Ah! le jeu anglais: «dogging», ou se faire voir par des voyeurs pendant qu'on fasse l'amour: http://snipurl.com/uxal (trad. Google)
2006-08-14 05:30:31
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answer #1
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answered by Anonymous
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Cela me fait penser à une blague:
Un homme demande à sa femme
-"et si on faisait l'amour en levrette ?"
La femme lui demande ce que c'est .Un peu géné il répond
-"C'est comme les chiens dans la rue"
et la femme dit
-"D'accord mais pas dans le quartier car j'ai peur que les voisins me reconnaissent !"
2006-08-14 12:31:50
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answer #2
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answered by fouchtra48 7
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pas tres chaud bien la rue je prefere la nature ou une plage deserte ...
2006-08-14 12:29:06
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answer #3
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answered by Anonymous
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J'en pense que je devrais sortir plus souvent :)
2006-08-14 12:28:30
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answer #4
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answered by eklektik 2
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vite son telephonne stp
2006-08-14 13:33:43
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answer #5
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answered by trouve-tout 5
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Ca doit lui procurer des sensations plus fortes, un peu comme faire quelque chose d'interdit quand t'es gosse et que tu flippes un peu d'être repéré.
A part ça je ne vois pas le mal si ce n'est pas devant des enfants et si en plus elle "adore" ça et que toi ça ne te dérange pas, lâchez-vous!
Voici le tout début d'un article immense sur l'aspect bénéfique de l'acte d'amour ou sexuel ou les 2:
L'Express du 16/08/2004
Pourquoi l'amour est bon pour la santé
par Gilbert Charles, Jean-Sébastien Stehli
Sentiments tendres et harmonie sexuelle ne suffisent donc pas. Les scientifiques l'affirment: l'amour est aussi une mécanique biologique. De nouvelles découvertes démontrent que chaque passage à l'acte déclenche une multitude de chamboulements, aussi bénéfiques qu'insoupçonnés pour l'ensemble du corps. En somme, une pratique vieille comme le monde qui, entre autres plaisirs, permet de vivre vieux…
l a fallu des millénaires pour admettre ce qui, aujourd'hui, nous paraît évident - et qui est désormais prouvé par la science: l'amour est bon pour nous. Longtemps, très longtemps, on a en effet séparé le plaisir de la procréation, la santé de la sexualité, bref, le corps de l'âme, comme si l'un menaçait l'autre. Or des quantités d'études médicales, épidémiologiques, biologiques ou psychologiques réalisées ces dix dernières années aux quatre coins du monde tendent à prouver que le sexe - et l'amour au sens large - est aussi important pour notre équilibre physiologique et mental que l'eau fraîche, une nourriture saine ou l'exercice physique. Les scientifiques confirment ainsi les théories libertaires des hippies des années 1960, des adeptes du New Age et des disciples du Kama-sutra: les relations intimes avec nos semblables dissipent les tensions, calment les angoisses, renforcent nos défenses immunitaires et allongent de façon spectaculaire notre espérance de vie. Pour vivre vieux, c'est désormais prouvé, il ne faut pas vivre solitaire.
La molécule qui procure une sensation de plaisir pendant l'orgasme est celle qui favorise le lien unissant la mère et l'enfant au moment de la tétée
La copulation bestiale n'est pas seule responsable de ces bienfaits. L'empathie joue aussi son rôle, de même que la bienveillance et l'attention réciproques, le sentiment de sécurité procuré par la proximité de celui ou de celle avec qui on partage sa vie. En étudiant les rouages biologiques de la sexualité, les chercheurs ont découvert des mécanismes de l'attachement qui font de l'homme un animal social incapable de vivre sans les autres. La molécule qui procure une sensation de plaisir pendant l'orgasme - l'ocytocine - est aussi celle qui favorise le lien unissant la mère et l'enfant au moment de la tétée et la fidélité dans le couple: des rats polygames auxquels on injecte de l'ocytocine dans le cerveau deviennent monogames…
La croyance qu'amour et santé sont antinomiques remonte à très loin. Cela commence dans la Grèce antique. «Quand on lit Aristophane, raconte l'historienne Hélène Ahrweiler, on a l'impression que tout le monde faisait l'amour dans la rue. Eros est déifié et l'amour est pratiqué de façon nette, claire, devant tout le monde. Il n'y a pas encore de traumatisme chrétien.» Mais cette célébration de Dionysos ne dure pas très longtemps. Platon (427-347 av. J.-C.) y met fin. Le philosophe sépare l'essence et la matière, puis l'esprit et le corps. Il inaugure un courant de pensée qui durera plus de deux mille ans, pour lequel les lois des pulsions physiques sont contraires à l'élévation spirituelle. L'usage excessif du corps est néfaste. Ainsi naît le concept d'amour platonique.
Le platonisme nourrira à son tour le christianisme. Les Evangiles ne condamnent pas la chair, mais les Pères de l'Eglise vont prêcher non seulement que la sexualité est contraire au salut de l'âme, mais aussi que l'amour est mauvais pour la santé. Pendant près de vingt siècles, donc, l'amour se fera au péril de la vie spirituelle. Saint Jean Chrysostome et surtout saint Antoine martèlent que l'amour conduit à notre perte. Les ordres monastiques créés par saint Antoine, en Egypte, au ive siècle, submergent l'Occident et en transforment la culture. Mais la ferveur des premiers moines est telle que ceux-ci sont alors frappés d'un mal étrange: l'acédie (akedia, en grec). Ayant totalement renoncé à ce qu'on appelait alors les sens, c'est-à -dire à tout ce qui peut conduire à l'amour, ils sont plongés dans une léthargie si profonde que l'Eglise doit intervenir. Néanmoins, toute une lignée de penseurs chrétiens, jusqu'aux sermons enflammés de l'abbé Bossuet, continueront de prêcher contre les péchés de la chair. Bossuet affirme que «les spasmes», outre qu'ils abaissent moralement l'homme, lui portent atteinte physiologiquement. Et, contrairement aux autres domaines - la littérature, les sciences, la pensée politique, par exemple - le siècle des Lumières n'aura aucun impact sur cette manière de considérer l'amour. Sans doute parce que, jusqu'au milieu du xxe siècle, faire l'amour c'est, souvent, risquer sa vie. Littéralement. Pendant des siècles, la syphilis fut synonyme de mort lente, de folie et de douleurs atroces. La maladie faisait tellement peur que l'écrivain Julien Green raconte dans son Journal que sa sÅur Eléonore mettait des gants pour lire le roman de Charles-Louis Philippe Bubu de Montparnasse, qui évoquait la maladie. Elle avait peur d'être contaminée par sa seule lecture.
... et c'est seulement la première page (il y en a 6), que de bienfaits!
2006-08-14 12:59:44
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answer #6
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answered by Axelle 2
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je pense que c'est une fille bordelle.
2006-08-14 12:57:00
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answer #7
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answered by Anonymous
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Pas la rue en particulier mais les endroits insolites j'adore, ca booste le desir, et je suis pas une perverse, dernier endroit insolite une aire de jeux je vous rassure la nuit quand on etait que tt les 2. Au passage j'ai deja ma moitie.
2006-08-14 12:35:56
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answer #8
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answered by misslali 2
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Cette fille m'intéresse, vu le prix des hôtels à Paris-Centre
2006-08-14 12:34:18
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answer #9
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answered by Anonymous
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la rue est-elle faite pour ça???ç'est un fantasme,,,??? elle aime être "prise" en public??? le partenaire aussi a le même gout?je ne peux trouver de reponse à cette question, elle provoque en moi trop de questions!sorry!!
2006-08-14 12:32:53
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answer #10
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answered by tikouly 3
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Je la detéste car elle est sorcière et n'a pas de valeur en soi, elle ne vaut même pas un péni de monnaie
2006-08-14 12:32:25
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answer #11
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answered by walikale 3
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