenteux par antidépresseur et la psychothérapie notamment. Plus de 85 à 90 % des personnes souffrant de dépression pourraient être traitées de manière efficace. Pourtant, parmi les dépressifs correctement diagnostiqués, un tiers seulement reçoit une prescription d’antidépresseur… Une meilleure prise en charge s’avère donc indispensable.La France comptait 7 fois plus de personnes déprimées en 1996 qu’en 1970. Comment une telle épidémie a-t-elle pu se répandre ? Sommes-nous tous des dépressifs en puissance ? Et si une partie de ces dépressions n’en était pas réellement ? Quelques éclaircissements…
Pour expliquer cette épidémie de dépressions, les sociologues évoquent pêle-mêle les conditions de vie qui deviendraient de plus en plus stressantes, la violence psychologique que l’on subirait à tout moment et en particulier sur son lieu de travail. Ce discours rencontre l’adhésion du public, l’immense succès en librairie de Marie-France Hirigoyen en témoigne. Il s’est vendu 480 000 exemplaires de son livre "Le harcèlement moral". Nous vivrions donc dans une société dépressive, dont nombre de ses membres auraient une prédisposition naturelle renforcée par l’environnement.
La faute aux neurones !
De plus en plus de déprimés !Et si l’ampleur de "l’épidémie" de dépression reflétait plus les progrès du diagnostic que de la maladie ? C’est la démonstration que fait Philippe Pignarre, chargé de cours sur les psychotropes à l'université de Paris VIII, dans son ouvrage, "Comment la dépression est devenue une épidémie ?". Dans les années 1950, les laboratoires pharmaceutiques ne s’intéressent pas à la recherche et au développement des psychotropes, estimant que d’un point de vue commercial le marché était trop étroit. Mais depuis, la tendance s’est inversée. La psychiatrie s’est éloignée de la voie psychologique pour basculer vers la "psychiatrie biologique". Si certaines personnes sont dépressives, c’est qu’elles y sont prédisposées. C’est en somme la faute aux neurones ! Pourtant, aucun test biologique ne permet de diagnostiquer la dépression fait remarquer Philippe Pignarre qui émet des doutes sur cette nouvelle orientation.
Personnaliser le diagnostic
L’utilisation d’outils de diagnostic, tel que le DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux), développé à partir de 1952 par les psychiatres américains, serait en cause. Pour le spécialiste des psychotropes, cette classification des symptômes viserait tout autant à identifier les dépressions qu’à "recruter des patients" ! L’environnement dans lequel évoluent les malades n’est pas suffisamment pris en considération. Le risque n’est-il pas alors de tout "pathologiser" et de médicaliser les moments de faiblesse, pourtant normaux, tels que les deuils, les insomnies, les baisses passagères du désir sexuel ?
Antidépresseurs à tout va !
La France semble particulièrement touchée par cette épidémie de dépression, au regard de sa consommation record d’antidépresseurs. Entre 1991 et 1997, la quantité de boîtes vendues a progressé de 42 %. Les médecins généralistes, qui sont en première ligne dans la prise en charge des patients, sont à l’origine de 75 % des prescriptions d'antidépresseurs. Mais cette consommation dépasse la réalité des déprimés. Les patients et les médecins partagent la responsabilité de cet excès de prescription. Car les professionnels de santé doivent souvent faire face aux exigences des patients. Ayant lu ou entendu parler de tel médicament dans la presse, ces derniers les réclament "parce que je le vaux bien". Il ne faut pas non plus négliger le facteur économique. Les psychothérapies ne sont pas prises en charge par l’assurance maladie, car il n’existe pas de convention avec les psychologues, quant aux psychanalyses, les dépassements souvent importants découragent les patients. Alors que les médicaments sont remboursés…
Votre conjoint, ami ou enfant déprime, et vous tentez de lui remonter le moral… jusqu’au jour où à votre tour vous dérapez et voyez tout en noir. La dépression s’attraperait-elle comme on attrape une grippe ou un rhume ?
La dépression est une maladie psychologique insidieuse ; ceux qui en sont atteints n’ont pas toujours la mine attristée… Mais ils créent autour d’eux une tension qui engendre la colère, l’anxiété, le ressentiment ou la peur. Parce qu’elle ne va pas bien, la personne dépressive appelle à l’aide. Mais en l’aidant, l’on devient parfois sa victime.
De la compassion à ses conséquences
La dépression est contagieuse !Lorsqu’un proche déprime, vous voudriez le protéger de lui-même. D’abord attentif à ses plaintes, angoissé par son état ou même craignant une éventuelle tentative de suicide, vous culpabilisez. Vous vous sentez responsable de son humeur. Vous vivez comme un échec personnel de ne pas réussir à l’arracher à ses idées noires. Pourtant, à force de fusion avec la personne dépressive, vous raisonnez comme elle, et vous adoptez son humeur. Ou alors vous vous révoltez et devenez, malgré vous, agressif à son égard.
Quand la dépression change de camp
Il arrive un moment où la personne initialement dépressive paraît être celle qui se porte bien, tandis que celui ou celle qui la soutenait devient la personne “malade”. Car le dépressif s’est déresponsabilisé sur lui ou elle : il transmet ses angoisses sans les soigner. A partir du moment où quelqu’un d’autre assume ses maux, il en est provisoirement libéré. Il détruit psychologiquement celui qui le soutient en "ponctionnant son énergie". L’ami, le parent, le conjoint compatissant devient alors la victime : c’est lui qui semble aller mal, parce qu’il oscille entre culpabilité, colère et peur, les symptômes de la dépression. En cherchant à guérir d’une angoisse qui n’est pas la sienne, il devient un instable émotionnel, un dépressif à part entière !
Comment échapper à la contagion ?
Il n’est pas simple d’éviter la contamination par la dépression : apprenez à écouter le dépressif sans être fusionnel avec lui ! Pratiquez ce que les psychothérapeutes appellent “l’écoute flottante”, c’est-à -dire écouter sans tout entendre. Triomphez du sentiment de culpabilité qui assaille tout familier d’un dépressif : vous n’êtes pas responsable de son mal-être. Les dépressifs provoquent la colère de leurs proches, parce qu’ils leur prêtent faussement de mauvaises intentions : apprenez à distinguer les signes précurseurs d’un conflit. Evitez de rentrer dans des discussions stériles ! Inutile de vous justifier : vous feriez le jeu de votre “tortionnaire” !
Restaurer sa propre image
Le dépressif vous fait douter de votre sensibilité, de votre capacité d’écoute, de votre générosité. Pour ne pas sombrer à votre tour dans la dépression, prenez la mesure de votre valeur. Certes, ce n’est pas facile, car vous voudriez bien être soutenu par l’autre, notamment s’il est votre conjoint ou votre parent. Or c’est justement cet autre qui vous nuit ! Peut-être aurez-vous besoin de l’assistance d’un psychothérapeute. Si vous réussissez à devenir imperméable, le dépressif perdra l’emprise qu’il a sur vous. Il apprendra à être responsable de lui-même et à définir les limites de sa souffrance. C’est alors qu’il pourra enfin chercher à se soigner au lieu sans faire de vous sa victime.
Les symptômes sont extrêmement variés mais caractéristiques. Lorsqu’une personne n’a plus de goût, ni d’intérêt pour rien et qu’elle semble écrasée par une chape de tristesse, on est sans doute possible dans le registre de la dépression. D’autres facteurs peuvent confirmer le diagnostic tels que l’anxiété chronique, troubles de l’appétit et du sommeil, baisse de moral et de tonus... Pour résumer, l’état déprimé pourrait se définir ainsi : la sensation d’être anéanti.
La survenue d’événements graves peut représenter une raison suffisante pour sombrer dans cet état. Deuil d’un proche, rupture amoureuse, licenciement sont à priori de bons "starters" pour développer ce syndrome. La réalité est plus complexe. Je défends l’hypothèse que la venue d’un état dépressif peut s’expliquer par la disparition de "la capacité dépressive" d’un individu. C’est-à -dire cette faculté dont nous disposons pour amortir les chocs de l’existence ou de fortes tensions internes. Sans cette protection, l’homme se déprime. Il continue à vivre en se maintenant à un niveau d’existence minimal, de peur de ne pas être en mesure d’en supporter davantage.
Bien sûr, des natures pessimistes présentent un terrain idéal. Mais plus largement, je soutiens l’idée, tout comme le sociologue Alain Ehrenberg, que la dépression serait inhérente à une société qui repose sur l’esprit d’entreprise et la performance à tous crins. Face au nouveau credo : s’adapter vite, et innover, le déprimé signale une fatigue de l’exigence sociale. Il semble renoncer à toujours être à la hauteur. Les chiffres sont criants : estimé à 3 % dans les années 70, ce trouble atteint 15 % aujourd’hui, selon un récent rapport du Credes. Ce n’est pas un hasard.
La dépression est une réponse en négatif à ses impératifs. Non seulement elle assure des fonctions de signal d’alerte, mais elle est aussi régulatrice. En créant une économie interne favorable aux transformations en cours, elle permet au sujet de recouvrer ses désirs mais d’une façon qui n’anticipe pas sur ses moyens. L’être humain fait preuve d’une capacité extraordinaire d’adaptation (nouvelles technologies, nouveaux codes amoureux). Quand la plainte psychique survient, elle signale qu’on ne peut plus encaisser certains chocs impunément sans prendre un temps de pause. C’est une phase de transformation souterraine.
Momentanément la prescription d’un antidépresseur peut soulager la souffrance du patient en agissant sur les symptômes. Les médicaments sont moins toxiques et plus confortables qu’ils ne l’étaient à l’origine. Mais la prise en charge thérapeutique reste l’élément moteur de la guérison. Ce travail passe par la parole et l’écoute. Le psy aide à analyser les événements douloureux. Dans les moments difficiles de la vie, il s’agit d’apprendre à mieux se connaître pour affronter les chocs de l’existence.
2006-08-29 03:24:19
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answer #6
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answered by Anonymous
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Dans mon cas, ça a commencé par des clignements d'oeil qui n'arrêtaient pas, des pertes d'équilibre, des maux de dos terribles, surtout la nuit. Après, j'ai eu quelques crises d'angoisse, chose que je ne souhaite à personne,, tellement c'est dur à vivre.
2006-08-29 02:49:29
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answer #7
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answered by lambig 3
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perte de l'envie
fatigue insistante
fuite dans le sommeil
replis sur sois càd s'exclure de la vie en général.moins avoir envie de voir ses amis et sa famille
idées noire (type en finir avec la vie)
perte de la mémoire des bons souvenirs
Tout cela bien sur en créchendo!
2006-08-29 02:39:58
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answer #8
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answered by Flame 4
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Je te fais un copier-coller, désolée, mais tu trouveras pas mal d'infos complémentaires sur le lien :
"Critères d'un épisode de dépression majeure:
A. Au moins cinq des symptômes suivants doivent avoir été présents pour une durée d'au moins deux semaines et avoir représenté un changement par rapport au fonctionnement antérieur; au moins un de ces symptômes est soit (1) une humeur dépressive, soit (2) une perte d'intérêt ou de plaisir.
(1) Humeur dépressive présente pratiquement toute la journée, presque tous les jours, signalée par le sujet (p. ex., se sent triste ou vide) ou observée par les autres (p. ex., pleure). N.B.: Éventuellement irritabilité chez l'enfant et l'adolescent.
(2) Diminution marquée de l'intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités pratiquement toute la journée, presque tous les jours (signalée par le sujet ou observée par les autres).
(3) Perte ou gain de poids significatif en l'absence de régime (p. ex., modification du poids corporel en un mois excédent 5%), ou diminution ou augmentation de l'appétit presque tous les jours. N.B.: Chez l'enfant, prendre en compte l'absence de l'augmentation de poids attendue.
(4) Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
(5) Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres, non limité à un sentiment subjectif de fébrilité ou de ralentissement intérieur).
(6) Fatigue ou perte d'énergie presque tous les jours.
(7) Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peut être délirante) presque tous les jours (pas seulement se faire grief ou se sentir coupable d'être malade).
(8) Diminution de l'aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision presque tous les jours (signalée par le sujet ou observée par les autres).
(9) Pensées de mort récurrentes (pas seulement une peur de mourir), idées suicidaires récurrentes sans plan précis ou tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.
B. Il n'y a pas en même temps des symptômes qui répondent aux critères d'un épisode maniaque (voir la Question fréquente "Qu'est-ce que la maniaco-dépression ?").
C. Les symptômes induisent une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d'autres domaines importants.
D. Les symptômes ne sont pas imputables aux effets physiologiques directs d'une substance (p. ex., une substance donnant lieu à abus, un médicament) ou d'une affection médicale générale (p. ex., hypothyroïdie).
E. Les symptômes ne sont pas mieux expliqués par un deuil, c'est-à-dire après la mort d'un être cher, les symptômes persistent pendant plus de deux mois ou s'accompagnent d'une altération marquée du fonctionnement, de préoccupations morbides de dévalorisation, d'idées suicidaires, de symptômes psychotiques ou d'un ralentissement psychomoteur.
D'autres symptômes sont souvent présents, même s'ils ne constituent pas des critères pour reconnaître la dépression: tendance à pleurer, à broyer du noir, irritabilité, ruminations obsessionnelles, anxiété, phobies, préoccupations excessives pour la santé physique, douleurs (p. ex., céphalées, douleurs dans les articulations, l'abdomen ou autres), des difficultés dans les relations intimes ou sociales, des difficultés sexuelles. Certaines personnes peuvent présenter des attaques de panique. Dans environ 15% des cas, il y a présence de symptômes tels des hallucinations ou du délire. Il arrive que des symptômes d'anxiété envahissants "cachent" la dépression, empêchent de la diagnostiquer et de la traiter. "
2006-08-29 02:39:55
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answer #9
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answered by Lol 6
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tu n as envie de rien faire
tu penses qu au choses qui font mal
tu es tres fatigué
tu dors beaucoup mais tu as du mal a t endormir
tout te fais chier et rien ne te fais envie
mais la liste n est pas exhaustive et elle depend de chaque personne
la plupart du temps la depression s accompagne d un affaiblissement du corps donc tu attrape la moindre chose qui passe ( gastro , angynes ,rhume ,....)
2006-08-29 02:37:03
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answer #10
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answered by ptitom 6
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