Bonjour,de toutes les races qui sont sur TERRE ,si j'avais a choisi une ,je ne ferais même pas semblant de voir ces propos outrageant d'être autre que moi même et en même temps je me sens plus fier d'être fâché ,par ce que je suis au moins je suis quelque chose de présent.
merçi
2006-08-11 21:25:18
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answer #2
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answered by jojodesamba 2
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Ta question n'a pas de sens, le terme de race ne s'appliquent ni aux humains ni aux plantes.
Mais aux animaux fabriqués par l'homme.
Boeufs, chiens , chats, cheveaux ect, ect.
2006-08-11 21:20:09
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answer #5
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answered by Anonymous
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mais souvent ,plus je regarde les hommes, disait un philosophe
plus j'aime mon chien...
et vous ???
Moi je préfère le livre de Cavanna:
" plus je regarde les hommes..plus j'aime les femmes "
* La dédicace de l'auteur
Je n'ai rien contre les femmes n'allez pas croire ! mais si les femmes n'existaient pas, quel désert ! leur seule présence, leur seule existence, consolent de bien des choses... Non, non ce n'est pas une espèce de profession de foi machiste que je fais là. Je ne me sens nullement une âme de propriétaire ou de chasseur. Je les veux nos égales, d'ailleurs elles le sont sans avoir besoin de ma permission et même nous sont elles souvent supérieures dans toutes les activités que nous nous étions réservées. Nous les avons trop longtemps tenues pour inférieures, maintenues dans des tâches subalternes, voire humiliantes. Si elles ont conquis l'égalité sociale, politique, professionnelle, c'est malgré nous, contre nous, les mâles...
Bref ce recueil est un bouquet d'admiration, disons le un cri d'amour !
François Cavanna
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Ce rappel,issu d'une chronique de journaliste,recadre bien le débat....:
qu’est-ce qu’une race ? Ensuite, y a-t-il des races dans l’espèce humaine ?
Justement, le mot « espèce », pas dans les expressions courantes comme « espèce de crétin » mais dans son sens zoologique, est selon le petit Robert, un groupe naturel d’individus descendant les uns des autres dont les caractères génétiques, morphologiques et physiologiques, voisines ou semblables, leur permettent de se croiser.
Le mot « race » , toujours selon le petit Robert, désigne : une subdivision d’une espèce zoologique, elle même divisée en sous-races ou en variétés, constituée par des individus réunissant des caractères communs héréditaires.
Appliqué à l’espèce humaine, le mot « race » devrait donc avoir la même définition qu’en zoologie. Mais sur ce sujet, le petit Robert précise :
En dépit des recherches sur l’indice céphalique (c’est à dire les mensurations du crâne), les groupes sanguins et la génétique, rien ne permet de définir la notion de race dans l’espèce humaine, sinon des caractères visibles globaux, relatifs et partiels.
Cette affirmation peut sembler gratuite mais elle a été précisée le 27 Septembre 1996. Pour répondre à une affirmation de Jean-Marie Le Pen selon lequel (je cite le communiqué de l’époque) les diverses races humaines [seraient] inégales et certaines [seraient] meilleures que d’autres,
Albert Jacquard rédigea une déclaration cosignée par six cents scientifiques, où l’on pouvait lire :
Le concept de race ne peut être défini qu’au sein d’espèces dont divers groupes ont été isolés les uns des autres suffisamment longtemps pour que leurs patrimoines génétiques se différencient.
Il se trouve que, dans l’espèce hu-maine, cette différenciation est si peu marquée que le concept de races humaines est non opérationnel.
Je répète : des groupes isolés les uns des autres suffisamment longtemps pour que leurs patrimoines génétiques se différencient.
Autrement dit : les populations humaines qui, je vous le rappelle, ont toutes des ancêtres communs, sont génétiquement si semblables qu’il est impossible d’y distinguer des races.
De manière assez significative, ceux qui affirment l’existence de races dans l’espèce humaine ne le font pas à des fins de classification, comme c’est le cas en zoologie, mais pour démontrer qu’il y a des races inférieures - étant bien entendu, évidemment, qu’eux-mêmes constituent la race supérieure.
Supérieure de quel point de vue ?
Du point de vue de l’intelligence ou de la culture, pardi ! Ce genre de préjugé n’est pas très nouveau.
Dans l’Antiquité, les Grecs, qui se considéraient comme le summum de l’humanité, qualifiaient tous les autres peuples de barbares.
Les Romains étaient à peine plus évolués. Pour eux, tous les peuples étaient barbares, sauf eux-mêmes et les Grecs.
Aujourd’hui, nous savons qu’il n’existe pas de gène de l’intelligence ou de la culture.
Et c’est rassurant, car cela signifie qu’il n’existe pas non plus de gène du racisme.
2006-08-12 00:04:25
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answer #9
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answered by Anonymous
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