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C'est quand même scandaleux quand on les entend parler de leur mannequins, il disent qu'ils cherchent des femmes très minces pour mettre plus en évidence leur vêtement et pas le mannequin.
Je comprend mais pourquoi chercher des femmes qui pourraient faire même concurrence à des femmes du tiers-monde.

2006-08-17 00:22:13 · 6 réponses · demandé par Anonymous dans Actualités et événements Médias et journalisme

Je suis d'accord que il faut que tout le monde gagne sa vie, je suis d'accord qu'on oblige pas les mannequin a faire ce métier, mais c'est pas la question.
C'est immoral au niveau de la société de laisser faire des choses pareilles, les problèmes de boulimie et d'anorexie chez les jeunes surviennent à cause de ces clichés.

2006-08-17 00:33:57 · update #1

6 réponses

C'est tout à fait possible et légitime. Un exemple :

Anorexie

Quand les députés argentins fourrent leur nez dans la taille des pantalons

Les Argentins sont réputés pour leur élégance. Mais, derrière l’attrait des centres commerciaux les plus branchés du pays, se cache une face plus sombre : l’obsession de l’esthétique et ses sinistres conséquences. L’anorexie et la boulimie ont pris des proportions désastreuses dans le pays : les chiffres sont les plus élevés du monde après ceux du Japon, et une adolescente sur dix souffre de troubles de l’alimentation.
Pour tenter de réduire l’influence des top models sur le comportement alimentaire des jeunes, un projet de loi vient d’être présenté au Parlement. Adopté par le Sénat et actuellement en délibération à la Chambre basse, il prévoit de sanctionner les fabricants et les détaillants qui ne proposent pas des vêtements de toutes les tailles à leur clientèle, en leur infligeant une amende comprise entre 100 et 10 000 pesos [entre 26 et 2 600 euros] et, en cas de récidive, une suspension d’activité pouvant durer cinq jours.
L’initiative vient de deux membres du Congrès, María del Carmen Banzas et Leopoldo Moreau, qui se sont inspirés d’une loi similaire en vigueur à Barcelone. “Les top models sont comme des vitrines ambulantes. Elles véhiculent un idéal esthétique auquel la société se conforme aveuglément. Ceux qui ne se sentent pas à la hauteur peuvent tomber malades de désespoir”, explique Leopoldo Moreau, qui déplore l’effet nocif de la mode sur la société.
Chez les professionnels de la santé, le projet de loi a reçu un accueil mitigé. Gabriel Franco, nutritionniste et président de l’Association argentine pour la prévention des troubles de l’alimentation (APTA), reconnaît que la difficulté de trouver des vêtements à leur taille n’aide pas les jeunes femmes souffrant de troubles de l’alimentation, mais il dément que le manque de vêtements de grande taille puisse engendrer de tels troubles chez des gens normaux. Eduardo Miramontes, psychologue à l’APTA, porte un jugement encore plus sévère. “L’industrie du vêtement est avide de profits. Le manque de vêtements de grande taille est une forme de discrimination flagrante”, affirme-t-il.
Contre toute attente, l’Association argentine de lutte contre la boulimie et l’anorexie (ALUBA) se dit hostile au projet de loi. “Cette mesure serait difficile à mettre en application et encouragerait la corruption”, explique sa fondatrice, la psychiatre Mabel Bello. “En outre, nous ne pensons pas qu’il soit nécessaire d’obliger les fabricants à produire des vêtements plus grands.” L’ALUBA fait campagne pour l’adoption d’un système d’étiquetage standardisé et plus transparent, qui contribuerait à faire disparaître la notion de “taille idéale”. “Les indications de taille – S, M ou XL – seraient remplacées par des mesures comme la longueur, le tour d’épaules et de hanches”, explique Mabel Bello.
Chose moins surprenante, la Chambre d’industrie argentine du vêtement (CIAI) s’oppose elle aussi au projet, affirmant que les tailles sont simplement fonction de la demande. “Il serait ridicule de penser que, s’il y avait une demande aussi importante de grandes tailles, les fabricants pourraient l’ignorer”, remarque Diego Adamovsky, vice-président de la CIAI. Pour Diego Adamovsky comme pour Mabel Bello, avant d’aller plus loin dans l’adoption du projet de loi, le gouvernement devrait lancer une étude scientifique sur la taille des Argentines. “La première chose à faire, affirme Diego Adamovsky, est de déterminer les véritables besoins vestimentaires du pays.” Une position que contredit toutefois l’opinion de la rue. “Je serais ravie que la loi passe, s’exclame une jeune Argentine. La plupart des boutiques que je connais ne vendent que des petites tailles.”

Matthew Brown
Buenos Aires Herald

2006-08-17 01:17:12 · answer #1 · answered by Anonymous · 2 0

Je suis entièrement d'accord avec toi mais de là à faire une loi je sais pas. C'est vrai que le problème de beaucoup de filles est de vouloir ressembler aux mannequins alors qu'en plus dans les magazines, elles sont retouchées. Je pense qu'il y aurait moins de problèmes d'anorexie si on voyait pas des filles la peau sur les os.

2006-08-17 10:40:23 · answer #2 · answered by la tortue 6 · 1 0

il faut que tu le monde gagne sa vie
les manequins aussi

2006-08-17 07:30:40 · answer #3 · answered by FAESSEL abdou 4 · 0 0

Pourquoi faire une loi? Personne n'est obligé de faire le métier de mannequin.

2006-08-17 07:28:06 · answer #4 · answered by Anonymous · 0 0

justement, c'est génial! comme ça, même des femmes du 1/3 monde peuvent participer!

2006-08-17 07:27:24 · answer #5 · answered by David_the_rescuer 3 · 0 0

Qui définit ce qui moral et ce qui ne l'est pas ?
Qui se charge de l'imposer aux autres ?

2006-08-17 08:57:20 · answer #6 · answered by Beachcomber 3 · 0 1

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