English Deutsch Français Italiano Español Português 繁體中文 Bahasa Indonesia Tiếng Việt ภาษาไทย
Toutes les catégories

Ne refuse jamais
De donner la main a cet homme
Que tu croises sur ton chemin.
Sur le chemin des terres eternelles.
Songe a cet homme qui vient de loin,
De par-dela mers et montagnes.
Quel est cet homme? on ne sait pas,
Mais il est mon frere ici-bas.
Donne-lui la main en passant,
Donne lui la main et tes yeux.
Et puis va-t'en, et lui s'en va.
Et vous vous perdez l'un et l'autre...
Mais il y a quelque chose:


- Un moment humain qui demeure.


Extrait de "Ne refuse jamais" - Francis Andre

2006-08-25 18:50:02 · 10 réponses · demandé par Merlin 5 dans Arts et sciences humaines Arts et sciences humaines - Divers

10 réponses

Merlin, toi qui fut le plus grand,
Qui savait lire dans l'Histoire,
Pourquoi donc as-tu fait semblant
De ne pas voir ou ne pas croire ?

Toi, le dernier des Magiciens,
Aurais-tu vu dans l'avenir
Se dresser pour toi un destin
Tel que tu aurais voulu fuir ?

Alors, cette fausse prison
Où je te croyais enfermé,
Serait-elle la protection
Où Vivianne t'aurait gardé ?

Tu te fais maintenant bien vieux
Pour croire aux femmes et leur beauté.
Au moins, tu m'as ouvert les yeux :
Merlin, tu m'as désenchanté

alors? j'me suis pas gavée là? :-) sauf pour le "desenchanté" je te l'accorde....

2006-08-25 19:09:58 · answer #1 · answered by alala in bed with csgffr 6 · 2 0

humain??

tu me torture et tu t'infliges la torture
je m'en irais

2006-08-26 02:00:35 · answer #2 · answered by jencorevedetoi 2 · 2 0

J'ai rencontré un homme dans la rue,
Il m'a dit qu'il venait d'un lointain pays,
je lui ai souhaité la bienvenue,
Sur les terres de ce pays.

Il m'a dit qu'il était asiatique,
Avec un sourire magnifique.
Je lui ai ouvert mon humble demeure,
Avec une joie infinie dans mon coeur.

Il m'a dit qu'il venait d'Océanie,
Et ma conté l'histoire de sa vie.
Je lui ai offert un gîte,
Et lui ai joué de la flûte.

Il m'a dit qu'il venait d'Amérique,
Aprés avoir traversé l'Atlantique.
Je lui ai ouvert mes bras,
Et acceuilli sous mon toît.

Il m'a dit qu'il était africain,
Comme l'étaient ses encêtres avant lui.
Et qu'il ne cherchait qu'un coin,
Où il pourrait passer la nuit.
Je lui ai dit que ma maison n'attendait que lui

Il m'a dit qu'il était européen,
Heureux de me voir si chalereux.
Sa provenance m'importait peux,
Pour moi c'était un frère terrien.

J'ai rencontré un homme dans ta rue,
Qui m'a demmandé le non de mon pays.
Je lui ai dit:...Terre, Terre mon ami.
Il m'a souri,...sa planéte et mon pays.

2006-08-26 02:19:35 · answer #3 · answered by ? 5 · 1 0

Ma main...;-)
Les doigts de ma main font cinq
C'est le pouce le plus malin,
c'est l'index le plus coquin.
Le majeur est le plus heureux car il est au milieu.
L'anulaire est le plus fier car il sait àquoi il sert.
C'est le plus petit, le plus joli,
on l'apelle l'auriculaire mais on dit aussi le petit riquiqui.

2006-08-26 02:09:36 · answer #4 · answered by *S*E*S*A*M*E* 3 · 1 0

Mori yuku no kûki no suso o hirato kaesi te keorimono-yô senzai kai ni

(Je traverse le bois
en faisant flotter le liseré de l'air
pour acheter du détergent pour la laine)

Niji Fuyuno

2006-08-27 18:48:53 · answer #5 · answered by Eikichi Onizuka 4 · 0 0

Ouvrier, mon frère ouvrier

En attendant par les journaux
Les cafés-concerts, les phonos
T’es dans la main des financiers
Dans celle des distillateurs,
Et tous les genr’s d’spéculateurs.

En attendant vautour premier,
Grand maître de la république,
T’vide à la rue, toi et ta clique,
Et refuse de vous loger
Bien qu’il veuille aussi des soldats
Pour le défendr’ contr’ l’étranger !

2006-08-26 03:44:22 · answer #6 · answered by Théo Jazz Man 7 · 0 0

les cinq doigts de la main en occitan

o quello qui l'o vist (le lièvre )
o quello qui l'o tuado
o quello qui l'o cortsado
o quello qui l'o fatso coje
o quello qui( le plus petit) l'o mintsado qui qui qui qui qui qui

les petits-enfants l'adorent et la redemandent

2006-08-26 02:45:17 · answer #7 · answered by Anonymous · 0 0

Les sanglots longs des violons de l'automne
Blessent mon coeur d'une langueur monotone
Tout blèlme quand sonne l'heure
Je me souvient des jours ancins et je meur.
Et je m'en vais
au vent maivais qui m'emporte
Deça delà pareil à la feuille morte.

2006-08-26 02:40:20 · answer #8 · answered by Christiane F 4 · 0 0

Très beau, très vrai....
Mais si loin de la réalité..
Dommage....

2006-08-26 02:28:46 · answer #9 · answered by l_or_des_maux 4 · 0 0

bonjour ....
poesie ?j'appelle ça de la prose( de l'eau de (p) rose meme....)
en plus pas un truc perso....pffff...(rires)
bonne journée

2006-08-26 02:22:30 · answer #10 · answered by syl_en_cieux 3 · 0 0

fedest.com, questions and answers