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Qui a intérêt : les usa pour tester d'autres armes et détruire le hizbollah parti islamiste radical à la solde de l'iran via la syrie et détourner l'attention de ce qui se passe en Afghanisan et en Irak ?
l'Iran qui veut encore plus de temps pour paufiner son programme nucléaire et adresser un message aux usa sur la capacité de ses fusées à demi perfectionnées et tester le résultat de ses recherches et modifications sur la katioucha et pourquoi pas d'autres armes en attente d'utilisation.
Israél pour anéantir ou moins atténuer la capacité de nuire de hizbollah et connaitre ses capacités d'endurance dans le combat et son armement.
Hizbollah pour avoir un écho mondial et tester ses capacités de combat malgrés son âge et de se présenter comme chef de file arabo-musulmans titre qui lui permettrait de négocier des acquis politiques sur la scène intérieure et/ou extérieure.

2006-08-08 09:07:56 · 7 réponses · demandé par louafi 3 dans Actualités et événements Actualité et événements - Divers

7 réponses

je pense que les usa cherchaient une occasion de matérialiser le Grand moyen orient ou le moyens orient tout nouveau et qui ont donné l'idée à israél de se débarrasser de hizbollah avec assurance d'une couverture politique et militaire (logistique : bombes intelligentes, avions dernier cri F21je crois etc...), et par la même faire subversion sur ce qui se passe en irak et mettre en alerte la syrie soupçonnée d'aider les irakiens. preuve seule les usa qui refusent un cc le feu immédiat car leur projet tarde à prendre forme et israél a sous estimé hizbollah qui prend sa revanche sur les arabo musulmans qui ont critiqué son geste (enlèvement de 2 militaires de tsahal)

2006-08-08 09:37:57 · answer #1 · answered by Anonymous · 0 0

C'est les USA c'est clair, d'ailleurs ils ne veulent même pas arrêter les massacres en optant une résolution donnée concernant ce conflit. Le peuple américain en avait marre de la guerre en Irak et des massacres de leurs soldats avec cette guerre l'opinion publique est détournée vers ce qui se passent au Liban. N'oublions pas que l'Iran en profite et pense que l'Hizbollah fait son combat.

2006-08-10 04:50:27 · answer #2 · answered by investigationgirl 3 · 0 0

Purement et simplement les Israéliens se sont piégés eux mêmes dans cette guerre. L'Israel avec l'aide de l'opinion international, avait besoin de consolider ses frontières avec ses voisins, et cela nécessite une forme de paix et de concertation dans la région.

Sans entres dans des explications politico militaires que je ne maîtrise pas, la Syrie, L'Iran, et le Hizbollah n'ont rien a gagner ou a perdre dans cette guerre.
Ils ont des casiers judiciaires déjà remplis, je m'excuse de la comparaison.

C'est les civils et le peuple libanais qui souffre et qui a tout a perdre.

L'issue de cette guerre ne changera en rien la position internationale par rapport au Nucléaire Iranien ou vis a vis de la Syrie pour ses implications dans l'imbroglio Libanais.
Atténuer ou anéantir la force ou la capacité de combat du Hizbollah signifierait l'émergence d'autre force qui se qualifierons de mouvement de libération.
Le monde arabe est plein de rebondissement, et de changement souvent surprenant.
C'est pourquoi la seul et unique solution est le dialogue pour garantir les frontières, et avoir une paix durable.

2006-08-09 14:38:36 · answer #3 · answered by Abe 5 · 0 0

Pas un jour, pas une heure qui passe sans que les télévisions ne nous assènent les images horribles des destructions que Tsahal est en train d’infliger au Liban. Le tout agrémenté de l’interminable litanie des morts. Oui, cette guerre qui ne dit pas encore son nom, tue beaucoup. Oui, parmi les morts qui se comptent par centaines du côté libanais, on relève des femmes et des enfants. Et tous sont des « civils ».



Mais d’abord, une question se pose qui n’est pas que de pure forme. Le Hezbollah est une milice, une armée insurrectionnelle qui mène une guerre insurrectionnelle. Or, dans ce type de conflit, le « civil » n’est parfois qu’un milicien qui vient de déposer sa Kalachnikov ou qui la prendra dans quelques heures. Ceci doit être dit et rappelé. Comme il doit être dit et rappelé que le Hezbollah est une organisation cynique qui se nourrit de la haine et de l’esprit de revanche que chaque nouvelle mort sème. Et c’est pourquoi cette «armée » de lâches se fond dans la population civile, entraîne des adolescents à devenir des miliciens –quand elle ne les forme pas à se transformer en kamikazes - et camoufle ses dépôts d’armes dans des maisons familiales (1) .



Comme il doit être rappelé, enfin, que l’armée israélienne prévient les populations civiles avant de frapper. Ce qui, bien entendu, n’enlève rien à l’horreur des morts de femmes et d’enfants innocents. Seulement voilà, tous ceux qui, aujourd’hui, dans les milieux politiques et les médias, dénoncent la « disproportion » de la riposte israélienne sont bien contents, en définitive, qu’Israël fasse le sale boulot, le « travail qui tâche » comme disent les Russes. Qui en Europe, comme dans le monde arabe, ne souhaitait pas en finir avec le Hezbollah, cette organisation totalitaire et terroriste qui, hier, prenait en otage la démocratie et aujourd’hui prend en otage la population libanaise dans son ensemble ? Qui ne souhaite pas détruire ce bras armé de la République des mollahs. Oui, l’offensive israélienne dérange parce qu’elle tue des civils. Mais oui, elle arrange, en fait, beaucoup de monde - et de nombreuses capitales - parce que l’occasion est donnée, enfin, d’en finir avec le Hezbollah (au moins sur le plan militaire) et de faire comprendre à Téhéran qu’il existe des lignes rouges indépassables.



Qu’on ne s’y trompe pas : une reculade ou une faiblesse de l’Etat hébreu ne rendra pas service au monde –et nous ne parlons pas seulement, ici, du monde occidental - si l’offensive ne va pas à son terme logique, à savoir détruire les combattants du Hezbollah, éliminer sa direction, casser sa chaîne de commandement et ses capacités opérationnelles et lever l’hypothèque que ses stocks de missiles font peser sur Israël (mais aussi sur des régimes arabes qui, demain, pourraient déplaire à Téhéran, comme la Jordanie…), alors ces morts seront tombés en vain. Si l’organisation militaire du Hezbollah n’est pas anéantie, alors, demain, ce seront des soldats de l’ONU participant à une force d’interposition qui tomberont sous ses armes et ce seront des otages étrangers qui pourriront dans les caves de Beyrouth, comme en 1985.



Les beaux esprits diront qu’il suffisait d’appliquer la résolution 1559 de l’ONU. Certes, mais le seul problème en l’occurrence est que l’ONU est un géant au pied d’argile qui ne se donne jamais la force d’appliquer ses décisions.

La communauté internationale l’a dit il y a des années déjà : le Hezbollah doit désarmer. Mais le Hezbollah a refusé de le faire et plonge aujourd’hui le Liban dans la tragédie. Qui a été sur le terrain pour appliquer cette résolution ? L’armée libanaise ? Que non ! Le Liban est d’ailleurs dirigé aujourd’hui par un gouvernement qui compte trois membres du Hezbollah –un officiel et deux sympathisants –et son Premier ministre qui demande à l’organisation de déposer les armes sait très bien qu’il ne sera pas écouté. Quant au Président libanais, Emile Lahoud, ce valet qui a vendu son pays à la Syrie, il clame urbi et orbi que « le Hezbollah est respecté dans le monde arabe ». La voix de son maître…



La nature humaine et celle du monde sont ainsi faites que la loi sans la force n’est rien. Si ce n’était le cas, d’ailleurs, aurions-nous besoin de policiers pour appliquer les lois pénales dans nos démocraties ? Les citoyens ne s’y plieraient-ils pas de leur plein gré ? Mais ce n’est pas le cas. Aujourd’hui au Liban, c’est à Israël que revient le sale boulot. Il n’y a aucune raison, là, de tresser des couronnes de lauriers aux soldats de cette démocratie. Mais peut être y en a-t-il une pour faire attention aux critiques et à la manière dont on les profère. Aujourd’hui, quand le gouvernement libanais ou l’Europe condamne la « disproportion » de la riposte israélienne, ils le font au nom de leurs manquements, de leur lâcheté et de leurs compromissions.



Ce sont cette lâcheté, ces manquements et ces compromissions qui, autant au moins que la provocation insensée du Hezbollah, ont plongé le Liban dans le deuil. L’armée israélienne n’est ici que l’instrument du destin. Mais c’est un fardeau bien lourd à porter pour une démocratie qui, il est vrai, depuis tant d’années, s’est habituée à être bien seule.



(1) ou des mosquées, comme on vient de l’apprendre

2006-08-08 17:40:37 · answer #4 · answered by Anonymous · 0 0

c'est l'autre
simple pour l'autre c'est l'autre qui a tord
et sa fait un bail que sa dure

2006-08-08 16:55:20 · answer #5 · answered by Anonymous · 0 0

Tu n'as pas épuise toutes les possibilités. Cherche encore.....des choses qui peuvent arriver après....qui pourrait être attire en conflit?

2006-08-08 16:14:33 · answer #6 · answered by o_robelet 7 · 0 0

Qui a lancé la première pierre à qui? Qu'en dit le droit international et la Charte de l'ONU?

La question de faute n'est pas aussi simple que certains auraient réclamé.

2006-08-08 16:12:43 · answer #7 · answered by Anonymous · 0 0

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