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[...] Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, ... prodiges par lesquels il avait séduit ceux qui avaient pris la marque de la bête et adoré son image ...

2006-08-24 19:58:08 · 9 réponses · demandé par Duc Tony 3 dans Societé et culture Religions et spiritualité

la bible
Apocalyse 19-20

2006-08-24 20:13:34 · update #1

9 réponses

Appocalypse 14:9 dit"Et un autre ange, un troisième, les a suivis, en disant à haute voix: 'Si quelqu'un adore la bête sauvage et son image, et reçoit une marque sur le front ou sur la main, il boira lui aussi du vin de la colère de Dieu qui est versé sans mélange dans la coupe de son courroux.'" (Révélation 14:9, 10a)

Au sens figuré. Les Écritures font allusion à des marques faites sur des humains et ce, au sens figuré. Dans la vision d'Ézékiel, un homme avec un encrier de secrétaire fut chargé de passer au milieu de Jérusalem et de ' faire une marque [héb. : taw] sur ceux qui soupiraient et qui gémissaient au sujet de toutes les choses détestables qui se commettaient au milieu d'elle '. Cette réaction de leur part montrait qu'ils étaient des justes, des serviteurs appartenant à Jéhovah, qui méritaient par conséquent d'être épargnés au moment où Jéhovah exécuterait son jugement. La marque allégorique sur leur front l'attestait. - Éz 9 ; voir aussi Éz 9:4, note ; 2P 2:6-8.

En revanche, dans la vision de Jean les personnes qui recevaient la marque (ou gravure) de la bête sauvage sur le front ou sur la main allaient vers la destruction. La marque sur le front les identifiait ouvertement à des adorateurs de la bête sauvage, donc à ses esclaves. Elles se révélaient ainsi être adversaires de Dieu, la bête sauvage ayant reçu son pouvoir du dragon, Satan le Diable. La marque sur la main, logiquement, signifiait que ces personnes soutenaient activement la bête sauvage, puisque la main sert à travailler. - Ré 13:1, 2, 16-18 ; 14:9, 10 ; 16:1, 2 ; 20:4.


Que signifie être marqué au front ou sur la main droite du nom de la bête sauvage? Lorsque Jéhovah donna la Loi aux Israélites, il leur dit: "Vous devrez mettre mes paroles sur votre coeur et sur votre âme et les lier sur votre main comme un signe, et elles devront servir de fronteau entre vos yeux." (Deutéronome 11:18). Ces paroles signifiaient que les Israélites devaient constamment garder cette Loi présente à l'esprit, afin qu'elle influence toutes leurs actions et leurs pensées.

Je suis a votre disposition pour de plus ample explication.
espoirhoffnung@yahoo.fr

2006-08-24 22:01:09 · answer #1 · answered by espoir h 3 · 0 1

Tiens, Y! QnR fait dans le mysticisme, maintenant ?
Apocalypse 19:20.

Certains parlent d'une marque invisible. D'autres d'un sceau.
Mais beaucoup de textes s'interrogent sur la traduction qui a été faite du texte et qui a débouché sur le mot "marque"

2006-08-25 03:05:00 · answer #2 · answered by Bon Scott 6 · 1 0

rien c est du mésange

2006-08-26 19:32:44 · answer #3 · answered by habi.t 4 · 0 0

C est peut etre cela:


Une puce greffée dans votre bras fera l'affaire... En attendant d'être appelée à d'autres usages.

Par François MUSSEAU

«N'ayez pas peur, ce n'est pas plus gros qu'un grain de riz !» Conrad Chase, beau brun aux yeux bleus se fend de son sourire le plus charmeur pour rassurer l'auditoire. Didactique, il fait passer un porte-clés dans lequel est incrustée une puce électronique blanche. En cette fin d'après-midi, au fond du Baja Beach Club, discothèque ambiance tropicale du bord de mer à Barcelone, dix-sept personnes s'apprêtent à servir de cobayes à une drôle d'expérience : une puce à microfréquence («VeriChip», pour les simples mortels, du nom de la société qui la produit) va leur être greffée dans le bras gauche, à hauteur du biceps, juste sous l'épiderme. Pour les patrons de la discothèque, cette puce permettra d'identifier immédiatement, et à coup sûr, un individu : grâce à un scanner qu'il suffit de passer sur le bras, apparaissent aussitôt, sur un écran d'ordinateur, le nom du client, son numéro d'identification personnel, ainsi que le crédit dont il dispose dans l'établissement. Plus besoin d'exhiber sa carte d'identité ni de porter sur soi son portefeuille. Les droits d'entrée comme le coût des consommations sont débités automatiquement par simple activation des rayons laser.

Dans la zone VIP du Baja Beach Club, entre plantes exotiques, comptoirs de bar en bambou et requins gonflables, les cobayes trahissent une certaine nervosité. Tous sont des habitués du lieu, et ils se sont laissé convaincre par Conrad Chase, le copatron de la discothèque. Fin mars, il a été le premier à se faire implanter une de ces puces. Vêtu de blanc, bronzé et musclé, il se tâte le bras gauche et prend les volontaires à témoin : «Regardez, je ne sais même pas où est ma puce. Je sais juste qu'elle est en moi, inoffensive, indolore, et qu'elle n'a provoqué aucune allergie. Des questions avant de passer à l'action ?» Une pinte de bière à la main, Pepe, une armoire à glace vêtu d'une chemise à fleurs, demande : «Peut-on se baigner avec ?» Des rires nerveux fusent dans l'assistance. Après un silence gêné, d'autres se risquent, plus sérieux : «La puce peut-elle se briser à l'intérieur du corps ?» Conrad répond avec un sourire : «Pour la casser, le coup devrait être si puissant qu'il faudrait plutôt s'inquiéter pour votre bras tout entier !» «La puce peut-elle déclencher les alarmes dans les aéroports ? Ñ Peut-être, mais pas plus qu'un bouton de veste en jean.» «En cas de gêne, peut-on la retirer sans difficultés ? Ñ Aussi facilement qu'une écharde», assure Conrad.

Un code-barres de supermarché

En soi, la VeriChip n'est pas vraiment une nouveauté. Ce minuscule objet en verre ­ de 12 mm de long, et 2 mm de large ­ enserre une puce d'une mémoire de cinq kilobytes. «Pour l'instant, elle ne contient qu'un numéro d'identification. Mais on peut y stocker davantage d'informations», précise Conrad Chase, bombardé distributeur en Europe de cette puce sous-cutanée (1). La VeriChip appartient à la famille des appareils d'identification à fréquence radio, en anglais les RFID. Commercialisée par une entreprise américaine basée en Floride, ADSX Inc., elle est déjà utilisée à des fins médicales ou sécuritaires assurent ses promoteurs : pister des malades atteints d'Alzheimer; garantir l'identification du personnel dans des lieux d'accès limité, tels des sièges de société. «La VeriChip n'est pas un émetteur de données. Elle ne s'active que si elle est sollicitée par un scanner spécifique. Cela s'apparente davantage au code-barres d'un produit de supermarché», explique par téléphone Keith Bolton, directeur de VeriChip Corp., filiale d'ADSX. «Je veux étendre son utilisation à la vie quotidienne», dit Conrad Chase.

En 1997, cet Américain venu de Miami, âgé de 39 ans, a ouvert à Barcelone sa discothèque modelée sur le Baja Beach Club, une boîte «tropicale» de Floride. «Je cherchais un moyen innovant de fidéliser ma clientèle. En lisant une revue d'informatique, je suis tombé sur un article sur la VeriChip.» Aujourd'hui, il se vante d'être le premier commerçant au monde à proposer une puce greffée comme moyen de paiement. «Cela fonctionne comme une carte de débit. Le client doit simplement penser à approvisionner son compte régulièrement.»
Contrairement à ce qu'il tente de faire croire, il ne lui a pas été si facile de trouver des gens disposés à se faire implanter une puce dans le bras. Depuis mars, seuls une dizaine de volontaires se sont prêtés au jeu. «Au début, reconnaît-il, je me suis heurté à des résistances. Ceux à qui j'en parlais avaient peur d'être surveillés par satellite, peur d'être placés sous l'oeil de Big Brother.»

Ce jour-là, dix-sept nouveaux cobayes ont accepté d'être «chipped», comme on dit en anglais dans la discothèque. La plupart d'entre eux ont du mal à expliquer leur motivation. La puce et son implantation leur ont coûté 125 euros même si, sur cette somme, 100 ont été aussitôt crédités à leur compte personnel (une «faveur faite aux pionniers», dixit la discothèque). Ce sont des habitués, qui bénéficient déjà d'entrées gratuites. L'intérêt pratique du dispositif est donc limité au règlement des consommations. «Je ne sais pas trop ce que je fais là», avoue Raquel, 23 ans, secrétaire dans une agence de pub, morte de peur en regardant se préparer l'infirmière qui lui demande si elle souffre d'une quelconque allergie, lui administre trois piqûres anesthésiantes dans le bras avant de lui implanter lentement la puce au moyen d'une seringue jetable, à la manière d'un vaccin.
Raquel aura besoin d'une bonne demi-heure avant de se remettre d'une subite baisse de tension : «Mes parents étaient contre, mais peu m'importe. J'aime ce qui est nouveau. Avant, j'avais un piercing à la langue et aux lèvres, puis je m'en suis lassée...» Jaime, 50 ans, employé d'un labo pharmaceutique, s'est livré à l'expérience en compagnie de son fils : «Pendant l'injection, j'ai senti comme une forte pression dans le bras, un peu inquiétante, mais ca fait partie de l'aventure. ça me fait sentir plus jeune.» Bizarrement, personne ne semble s'inquiéter des risques. Avant l'opération, chacun appose sans broncher sa signature au bas d'une feuille où on peut lire que «le Baja Beach Club décline toute responsabilité médicale ou judiciaire à l'égard de cette puce qui, une fois implantée, devient propriété exclusive du porteur. Celui-ci est libre d'enlever, de réparer ou de modifier cette puce...»

«De quoi voulez-vous que j'aie peur ?» demande Juan Luis, la trentaine avancée, employé d'une compagnie d'assurances. «Un ami physiothérapeute m'a tranquillisé. Et puis ça fait quinze ans que je traîne un bout de métal dans ma hanche droite, suite à une opération chirurgicale. Ce n'est pas une petite puce qui va m'effrayer !» Les experts, d'ailleurs, ne sont pas alarmistes. «En principe, si l'opération est pratiquée avec soin, l'introduction d'une puce sous-cutanée ne pose pas de problème médical», estime Ignacio Mariyon, professeur de microbiologie à l'université de Navarre, à Pampelune. Avis partagé par José Luis Del Pozo, praticien de la clinique de cette même faculté, spécialiste des infections de l'organisme. «Il y a deux types de risque, dit-il. Le premier, un rejet du système immunologique du patient, qui peut entraîner une fibrose, mais il est infime. L'autre serait une infection, si le biomatériel est introduit dans des conditions d'hygiène déficientes. Mais ce danger est plus faible encore que dans le cas d'une prothèse, car il s'agit d'une chirurgie minime et peu profonde.»

Un monde plus sûr

Malgré un début laborieux, les promoteurs de la puce sont optimistes. Steve van Soest, un jeune Néerlandais attaché de relations publiques du Baja Beach Club, annonce 120 implantations d'ici à la fin de l'année rien qu'à Barcelone. «Début juillet, nous allons faire la même chose dans notre discothèque de Rotterdam, aux Pays-Bas. Les Néerlandais sont très ouverts aux nouvelles technologies, ça va marcher du tonnerre là-bas. Notre prochain objectif, ajoute-t-il, sera d'établir un partenariat avec des magasins et autres discothèques de Barcelone, de façon que cette puce puisse être utilisée dans différents endroits et pour divers usages.»
Conrad Chase est encore plus ambitieux : «A long terme, je suis convaincu que ce genre de puce permettra de nous passer de papiers d'identité et de cartes de crédit. C'est un moyen imparable de lutter contre la fraude. Vous avez là les prémices d'un monde plus sûr.» Un monde où l'individu pourrait être suivi à la trace ? La perspective n'a pas l'air d'effrayer les greffés. «Cela ne me dérangerait pas que ma puce contienne toutes les informations me concernant, y compris mes comptes en banque, affirme Antoine Hazelaar, 34 ans, qui dirige un cyberguide sur le Barcelone by night. Je n'ai rien à cacher .Le seul danger serait qu'un autre puisse copier ma puce greffée.»

2006-08-25 13:31:08 · answer #4 · answered by mathias 2 · 0 0

Précise un peu la référence... Ap XIX, 20? pas tout à fait ça.
La marque de la bête...pas très interessant de prendre ce texte au sens littéral. Je m'en fais une petite idée, pas facile à formuler...désolé

2006-08-25 04:33:26 · answer #5 · answered by Anonymous · 0 0

Mystère mystère ! C'est la bienvenue.....

2006-08-25 03:56:25 · answer #6 · answered by ChatNoir 4 · 0 0

tu devrai dire au gens d'ou viens ce passage pour qu'ils puissent te répondre :

L’écriture indique qu’il est lié à l'économie, étant donné
personne ne sera capable d’acheter ou de vendre s’il n’achète que cette marque. En plus, on peut voir que la marque représente le culte de l’Antichriste et l’acceptation de son royaume sur terre. Plusieurs conjectures abondent sur ce que cette marque sera - à partir d'un signe de tatouage à un chip d'ordinateur - mais pour dire la vérité, jusqu'à ce qu'il sera institué, personne ne pourra être sûr de quoi vraiment il s'agit. Ce qui est important de noter ici est que l’acceptation de cette marque sera une action délibérée et un rejet direct du Seigneur. Le courroux de Dieu sera versé sur ceux qui acceptant cette marque. Ce passage indique qu’il y aura l’enfer sur terre pour ceux qui acceptent cette marque.

2006-08-25 03:10:35 · answer #7 · answered by lillois 3 · 0 0

Mais d'où tires-tu ce récit?

2006-08-25 03:06:52 · answer #8 · answered by Anonymous · 0 0

reçussent ???

2006-08-25 03:01:51 · answer #9 · answered by mymy4ZIZOU 4 · 1 1

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