près de ma mie...
et hier, si fort elle m'a léché...
que je vis...
que ma mie etait un fox terrier!
2006-08-22 03:51:04
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answer #1
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answered by laoladsou 3
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Oh là là ... oui on connait A la recherche du Proust perdu "longtemps patati patata ..." Mais connaissez-vous la parodie de cet incipit ? (véridique !)
"Longtemps je me suis branlé de bonne heure, dans la forêt, non loin de la départementale qui, chaque jour, relie Sarrouilles à Tarbes. Chemise ouverte, je courais à travers les fougères constellées de rosée [...]"
Christian Laborde - L'os de Dionysos
2006-08-22 17:28:13
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answer #2
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answered by Anonymous
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... seul. Et je pleurais comme une madeleine.
2006-08-22 10:50:52
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answer #3
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answered by Hobbes, ex-Roy 5
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Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. »
2006-08-22 10:44:15
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answer #4
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answered by lillak13 2
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de bonne heure, parfois à peine ma bougie éteinte je me disais, je m'endors
2006-08-22 10:43:58
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answer #5
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answered by glouglouteur 2
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Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire : « Je m'endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu'il était temps de chercher le sommeil m'éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir dans les mains et souffler ma lumière ; je n'avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour particulier ; il me semblait que j'étais moi-même ce dont parlait l'ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint.
2006-08-22 15:41:54
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answer #6
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answered by Alban 3
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de bonne heure...
2006-08-22 12:22:29
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answer #7
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answered by sandy jeune maman 3
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... et toujours je me suis relevé.
2006-08-22 10:59:25
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answer #8
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answered by soleil22 1
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De bonne heure.
2006-08-22 10:48:39
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answer #9
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answered by Gaëtane 6
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Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire : « Je m'endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu'il était temps de chercher le sommeil m'éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir dans les mains et souffler ma lumière ; je n'avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour particulier ; il me semblait que j'étais moi-même ce dont parlait l'ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint.
2006-08-22 10:48:16
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answer #10
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answered by furlink_df 2
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