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2006-08-09 08:52:57 · 10 réponses · demandé par PEDRO 1 dans Politique et gouvernement Politique et gouvernement - Divers

10 réponses

Le pouvoir est la faculté et la possibilité


dont un ou plusieurs individus ou groupes d’individus


disposent pour appliquer, faire accepter, faire exécuter ou imposer - fût-ce par la force -


des décisions d’ordre physique, moral, intellectuel ou psychologique,


à un ou plusieurs individus ou groupes d’individus


- dans des domaines variés tels que la culture, l’économie (finances, industrie, sociotechnique) ou la politique,


soit dans un secteur spécifique, soit dans un ensemble de secteurs, soit dans tous les secteurs -


subissant leur autorité physique, morale, intellectuelle, économique, politique ou psychologique.


http://fr.wikipedia.org/wiki/Pouvoir

2006-08-09 08:59:28 · answer #1 · answered by LOL 5 · 0 0

Puissance, maintenant pouvoir. Quel est ton soucis ?

2006-08-09 09:14:47 · answer #2 · answered by perrin 3 · 0 0

Le pouvoir est la capacité à obtenir des choses et surtout des individus qu'ils se comportent comme on le souhaite.

2006-08-09 09:13:51 · answer #3 · answered by Anonymous · 0 0

Le pouvoir est la capacité à obtenir des choses et surtout des individus qu'ils se comportent comme on le souhaite. aussi pouvoir est synonyme de vouloir !!

2006-08-09 09:04:42 · answer #4 · answered by Amina 4 · 0 0

decider pour les autres

2006-08-09 09:02:07 · answer #5 · answered by clob 5 · 0 0

Le pouvoir est la capacité à obtenir des choses et surtout des individus qu'ils se comportent comme on le souhaite.

Le terme démocratie signifie étymologiquement « pouvoir du peuple ». La question de savoir qui détient le pouvoir (individu, classe sociale, groupe d'individus constitué de différentes manières, ensemble de la population), comment il l'a obtenu et comment il peut le perdre, détermine le niveau démocratique d'un régime politique - pouvant aller de la dictature à la démocratie directe.

Dans un système simple, le pouvoir ne peut être que rapport de forces (force morale ou force physique). Mais les sociétés humaines sont complexes, et il existe tout un réseau d'obligations réciproques qui lient les gens, et les obligent à (ou les empêchent de) se comporter d'une certaine façon quand ils sont placés dans certaines conditions, au risque, sinon, de tout perdre.

Il y a donc de nombreuses situations de pouvoir, et de multiples façons de classer l'exercice du pouvoir

par son mode d'action (moral, physique, etc.)
par sa cible (la personne, ses biens, ses relations, ses déplacements, ses communications, etc.)
par son canal (presse, parole directe, audio-visuel, etc.)
par son mode (conviction, contrainte, négociation, etc.)
par sa portée (proposition, ratification, veto, etc.)
etc.
Traditionnellement, les sociétés humaines opérent un découpage ternaire (correspondant à trois divinités primordiales formant trois faces d'une même totalité) :

le pouvoir législatif et judiciaire, celui du conseil des sages qui rappelle le passé, la norme, mais n'agit pas, ordre traditionnel
le pouvoir exécutif, celui du présent immédiat, celui du chef qui ordonne seul et agit lui-même si nécessaire,
le pouvoir narratif, celui du barde qui construit le futur, ce qui deviendra, ultérieurement, le passé, en observant l'enchaînement des événements, depuis leur origine jusqu'aux conséquences de l'(in)action de l'exécutif, en passant par la conformité (ou non) de cette action avec les procédures et propositions.
Plus récemment, cette conception fortement marquée par un sens religieux de la communauté a perdu de sa pertinence. En effet, cette conception renvoie implicitement à une métaphysique de la communauté comme autonome et préexistante, alors que la dissolution du religieux fait apparaître le lien circulaire entre pouvoir et force, droit, et entité politique.

Ainsi ont pu apparaître des analyses plus pragmatiques. - L'analyse structurelle s'est attachée à analyser la position des uns et des autres en terme de sensibilité au pouvoir (faible à forte, sur un axe de gauche à droite) et d'influence (faible à forte, sur un axe de bas en haut), ce qui conduit à voir

dans chaque domaine (la presse, l'argent, la loi, etc.)
une matrice statique à quatre positions typiques (décrite dans le sens des aiguilles d'une montre)
faible sensibilité + faible influence
faible sensibilité + forte influence
forte sensibilité + forte influence
forte sensibilité + faible influence
un réseau dynamique entre ces quatre positions, composé de six relations, correspondant à douze actions possibles (une action de chacune des quatre positions vers les trois autres)
Tout cela décrit un espace complexe, dans lequel chacun peut jouer certains « coups » selon sa position, qui modifie l'espace relationnel pour les autres acteurs.

L'intuition de Montesquieu est que l'évolution naturelle des systèmes politiques est de concentrer les pouvoirs et de simplifier les rapports, qui peuvent alors dégénérer en rapports de force. Et qu'il faut donc tout mettre en œuvre pour favoriser la séparation des pouvoirs.

On distingue différentes formes de pouvoir :

au sein du pouvoir politique :
Le pouvoir exécutif ou gouvernemental
Le pouvoir judiciaire
Le pouvoir législatif
L'expression quatrième pouvoir, née aux États-Unis, désigne la presse.

2006-08-09 09:01:50 · answer #6 · answered by Hades et Persephone 7 · 0 0

Pouvoir la puissance être le premier diriger n'avoir aucune obliqgation posséder...Un peu un Dieu sur Terre..

2006-08-09 08:58:11 · answer #7 · answered by Anonymous · 0 0

ça veut qu'on peut voir un pou

2006-08-09 08:57:45 · answer #8 · answered by coyote 4 · 0 0

le pouvoir est la CAPACITE a obtenir des...CHOSES

2006-08-09 08:57:31 · answer #9 · answered by Anonymous · 0 0

Vouloir, car "vouloir, c'est pouvoir".

2006-08-09 08:56:52 · answer #10 · answered by Anonymous · 0 0

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