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Nous sommes hélas impuissants face à l'enfer que vit le MO depuis 1948. (je cite là un prêtre).
Néanmoins, les média veulent faire des individus des girouettes de la pensé en changeant de sujet si l'on puit dire. Ce qui se passe en Irak, Liban, Palestine, est inommable. Ce n'est pas au nom de Dieu que se font ces massacres mais à celui de la démocratie totalitaire ! Je ne crois pas à la force de l'Onu. l'implication de la France est dérisoire, cela sous entend qu'elle n'a pas eu les garanties pour la sécurité de ses soldats. N'ayant pas la tv, je n'ai pas pu voir les images que je viens juste de regarder sur le net, entre les petites isräéliennes qui signent les bombes, et les cadavres d'enfants libanais, je suis simplement horrifiée. A se demander si la création de l'homme n'est pas une erreur grotesque. Serez-vous attentifs à ce qui va se passer ?

2006-08-20 13:17:16 · 13 réponses · demandé par Emma P 4 dans Actualités et événements Événements

Benton, ce que tu dis est grotesque : je n'ai pas la TV, donc elle ne m'influence pas. Par ailleurs, Michou, une inondation
est un phénomène différent d'une situation géo-politique où l'homme a un poids, ce qui n'enlève rien à la souffrance humaine dans ces lieux, mais le problème est d'une nature totalement différente.

2006-08-21 08:53:29 · update #1

13 réponses

tant qu'il y a israel il y'aura les carnages ,genocides,enlevements,assassinats et autres atrocites
tant que bush est a la maison "noire"il y'aura des guerres et des enfants et femmes tues mais il faut savoir une chose:aucune injustice ne dure eternellement et aucune puissance n'est eternelle.tout a une fin .et le debut de la fin pour ces tyrans a bien commence je pense.

2006-08-20 13:50:22 · answer #1 · answered by Anonymous · 1 0

Nous avons qu'est ce qu'elle a fait Israel il y a deux jours.
C'est bizzard.
they break the armistice.

2006-08-20 18:03:21 · answer #2 · answered by Anonymous · 1 0

oui ma chere a voir ces atrocites on pense que la fin de ce monde approche a grande vitesse
qu allah aide ces peuples de vivre en paix avant la fin

2006-08-20 13:55:14 · answer #3 · answered by moez w 4 · 1 0

Tu parles de ce que tu vois sur les médias ...en disant ensuite qu'elles nous font voir n'importe quoi. Si tu veux être "vigilante", ce ne sont pas les médias qui t'aideront. Une recherche intelligent n'est pas facile ...il faut cependant commencer par là ...plutôt que d'allumer sa TV et de contempler:-(

Si ceci peut te faire réfléchir, j'aurai "apporté" quelque chose - merci !

2006-08-20 13:51:53 · answer #4 · answered by Obelix 7 · 1 0

Si on s'amuse à analyser les choses profondément, on va se confronter à une réalité. Les mass-médias, avec les scénarios journalistiques ou leurs actualités, ne font que cacher ladite réalité. Dans les 2 camps, il y a des centaines de civils victimes, des milliers d'innoncents, il y a des habitations démolies. Même s'ils ne sont pas avec le même volume, on peut les appeler "la guerre". Mais, à vrai dire, cette guerre ne prend pas ses sources de la religion. Elle la prend à partir de la soif de l'expansion terrestre. Un nouveau pays, qui grâce à la victoire des alliés à la Seconde Guerre Mondiale et grâce aux irresponsabilités des arabes palestiniens d'avant 1948, a pu s'installer et créer l'Etat d'Israël. Cet Etat n'a aucun lien avec le judaïsme. Pour lui, c'est la domination territoriale qui compte comme priorité.
Donc mon message veut dire qu'il ne s'agit pas d'une guerre sainte, mais il s'agit d'anéantir seulement les voisins arabes et de prendre par force leurs terres.

2006-08-20 13:50:34 · answer #5 · answered by Momo 7 · 1 0

je vais te dire un truc...tout le monde s'indigne pendant 15 jours d'un truc que pointe les journalistes mais en verite 95 % des gens s'en foute royalement tant que ca n'affecte pas leur train train quotidien...on est 6,5 milliard...on pourrai flinguer un pays comme la france tous les ans que ca ne ferais pas diminuer ce nombre...

2006-08-20 13:36:47 · answer #6 · answered by brunyth 4 · 1 0

voir l'histoire d'une muette qui cherche; cherche qui;quoi; de toute façon perdue entre les corps des morts innocents de liban...la réponse est non la vigilance,

2006-08-20 13:36:37 · answer #7 · answered by L'Oiseau chanteur 7 · 1 0

Les images que tu as regardées sur le net sont bidon. On trouve de tout sur le net, il faut être très prudent.

2006-08-22 08:56:59 · answer #8 · answered by Anonymous · 0 0

Ces quelques lignes ne s'adressent pas à ceux qui pensent qu'Israël est une créature illégitime, l'enfant bâtard de l'impérialisme yankee et de la mauvaise conscience occidentale déposé à la sauvette dans la Palestine mandataire pour le plus grand malheur de ses véritables propriétaires. Ceux-là ont fait leur religion, si j'ose dire, et rien ne les fera changer d'avis, quoi que fasse ou ne fasse pas Israël. Ceux-là, il faut les passer par profits et pertes. Ces lignes s'adressent à ceux qui ont conservé la capacité de douter, donc de réfléchir. Voici, à leur intention, quelques jalons historiques, de quoi nourrir leurs doutes, donc leur réflexion.

Le conflit dont nous sommes en train de vivre la phase paroxystique est vieux de près d'un siècle. Dans son essence, il est né du rejet arabe de l'implant sioniste. Vu ainsi, il était probablement inévitable. Par quel miracle, en effet, éviter l'affrontement entre la volonté juive de créer un Etat-nation souverain sur le seul morceau de terre que les Juifs aient considéré leur depuis des temps immémoriaux et la volonté arabe de les en empêcher ? Ainsi, lorsque, au sortir de la Première Guerre mondiale, la Société des nations confie le mandat sur la Palestine à la Grande-Bretagne, à charge pour elle de la préparer à l'indépendance, la nouvelle puissance mandataire hérite d'un problème qu'elle fera de son mieux pour embrouiller faute de savoir comment le résoudre.

Dans les années 30, deux faits majeurs contribuent à cristalliser les camps en présence : l'émergence, face au défi sioniste, d'un nationalisme proprement palestinien ; l'amoncellement des nuages au-dessus du judaïsme européen. En 1936 éclate la grande révolte, antibritannique et antijuive tout à la fois, des Arabes de Palestine. Un an plus tard, une commission d'enquête britannique dépêchée sur place par le gouvernement de Sa Majesté conclut au caractère irréconciliable des aspirations nationales des deux communautés et préconise pour la première fois le partage du pays en un Etat juif et un Etat arabe, comme on dit à l'époque. A ce moment, Hitler est installé au pouvoir depuis quatre ans déjà. Bientôt, la Seconde Guerre mondiale va enfermer les Juifs d'Europe dans une nasse mortelle.

L'Etat d'Israël eût-il jamais vu le jour si la tourmente nazie n'avait emporté le tiers du peuple juif ? Toujours est-il que l'ampleur de la catastrophe transforme l'idéologie sioniste, naguère minoritaire, en un mouvement de masse, en même temps qu'elle impose la solution d'un Etat juif à la communauté internationale. Le 29 novembre 1947, soit dix ans après le rapport de la commission d'enquête britannique, l'Assemblée générale des Nations unies en adopte le principe à la majorité requise des deux tiers.

Si les Juifs acceptent aussitôt la résolution, les Arabes la rejettent, commettant ainsi leur première faute stratégique majeure. En effet, non seulement elle assurait la création d'un Etat palestinien souverain sur la majeure partie du pays, mais l'exiguïté du territoire alloué à l'Etat juif rendait la pérennité de celui-ci aléatoire. De ce refus premier découleront tous les malheurs du Proche-Orient.

La guerre civile qui éclate dans la foulée de la résolution de partage, puis, dès l'abandon par les Britanniques d'un mandat devenu sans objet et la proclamation immédiate de l'Etat d'Israël, l'invasion de la coalition arabe tournent à l'avantage du jeune Etat. De sa guerre d'indépendance Israël sort avec des frontières plus défendables, un territoire plus étendu, une population plus homogène. Ce sont les Palestiniens qui paient le prix de l'agression et de l'incurie de leurs alliés : Israël et la Transjordanie de l'émir Abdallah se partagent le territoire qui leur était alloué par les Nations unies, renvoyant ainsi aux calendes grecques un Etat palestinien dont, de toute manière, les Arabes ne voulaient pas. Surtout, quelque 700 000 d'entre eux prennent le chemin de l'exil et s'en vont peupler des camps de fortune gérés par la charité internationale. On ne le dira jamais assez, le « problème des réfugiés » est né de la guerre et n'a été maintenu sans solution que pour servir d'abcès de fixation dans la guerre que les Arabes entendaient poursuivre contre Israël.

C'est dans les camps que se forgent les caractères originaux du nationalisme palestinien - un nationalisme réactif, fondé sur le mythe du retour, et tout entier tourné contre Israël, à la fois repoussoir et modèle inavoué. Lorsque, en 1964, l'Organisation de libération de la Palestine se dote d'une Charte nationale, ce texte fondateur reprendra tous les présupposés du mouvement national juif, au point qu'on est en droit d'y lire un sionisme en miroir.

Trois ans plus tard, Israël s'empare de la Cisjordanie, de la bande de Gaza et de la vieille ville de Jérusalem lors de la campagne éclair des Six-Jours, autre coup de poker désastreux des Etats arabes, l'Egypte de Nasser en tête. Or la guerre de juin 1967 change radicalement les données du problème. Avec l'ensemble du monde arabe, puisqu'elle donne à Israël les atouts nécessaires pour transformer son contentieux avec ses voisins en un conflit territorial classique, « la paix contre les territoires ». Et avec les Palestiniens, puisqu'en mettant Israéliens et Palestiniens face à face, elle remet sur le métier un Etat palestinien qui, autrement, n'aurait jamais eu la moindre chance de voir le jour.

Une lueur d'espoir

Il faudra encore dix ans et une conflagration majeure - la guerre du Kippour d'octobre 1973 - pour que le président Sadate en tire, avec le panache que l'on sait, les conséquences qui s'imposent. Il faudra encore une décennie et une guerre de plus - celle du Liban - pour que l'OLP parvienne plus ou moins à la même conclusion. Ce sera la déclaration d'Alger de 1988 par laquelle la centrale palestinienne se résout à la création d'un Etat palestinien à côté de l'Etat d'Israël. D'Alger à Oslo (1993), d'Oslo à Camp David (1999) - en principe un chemin droit vers l'acceptation de l'inévitable : le compromis historique, le partage de la terre, la réconciliation.

C'était aller vite en besogne. Une paix de compromis signifie nécessairement pour les deux peuples de renoncer à une part de leur rêve national : pour les Israéliens, le rêve du Grand Israël, que nombreux parmi eux se sont mis à caresser après la découverte éblouie, dans la foulée du « miracle » des Six-Jours, du coeur de l'Israël biblique. Pour les Palestiniens, le rêve du « retour », évidemment incompatible avec la survie d'un Etat juif souverain. A Oslo implicitement, à Camp David explicitement, Israël a fait son deuil de sa part de rêve, seulement pour s'apercevoir que les Palestiniens refusaient d'abandonner le leur. Comme la guerre d'indépendance un demi-siècle auparavant, la vague de violence qui balaie notre malheureuse contrée depuis la fin de septembre 2000 est née de ce refus primordial-là. Le reste est péripétie diplomatique. Qu'on ne s'y trompe pas, ce n'est pas sur les implantations ou sur le tracé des frontières qu'a achoppé le « processus de paix », mais sur Jérusalem et sur le « droit au retour », c'est-à-dire sur la légitimité d'un Etat juif en terre d'Islam.

Le temps d'une brève lueur d'espoir, nous étions nombreux à penser que cette question des origines ne se posait plus que pour une poignée de fanatiques. Il est triste de constater qu'après tant de sang et de larmes elle soit toujours là, d'une brûlante et désespérante actualité. Le mot désabusé d'un historien anglais me revient à l'esprit : « C'est la tragédie d'un monde où l'homme doit vivre avec la vision que la découverte de la formule de réconciliation est toujours laissée à la charge des générations futures, alors que la passion se sera refroidie en curiosité et les souffrances des peuples seront devenues des exercices scolaires. Le diable qui bâtit des ponts n'enjambe de tels abîmes que lorsque ce qu'il y a de plus précieux s'est englouti à tout jamais. »

2006-08-21 20:22:18 · answer #9 · answered by marcia a 2 · 0 0

a michou: gé de l'agressé, c son doit de parlé d'une actualité et c le resultats des medias et nous en parle constement.et c son choix de porté sa quetion sur cela, livre a toi de posé une question sur ce qui t'interesse!!! bien a toi!!!

2006-08-20 13:38:39 · answer #10 · answered by princesse du desert 3 · 0 0

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