Il nous dit aussi que le meilleur reflet de nous même, le " miroir " c'est les autres. Qu'en pensez-vous?
2006-07-28
10:13:07
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11 réponses
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demandé par
gaïa
2
dans
Arts et sciences humaines
➔ Philosophie
raf, visiblement tu n'as pas lu le livre....
2006-07-28
10:20:06 ·
update #1
Le reflet que l'autre renvoie de nous
L'image que nous avons de nous même etc...
Je ne parlais pas de l'homme est un loup pour l'homme
Bref
2006-07-28
10:22:05 ·
update #2
Alors expliquez-vous christiane votre réponse n'en n'est pas une...
2006-07-28
10:42:23 ·
update #3
Je pense, oui que "l'enfer c'est les autres" dans la mesure ou ils nous montrent en miroir nos propres facettes...
Je suis d'accord avec cette idee, nous ne pourrions vivre sans les autres car c'est a travers eux que nous apprenons a nous decouvrir, a travers leurs yeux...et ainsi a changer. Donc pour moi le paradis c'est aussi les autres...
2006-07-28 15:18:15
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answer #1
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answered by Anonymous
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Toute l. a. theory de Sartre repose sur l'existentialisme comme il explique dans l. a. nausée sur l. a. theory d'un monde gratuit. Mon existence est de trop même mon suicide. Je n'ai que ma liberté pour me justifier. Dans sa pièce " huis clos *, les gens se détestent mais pour des raisons targets ou obscures, ils ont besoins des united statesdes autres. Mon identité dépend en fait des autres, c'est pour ces raisons que l'enfer, c'est les autres mais Sartre oublie peut-être l. a. tyrannie de l'être par rapport au néant.
2016-12-14 15:40:14
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answer #2
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answered by sherfy 4
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Pour Jean-Paul Sartre, la spécificité de l'homme c'est la liberté. Cette liberté est définie sur un plan ontologique comme non-coïncidence à soi (notion reprise de Hegel). Sartre appelle l'homme "pour soi" et les choses "en soi". En tant qu'il est conscience de soi, et que toute conscience est intentionnelle (notion reprise de Husserl: elle n'est pas ce dont elle est conscience), l'homme n'est pour ainsi dire jamais lui-même mais toujours projeté en avant dans un avoir à être. Les autres nous voient cependant comme des choses, comme des "ensoi". Par exemple, ils disent que nous sommes "ceci" ou "cela": or nous sommes pas un ceci ou un cela, nous avons à être. Ce n'est que quand il est mort que l'homme peut être dit "être" (d'où la célèbre formule: "l'existence précède l'essence"). Pour Sartre, en simplifiant, exister s'oppose à être, or les autres nous traitent précisément comme des étants (de même que nous traitons les autres comme des étants), non comme des existants. En somme, l'homme qui n'est que mouvement et sortie de soi, se voit figé, pétrifié, immobilisé par el regard des autres qui l'enferme dans l'en-soi. L'"enfer" c'est donc l'"enfermement" dans lequel les autres nous confinent. Ce 'nest ni un jugement moral ni une sentence psychologique, mais la conséquence d'un postulat proprement ontologique.
2006-07-29 00:38:46
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answer #3
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answered by Anonymous
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Dans le contexte précis de la pièce, absence d'intimité et confrontation pe.rmanente avec le regard des autres, d'accord... Mkis dans la vie en vrai, l'enfer au contraire, c'est là où il n'y a pas d'amour, donc quand le "moi" prend le pas sur n'importe quelle autre considération. Je crois honnêtement que celui qui est d'accord avec cette formule de Sartre n'aurait en réalité, aucune raison d'être sur q/r... (sourire).
2006-07-28 21:55:50
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answer #4
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answered by Isabelle D 4
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Sans aborder l'aspect littéraire de ta question, et juste en prenant l'énoncé ''l'enfer c'est les autre'', je dirais qu'au contraire ''l'enfer c'est soi-même'' (on pourrait aussi dire ''le paradis c'est soi-même'')
Et je dis ça dans le sens où je crois que dans l'absolu, nous sommes libres et responsables de nos actes et pensées, donc il ne tient qu'à nous de créer en nous une atmosphère de paix ou au contraire de conflit intérieur, et qu'il ne faut pas utiliser le monde qui nous est extérieur (ou l'illusion extérieure) comme justification.
(en cela, je rejoints Sartre, mais pas dans la même perspective, car je suis croyant, d'une certaine manière et à ma façon, et pour moi la source de la liberté est sensiblement différente que telle qu'elle est exposée chez lui...)
Ca peut paraître boiteux, je sais... mais il se fait tard, dodo...
2006-07-28 11:26:44
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answer #5
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answered by Michel 7
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Il a écrit ça , il me semble, quand la mère Simone est parti vivre au US avec son bel écrivain américain. Il est certain que si elle lui servait de miroir à l'époque, il a du vivre l'enfer.
2006-07-28 10:38:36
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answer #6
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answered by perrin 3
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Avez-vous bien lu et compris la pièce de théâtre?
2006-07-28 10:30:55
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answer #7
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answered by Christiane F 4
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http://fr.answers.yahoo.com/question/;_ylt=Asn3l9IHcv6N0mQZT87X0PVhAgx.?qid=20060706032756AAng0Q1
2006-07-28 10:22:37
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answer #8
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answered by Mouette 3
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Je pense qu'il a raison dans une certaine mesure. On voit beaucoup mieux les défauts chez les autres que chez nous, et souvent ce qu'ils nous énervent le plus ce sont les défauts que l'on posséde et qui nous renvoie une image négative de nous, au travers une autre personne.
2006-07-28 10:18:42
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answer #9
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answered by Anonymous
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http://fr.answers.yahoo.com/question/;_ylt=ArsxdCO8oJQWONNmG_q1lMJhAgx.?qid=20060722090639AAxgirS
2006-07-28 10:17:10
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answer #10
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answered by raf 3
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