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7 réponses

Comment puis-je vivre sans toi?
O ù pourrai-je enfin t'embrasser?
Q uittons nos rêves pour nos bras
U n mélange sucré-salé
I mprégnés de vive impatience
N e nous posons pas de questions
N ous irons voyager en France
E coute-moi, mon papillon!

2006-08-24 09:55:55 · answer #1 · answered by soeur_pheuse 6 · 0 0

et comme le sel est dans les blés,
la mer en toi dans son principe,
la chose en toi qui fût de mer,
t'a fait ce goût de femme heureuse et qu'on approche.

St John Pers - Amers -

2006-08-24 08:37:18 · answer #2 · answered by Super 7 · 1 0

Un souffle sépare l'infidélité de la foi;
Un autre distingue la certitude du doute.
Alors,chéris le souffle, ne le traite jamais à la légère-
Un tel souffle n'est-il pas la moisson de notre etre?


La caravane de la vie passe dans l'étrangeté,
Viens, saisis le moment qui passe dans la joie .
Pourquoi pleurer les amis et leur lendemains.
Saki?
Verse encore du vin : la nuit passe elle aussi.



Ce monde survivra à notre humble départ,
Persistant sans souvenir ni mention de nous .
Avant notre venue , il ne nous reprochait pas notre absence;
Une fois partis, comment nous regretterait-il?


Khayyam,bien que ce pavillon royal teint de bleu
Raidisse ses cordes d'or contre toute entrée,
Un Saki immortel fait jaillir des Khayyam par milliers.
Comme des bulles de vin de la coupe de la création.

2006-08-24 09:42:43 · answer #3 · answered by mohsin 3 · 0 0

Aller ! On continue avec St Léger !

Palmes ...!
Alors on te baignait dans l'eau-de-feuilles-vertes; et l'eau encore était du soleil vert; et les servantes de ta mère, grandes filles luisantes, remuaient leurs jambes chaudes près de toi qui tremblais ...

Saint-John Perse - Éloges

2006-08-24 08:42:39 · answer #4 · answered by Anonymous · 0 0

Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils ;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.

5 Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.

Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
10 Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?

- Ô douleur ! ô douleur ! Le temps mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le cour
Du sang que nous perdons croît et se fortifie !


Charles Baudelaire

2006-08-24 08:38:58 · answer #5 · answered by Justme 3 · 0 0

Un dimanche matin,
Avec ma putain,
Sur ma mobilette,
je lui met la main,
entre les deux seins,
elle me dit arrete...

2006-08-24 08:44:03 · answer #6 · answered by poetorisback 4 · 0 1

tiens voila pour toi
http://www.editionsmelonic.com/Virtuel/Poemes/francais.htm

2006-08-24 08:40:40 · answer #7 · answered by fraise 2 · 0 1

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