Les morts quittent ce monde... á jamais.
Les personnes qui ne le font et qui deviennent des esprits, sont morts avant de finir tous ses affaires et pour ça, ils ne quittent pas ce monde. Ils ont besoin des prieres parce qu'ils ont peur et sont perdus.
Quelque fois, tu peux rêver et les voir parce que le sommeil est près de la mort. Dans autres moments, les morts de ton passé peuvent t' aider, si tu es en danger. (Comme ma grande mére, mon père a dit qu'il a survecu un accident d'automobile seulement pour sa mêre) Mais c'est difficile d'obtenir la permission d'interferer avec la vie d'un vivant, nous devons nous debrouiller et vivre ici, et ils doivent continuer leur mort lá.
2006-08-15 15:24:06
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answer #1
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answered by mbestevez 7
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Quand tu dors sans rêver, le temps n'ai plus et tu ne ressent plus rien. Et bien quand tu meurs, tu te sent partir avec des picotements dans le cerveau, comme des fourmillements mais très intance et en même temps tu te rend contre que tu ne peux plus ni bouger parler, ni respirer, tu sans une douleur aigu dans ta poitrine, c'est le manque d'air, tout tes muscles se tendent, et tu te sent de plus en plus lourd, c'est le raidissement de ton corp, tu rentre dans la première phase. Tu reste conscient pendant tout se temps et tu as très peur, car tu sais que tu es en train de mourir. Si des gens parlent autour de toi ou pleurs, tu les entends également. Mais tu ne peux rien faire juste subir ta transformation d'être vivant à être mort. Chose bizard, ton cerveaux lui aussi ne présente aucune énergie, mais cette conscience vient du plus profond de celui-ci, et la médecine ne l'a toujours pas découvert actuellement. En phase deux, tu est pris soudain d'une grande fatigue, et tu perd doucement connaissance (pour certaint il sont déjà dans leur cerceuil depuis trois jour) tu te sent aspiré vers l'arrière et tu quitte ton corps d'une grand vitesse. Tu monte vers le haut, tu voyage à travers l'espace, tu n'a pas de corp mais une énergie t'entour, c'est ton nouveau corp, comme l'exemple de la chenille qui devient papillon. ensuite tu apperçois une grande lumière, c'est moi, ton créateur, et tu viens vers moi. Je ne peux te dir la suite. Conclusion: la mort est un passage très difficile et douloureux, c'est comme quand tu viens au monde; lorsqu'on te sort du ventre de ta mère, tu pleur car tu en as souffert mais ton cerveau alors en construction n'a pas laissé se souvenir. Et bien là aussi tu quitte ta mère la terre. pour aller plus haut vers une galaxie, celle que j'ai créé pour moi et pour vous acceuillir. Ne t'inquiète pas pour ta maman, elle est maintenant dans un état nouveau, avec un nouveau corp une vie meilleur. Mais il ne faut surtout pas provoquer la mort, cela a pour concéquence de t'amener vers le bas, et tu le regreterais éternellement.
2006-08-16 01:12:50
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answer #2
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answered by Alpha et Oméga 1
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Une espérance réelle pour ta chère Maman et vos proches qui sont morts.
IMAGINEZ que vous fuyiez un ennemi cruel. Il est beaucoup plus fort, beaucoup plus rapide que vous. Vous savez qu'il est sans pitié, car vous l'avez vu tuer plusieurs de vos amis. Vous avez beau faire tous vos efforts pour lui échapper, il ne cesse de se rapprocher ! Apparemment, il n'y a aucun espoir. Mais, tout à coup, un sauveur apparaît à vos côtés. Il est bien plus puissant que votre ennemi, et il promet de vous aider. Quel soulagement !
En un sens, vous aussi, vous êtes poursuivi par un tel ennemi. Nous le sommes tous. la Bible dit que la mort est une ennemie. Aucun de nous ne peut lui échapper ni la repousser. La plupart d'entre nous l'ont vue emporter des personnes qu'ils aimaient. Mais Jéhovah est bien plus puissant que la mort. Il est le Sauveur plein d'amour qui a déjà prouvé qu'il est capable de vaincre cette ennemie. Or, il promet de la détruire une fois pour toutes. La Bible enseigne :1 Corinthiens 15:26 " Comme dernier ennemi, la mort sera réduite à rien. " Quelle nouvelle excellente !
QUAND ON PERD QUELQU'UN QU'ON AIME
La peine, la douleur et le sentiment d'impuissance que l'on ressent alors peuvent sembler insupportables. Dans de tels moments, nous avons besoin de chercher consolation dans la Parole de Dieu. (2 Corinthiens 1:3, 4 dit Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des tendres miséricordes et le Dieu de toute consolation, 4 qui nous console dans toute notre tribulation, pour que nous puissions consoler ceux qui sont dans toutes sortes de tribulations, grâce à la consolation dont nous sommes nous-mêmes consolés par Dieu.La Bible nous aide à comprendre ce que Jéhovah et Jésus ressentent à l'égard de la mort. Jésus, qui était le reflet parfait de son Père, a connu la douleur que cause la perte de quelqu'un . Quand il allait à Jérusalem, il rendait visite à Lazare et à ses soeurs, Marie et Marthe, qui habitaient non loin, dans la ville de Béthanie. Ils sont devenus des amis proches. La Bible déclare : " Jésus aimait Marthe et sa soeur et Lazare.
Lazare est mort.
Comment Jésus a-t-il réagi en voyant la famille et les amis de Lazare pleurer leur mort ? b) Pourquoi la peine que Jésus a ressentie nous encourage-t-elle ?
Qu'a ressenti Jésus à la mort de son ami ? Le récit raconte qu'il a rejoint la famille et les amis de Lazare qui le pleuraient. En les voyant, il fut profondément ému. Il " gémit dans l'esprit et se troubla ". Puis, dit le récit, en "Jean 11:33, 35. Jésus se laissa aller aux larmes ". Sa peine signifiait-elle qu'il n'avait aucune espérance ? Pas du tout. Jésus savait que quelque chose d'extraordinaire allait se produire (Jean 11:3, 4). Il n'empêche qu'il a éprouvé la peine que la mort suscite.
D'une certaine manière, la peine que Jésus a ressentie nous encourage. Elle nous apprend que Jésus et son Père, Jéhovah, haïssent la mort. Mais Jéhovah Dieu est en mesure de combattre et de vaincre cette ennemie ! Voyons quel pouvoir il a donné à Jésus." LAZARE, VIENS DEHORS ! "
Pourquoi le cas de Lazare devait-il sembler désespéré aux observateurs humains, mais qu'a fait Jésus ?
Lazare avait été enterré dans une grotte. Jésus a demandé qu'on enlève la pierre qui en fermait l'entrée. Marthe a protesté, car au bout de quatre jours le corps de Lazare devait avoir commencé à se décomposer (Jean 11:39). D'un point de vue humain, quel espoir restait-il ?
On a roulé la pierre de devant la grotte, et Jésus a crié d'une voix forte : " Lazare, viens dehors ! " Que s'est-il passé ? " L'homme qui avait été mort sortit. " (Jean 11:43, 44). Imaginez la joie des personnes présentes ! Elles savaient que Lazare, leur frère, leur parent, leur ami, leur voisin, était mort. Pourtant, il était là, cet homme qui leur était cher, debout au milieu d'elles. Cela a dû sembler trop beau pour être vrai. Beaucoup ont certainement versé des larmes de joie en serrant Lazare dans leurs bras. Quelle victoire sur la mort !
Jésus n'a pas prétendu accomplir ce miracle extraordinaire à lui seul. Dans la prière qu'il a prononcée juste avant d'appeler Lazare, il a indiqué clairement que c'était Jéhovah qui était à l'origine de cette résurrection (Jean 11:41, 42). Ce n'est pas la seule fois où Jéhovah a utilisé sa puissance de cette façon. La résurrection de Lazare n'est qu'une des neuf résurrections rapportées dans la Parole de Dieu. C'est un plaisir de lire et d'étudier ces récits. Ils nous enseignent que Dieu n'est pas partial, car les ressuscités étaient aussi bien jeunes qu'âgés, hommes que femmes, Israélites que non-Israélites. Quelle joie transparaît dans ces passages ! Par exemple, le jour où Jésus a relevé une jeune fille d'entre les morts, ses parents " furent hors d'eux-mêmes, saisis d'un grand émerveillement ". (Marc 5:42.) Jéhovah leur avait donné une joie qu'ils n'oublieraient jamais.
Évidemment, les personnes ressuscitées par Jésus ont fini par mourir de nouveau. Cela signifie-t-il qu'il était inutile de les ramener à la vie ? Pas du tout. Les récits de leur résurrection confirment des vérités importantes et nous donnent une espérance.
QUE POUVONS-NOUS APPRENDRE DES RÉCITS RELATIFS À LA RÉSURRECTION ?
Comment le récit relatif à la résurrection de Lazare confirme-t-il la vérité rapportée en Ecclésiaste 9:5
La Bible enseigne que les morts " ne savent rien ". Ils ne sont plus en vie et ne mènent nulle part une existence consciente. Le récit concernant Lazare le confirme. À son retour à la vie, a-t-il bouleversé les gens en décrivant le ciel ? Ou les a-t-il terrifiés avec des histoires horribles d'enfer brûlant ? Non. D'après la Bible, Lazare n'a rien raconté de tel. Pendant les quatre jours où il a été mort, il n'a ' rien su 'Il a simplement dormi dans la mort. - Jean 11:11.
. (Ecclésiaste 9:5.ditEn effet les vivants savent qu'ils mourront ; mais les morts, eux, ne savent rien, et ils n'ont plus de salaire, car leur souvenir est bel et bien oublié. 6 De plus, leur amour et leur haine et leur jalousie ont déjà péri, et ils n'ont plus - pour des temps indéfinis - de part à quoi que ce soit qui doit se faire sous le soleil.car il n'y a ni oeuvre, ni plan, ni connaissance, ni sagesse dans le shéol,c`est a dire la tombe le lieu où tu vas.) Il a simplement dormi dans la mort. - Jean 11:11.
Pourquoi pouvons-nous être sûrs que la résurrection de Lazare a eu lieu ?
Le récit concernant Lazare nous enseigne également que la résurrection est une réalité, et non un mythe. Jésus a relevé son ami devant une foule de témoins. Même les chefs religieux, qui haïssaient Jésus, n'ont pas nié son miracle. Ils ont dit au contraire : " Que devons-nous faire, parce que cet homme [Jésus] accomplit beaucoup de signes ? " (Jean 11:47). De nombreuses personnes sont venues voir le ressuscité. De ce fait, davantage encore ont eu foi en Jésus. Elles ont vu en Lazare la preuve vivante que Jésus était envoyé par Dieu. Cette preuve était si puissante que certains chefs religieux juifs au coeur dur ont voulu tuer et Jésus et Lazare. - Jean 11:53 ; 12:9-11.
Quelle raison avons-nous de croire que Jéhovah est en mesure de ressusciter les morts ?
Est-il irréaliste d'accepter la résurrection comme un fait ? Non, car Jésus a enseigné qu'un jour " tous ceux qui sont dans les tombes de souvenir " seront ressuscités (Jean 5:28). Jéhovah est le Créateur de toute vie. Devrait-il être difficile de croire qu'il est capable de recréer la vie ? Bien entendu, cela dépend beaucoup de sa mémoire. Peut-il se souvenir des êtres chers que nous avons perdus ? Des milliards et des milliards d'étoiles remplissent l'univers ; pourtant, Dieu donne à chacune un nom (Isaïe 40:26). Jéhovah Dieu est donc en mesure de se souvenir dans les moindres détails des personnes que nous aimions, et il est prêt à les ramener à la vie.
Selon l'expression utilisée par Job, que ressent Jéhovah à l'idée de ramener les morts à la vie ?
Mais que ressent Jéhovah à l'idée de ressusciter les morts ? La Bible enseigne qu'il est impatient de le faire. Le fidèle Job a demandé : " Si un homme robuste meurt, peut-il revivre ? " Il parlait d'attendre dans la tombe le moment où Dieu se souviendrait de lui. Il a dit à Jéhovah : " Tu appelleras, et moi je te répondrai. Tu languiras après l'oeuvre de tes mains. " - Job 14:13-15.
Rendez-vous compte ! Jéhovah languit de ramener les morts à la vie. N'est-il pas réconfortant d'apprendre que c'est là son sentiment ? Mais que savons-nous de cette résurrection future ? Qui sera ressuscité, et où ?
Aimeriez-vous en savoir plus ? je suis a votre disposition.
2006-08-19 15:34:47
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answer #3
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answered by espoir h 3
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je crois en la reincarnation et au karma
ne l'abimes pas[ton karma] et tout ira bien
2006-08-19 13:30:22
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answer #4
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answered by aurelien c 1
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Je pense que l'âme de chacun est immortelle, et que cette âme suit un trajet particulier après la mort. Il y a de multiples témoignages du tunnel lumineux et des morts qu'on revoit par des gens en état de coma. Tout ceci est assez réconfortant dans cette optique.
J'aime à croire (croire n'est pas savoir) que les morts sont "autre part" et qu'on les rejoindra plus tard. Donc ta mère te "voit". Ta mère te "soutient". En résumé elle t'aime. Mais il faut respecter cette frontière de la mort et ne surtout pas essayer de la franchir par des moyens de voyance quels qu'ils soient. Tu vas tomber principalement sur des escrocs qui vont profiter de ta détresse. On peut rentrer en contact avec des morts mais je pense que c'est contre l'ordre naturel des choses et qu'il faut l'éviter.
2006-08-18 16:56:19
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answer #5
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answered by Anonymous
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Bisou sincère.
2006-08-18 15:46:49
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answer #6
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answered by scrunch 7
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Je comprends ta douleur car j'ai perdu ma mère accidentellement, et pourtant j'avais 50 ans. J'ai toujours l'impression qu'elle est près de moi, qu'elle me soutient, je me surprends à lui parler. Je crois que chaque fois qu'on pense à quelqu'un qu'on aimait et qui est décédé, il vit encore un tout petit peu dans notre monde. Ma fille ainée avait 9 ans au décès de son arrière-grand-père, d'une hémorragie cérébrale, le jour de son anniversaire. Elle ne le savait pas et elle m'a dit qu'elle l'a vu la nuit de sa mort à son chevet et qu'il semblait lui dire quelque chose...Elle était adulte quand elle me l'a dit, au décès de ma mère... Alors, peut-être que tous nos chers défunts veillent un peu sur nous, de là où il sont... même s'ils ne peuvent pas communiquer avec notre monde. Cette pensée permet de tenir le coup et d'espérer, car je ne crois pas trop au soi-disant paradis que promettent toutes les religions. Bon courage, mais ne vous faites pas avoir par des voyants en tout genre qui ne cherchent que des gogos à plumer.
2006-08-16 05:33:43
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answer #7
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answered by celtique 7
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les versions varies selon les croyances: les fantômes errants, la réincarnation, la porte vers l'haut de la... en soufisme par exemple ils disent que toutes les âmes des gens sont localisées dans une grande tour qui transcende les 7 cieux et que chaque âme qui a l'apparence d'une lumière vient au monde par le vaisseau qui est la maman.
après la mort les âmes reposées repartent vers la tours qu'ils appellent le BARZAKH mais certaines âmes qui n'ont pas trouver le repos ou qui ont des chères qu'elle aiment encore sur terre reste à roder entre les deux mondes jusqu'à ce qu'elle trouve le repos et fasse le grand passage vers le monde de la lumière où elles restent jusqu'au jugement dernier.
2006-08-15 22:45:24
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answer #8
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answered by sarah_zaimi 3
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J’aime bien ces conversations avec mon oncle Henri. Il a consacré sa vie à l’arithmétique. Polytechnicien, ancien officier d’artillerie, il jouit d’une longue retraite. Malgré ses 96 ans il en jouit véritablement, je ne pense pas qu’il ait égaré beaucoup de neurones au cours du siècle. Comme je le félicitais de cette heureuse disposition de son existence, il m’a fait cette étrange remarque "mais, le sais-tu, personne ne meurt jeune !"
J’ai dû, un bref instant, avoir l’air un peu ahuri si j’en juge à son sourire.
Tu ne me crois pas ? C’est pourtant évident. D’après l’interprétation de Hugh Everett, l’Univers est une collection de nombreux googols d’univers.
Des quoi ?
Des googols ?
C’est dix puissance cent, ou un avec cent zéros derrière, et c’est beaucoup, c’est cent milliards de milliards de fois plus qu’il n’y a de particules dans tout l’univers. Le mot a été inventé par le neveu, âgé de neuf ans, du mathématicien Edward Kasner. Ceci dit, que crois-tu qu’il arrive, quand on meurt ?
Enfant, j’avais appris à croire que j’irais au ciel voir le petit Jésus.
Cela revient à peu près à cela, mais un adulte peut avoir une interprétation plus technique de cet incontestable phénomène de survie. Voilà comment ça se passe. Supposons que tu meurs, ici, square Delambre, parce que, au moment même où tu sors de la maison, une cheminée te tombe sur la tête et te fracasse le crâne. Tu devrais perdre conscience immédiatement, mais en fait ce n’est pas ce qui se produit, car, immédiatement aussi, ta conscience se poursuit dans un de tes googols d’autres exemplaires dans les googols de mondes parallèles. C’est en ce sens qu’on ne meurt jamais. C’est en ce sens que la résurrection des corps maintient la vie éternelle.
Pratiquement, il se passe quoi, exactement ? Ta conscience se prolonge dans un exemplaire qui survit, une exemplaire "presque" semblable de toi, de sorte que, tu sors toujours de la porte de la maison et la cheminée tombe juste à côté de toi. Par " miracle " tu as échappé à une mort certaine. Il en est toujours ainsi, et, moi, par exemple, je suis certainement mort un grand nombre de fois. Pour toutes sortes de raisons, et que je le sache ou non, j’ai à chaque fois "échappé par miracle" à la catastrophe. Mais... ce sera toujours le cas, et il en est de même pour tout le monde. Ce sont "les autres" qui meurent car, dans ce cas, "ma" conscience poursuit son chemin dans ce même monde où les autres, petit à petit, disparaissent. Je le sais, j’ai perdu tous mes contemporains.
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Il sourit. Est-ce qu’il plaisante ? Je n’en suis pas sûr, je devrais réfléchir à son étonnante remarque. Ce sont les autres qui meurent, dit-il. Comprendre les "troisième personne", car dans ce cas ma conscience, comprendre "la première personne", poursuit son chemin. Nuance.
Il ne faut pas non plus se faire une idée fausse de cette expression de "reprendre conscience." Dans tous les "mondes parallèles" où l’on existe, il existe une "première personne" qui bénéficie de cette "attention à l’être" qu’est la conscience. Il faut aussi abandonner l’idée, a priori séduisante, de ce passage du "moi" d’un monde dans l’autre. Ce serait se faire une idée du temps qui n’a plus cours. Il en va donc de même de l’idée que le "moi" passe progressivement par des temps successifs, idée sous-jacente à la notion d’écoulement du temps. Cette idée est fausse, elle aussi. Des mondes parallèles ? Ces autres mondes, qui pourraient exister, et existent, sont des mondes parallèles, mais les instants passés, les instants futurs sont aussi des mondes parallèles, exactement au même titre. Ils ne sont pas classés l’un derrière l’autre dans un ordre temporel. Ces instantanés photo sont reliés entre eux par ce qu’on appelle "les lois de la physique", et c’est tout. En ce sens, l’idée que l’on puisse avoir un "futur" est fausse. La vie consciente, c’est le présent, c’est maintenant, il n’y a rien d’autre. Il existe évidemment un "moi" que l’on peut appeler futur, à condition de le désigner à la troisième personne. Ce "moi" futur n’en reste pas moins une première personne installée dans le présent. Il n’y a pas de futur, mais une immense collection d’instants présents.
Enfin, se poser la question : pourquoi je suis ce "moi"-ci et non un autre "moi", qu’il s’agisse du "moi" d’il y a vingt ans ou d’un "moi" qui a gagné à la loterie, n’a pas plus de sens que celle qui consisterait à se demander pourquoi je suis "moi" et non pas "ma sÅur", par exemple.
Ces notions, qui émergent petit à petit de la recherche actuelle, sont à méditer, à ruminer, à préciser. Mais elles sont là pour rester.
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La théorie de "l’immortalité quantique" pourrait remonter à 1957, avec la "relativité des états" de Hugh Everett, qui fut, comme Richard Feynman, un étudiant de John Wheeler. Elle a été sérieusement évoquée en 1986 par Euan Squires pour être formulée définitivement en 1998. Elle stipule que "la première personne" ne meurt jamais, mais, comme chacun le sait, que "la troisième personne", elle, disparaît toujours. Sur quoi repose l’idée ? Selon Hugh Everett (et David Deutsh, et maintenant bien d’autres) tous les éléments constitutifs de l’univers se présentent sous plusieurs "états" superposés, comme si un immense jeu de Lego était à la fois arrangé selon toutes les constructions possibles. Bien sûr cela fait "un" Univers (avec un grand U, l’ensemble des pièces constitutives de ce jeu de Lego) mais cet univers est multiple, c’est un un Multivers. Toutes les constructions possibles de "tous" les univers, avec un petit "u" cette fois, existent. Schrödinger, l’homme au chat, a proposé sa formule selon laquelle l’évolution des phénomènes physiques est déterministe, mais sous forme de multiples superpositions. Toutefois, lors d’une observation, cette superposition cesse, et seul un état est constaté, comme tiré au sort. Rien n’explique pourquoi ni comment intervient ce jeu de dés. On a dit, de façon caricaturale, que l’équation d’onde de Schrödinger décrit l’évolution des phénomènes "sauf quand elle ne le fait pas." On peut penser que c’est étrange. La proposition d’Everett est celle-ci : la fonction d’onde de Schrödinger s’applique toujours, il n’y a pas de tirage au sort. L’observateur voit une des solutions, toutes existent par ailleurs.
Max Tegmark a proposé en 1997 une expérience pour vérifier l’interprétation "Multivers" de la quantique. C’est le "suicide quantique." On dispose d’une machine, supposée grosse et lourde, toute "manip" de physicien est grosse et lourde, il n’y a que les bidules grand public qui sont suffisamment miniaturisés pour être présentables... Cette machine intéresse une particule qui peut se présenter "spin up" ou "spin down" et, comme on sait, dans ces deux états superposés. Le dispositif mesure le spin. Si c’est "up" la machine émet un "clac !" sonore et rien de plus. Si c’est "down" (pollice verso) un pistolet tire une balle de 11,43 dans la tête de l’expérimentateur qui fait face à la machine. Son crâne explose, il est mort. Du moins, c’est ce que peuvent constater les témoins, pour lesquels l’expérimentateur constitue une "troisième personne."
Que se passe-t-il pour l’expérimentateur lui-même, qui est conscient, lui, d’être une "première personne" ? On sait que la particule mesurée se présente en "superposition d’états" : up et down. Lors de la mesure, explique Tegmark, les deux séquences se produisent réellement, le clac ! et le coup de feu. L’expérimentateur tué n’est évidemment pas conscient de l’être, il est mort et n’existe pas. Seul reste conscient celui qui entend le "clac !" de l’appareil : il est heureux, car ce bruit signifie qu’il a survécu, ce qui est normal au risque de cinquante pour cent.
Il poursuit l’expérience. Second "clac !" entendu, il sait maintenant qu’il n’avait que 25 chances pour cent de survivre et que l’interprétation quantique des "mondes multiples" reçoit un début de confirmation. Il s’obstine... après le dixième "clac !" consécutif sans accident, ce qui est bien peu vraisemblable, il sait qu’Everett ne peut se tromper qu’au risque de 0,1 pour cent... l’interprétation "Multivers" est donc sûre, il en a la conviction définitive, et sait qu’il est immortel. Mais il est seul à le savoir et ne peut communiquer sa conviction à personne. En effet, dans mille mondes possibles, il y en a maintenant neuf cent quatre-vingt-dix-neuf dans lesquels les témoins consternés ont vu l’expérimentateur périr dans un bain de sang. Combien seront convaincus ? Un sur mille, c’est évident, et ce n’est pas ainsi qu’on emporte des convictions. On ose à peine le dire mais... qui voudra tenter soi-même l’expérience ? Max Tegmark en convient, lui-même sait qu’il s’en tirerait bien, mais sa femme serait veuve, au moins dans 999 mondes sur 1000, ce n’est pas un coup à lui faire.
*** *
Ceci dit, cette interprétation, celle du Multivers, est maintenant celle d’une majorité de physiciens et de presque tous les plus jeunes. Mais qu’implique-t-elle ? Passer, dès sa mort, d’un monde à un autre n’implique pas un progrès obligatoire. On peut se retrouver dans un monde où l’on a perdu ses amis, on peut se retrouver malade et souffrant, malheureux. Il y a déjà des sectes, l’une d’elles propose la solution du véritable suicide. Tuons-nous, cela fait un monde malheureux de moins. Si l’on est toujours malheureux dans un autre, on se suicide encore, et ainsi de suite. Bien entendu la valeur de cette doctrine est nulle, il y a des milliards de mondes, probablement des googols de mondes, le fait d’en supprimer un ne change pratiquement rien. En supprimer dix ou cent, de plus, par cent suicides, ne change rien non plus.
2006-08-15 18:49:14
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answer #9
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answered by 31416r 5
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Moi j'ai 19 ans et je ne sais pas ce que je ferai si ma maman s'en allait...qui c'est ? Peut-être qu'il y autre chose après la mort...elle restera de toute façon à jamais dans ton coeur...je te souhaite du courage et beaucoup de bonheur pour ta vie d'adulte qui commence...
2006-08-15 16:35:59
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answer #10
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answered by petit lu 2
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