Personne, la colonisation est une atteinte à un peuple et est considérée comme un crime de guerre (Convention de Genève).
Mais tout le monde s'assoie dessus !
2006-07-25 04:18:50
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answer #1
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answered by Anonymous
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pourquoi toutes ces questions qui nous bloquent, et nous empèchent de construite ensemble, quelque chose de positif. Pourquoi cette manie de toujours regarder dans le rétroviseur? COLON?COLONISES!!!toujours la meme rangaine! On dirait que certains trouvent un" malin " plaisir à rabacher ces mots , comme pour remuer le couteau dans la plaie.
2006-08-01 11:45:43
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answer #2
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answered by Anonymous
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on peut pas complètement dénigrer le colonialisme, faut pas être manichéen.
Les romains qui ont colonialisé la Grèce, n'ont pas mis à feu et à sang le pays.
Chacun retirait des avantages, les romains apportaient la sécurité et une certaine rigueur dans leur institutions et les grecs leur culture. C'était le système des vases communicants . Donc au final ce sont les deux qui s'intègrent
2006-07-25 22:45:59
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answer #3
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answered by gugus_le_stagiaire 2
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Le colon, sans hésiter..c'est lui qui s'approprie une terre qui ne lui appartient pas..il doit donc s'y adapter.
2006-07-25 13:34:04
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answer #4
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answered by sara j 4
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moi j'ai bien aimé la réponse d'éric ci-dessus
je rajouterai que plus qu''une question d'intégration c'est une question d'écoute réciproque, comment garder sa culture , ses valeurs et être ouvert à celle d'autrui...
le danger qui nous menace c'est un monde ou on sera tous pareils, on boira du coca et on ira chez mac do d'un bout à l'autre de la planète, et quand on crève de faim, ou qu'on se sent méprisé dans sa culture , je comprends qu'on en aie marre du riz.. ceci n'est qu'une parabole, bien sur, je pense que maintenant au niveau culinaire on peut reconnaître le gout et la valeur du boeuf bourguignon et du couscous royal sans avoir besoin de mélanger, ou de dénigrer l'un pour l'autre
au niveau de la rencontre entre des individus, c'est peut être gérable, mais c'est pas toujours évident d'être accepté pour autre choses qu'un touriste (autre forme de colon beaucoup plus pernicieuse) dans un pays "du tiers monde".
au niveau des peuples et des sytèmes économiques le problème est d'une autre ampleur, et le petit individu que je suis n'a pas la réponse...
pour moi personne ne doit s'intégrer, si s'intégrer c'est devoir renoncer à ce qu'on est, et surtout personne ne doit intégrer de force un autre...mais en même temps c'est pas évident de pas chercher à jouer le bon docteur blanc quand on voit quelqu'un crever sous ses yeux, donc forcemment on apporte de force des valeurs (qui fonctionnent ) qui se cachent dans nos médicaments "scientifiques" , au détriment de valeurs culturelles de médecine traditionnelle ou de guérison chamanique....
et ça suffira pour aujourd'hui!
2006-07-25 06:40:57
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answer #5
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answered by octavepatapon 2
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Tout d'abord, ta question est très mal posée. Sache que le temps des colonies est terminé (on peut toujours en discuter, c'est vrai...).
Par définition, une personne qui doit s'intégrer est une personne qui migre vers un pays donné. C'est donc un migrant de son point de vue personnel, mais c'est un immigré du point de vue des citoyens du pays d'accueil.
Je suppose que tu voulais en fait demander ceci: qui doit s'adapter à l'autre, l'immigré ou le pays qui l'accueille?
La réponse qui vient tout de suite à l'esprit, c'est l'immigré. Comment un pays pourrait s'adapter à des cultures venant du monde entier? Ca paraît illusoire.
On peut donc convenir que l'immigré pour faire sa place dans son nouveau pays doit se conformer aux lois de celui-ci et le plus que possible à ses us et coutumes (mode de vie, alimentation, habillement, fêtes nationales, élections, etc.).
Ceci dit, une personne qui renie ses origines ne peut pas vivre sereinement. C'est pourquoi le pays d'accueil doit laisser un espace de liberté à son nouvel arrivant. Cet espace comprend entre autres la liberté de culte et les associations culturelles (souvent appelées communautaires, bien que je n'aime pas ce terme car ces mouvements doivent restés ouverts à la société entière pour que chacun puisse échanger et apprendre à se connaître, et ce dans un but d'une plus grande harmonie sociale).
Voilà, je ne sais pas si j'ai bien répondu ou pas. Mais quoiqu'il en soit, il est évident que chacun doit faire un pas vers l'autre. Ce n'est que comme ça que les choses se passent bien. C'est vrai dans ce cas. Ca l'est également pour tous les autres types de relation: couple, famille, amitié, travail, ...
P.S.: Merci octavepatapon, pas mal aussi ta réponse.
2006-07-25 04:37:06
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answer #6
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answered by Anonymous
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Question d'un autre âge. De nos jours il n'y a plus vraiment de colonies.
Mais de toutes façons, c'est un rapport de force : le plus fort gagne et fait édicter sa loi (comme toujours).
Je ne veux pas créer de polémique en rappelant cette douloureuse page de notre histoire, mais puisque c'est le sujet :
Algérie du XIXe siècle : les colonisés ont dû s'adapter.
Algérie de l'indépendance : les colons ont dû s'adapter.
Je ne parle pas de droit moral, mais de pragmatisme pur et dur.
2006-07-25 04:32:51
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answer #7
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answered by jaq h 3
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Aucun des deux.
Mais la colonisation n'est pas un "crime de guerre". Pendant la phase de conquête ou même après, il peut y avoir des crimes guerre mais ceux-ci ne sont pas liés au fait qu'il s'agit d'une colonisation mais plutôt du fait qu'il s'agit d'une guerre.
Le principe de la colonisation c'est accroître son territoire pour accroître sa richesse, son influence, sa capacité à contrôler des points stratégiques... Aujourd'hui celà n'a plus trop de sens puisque la puissance d'une nation ne se mesure pas à sa présence sur les 5 continents ou à son nombre d'habitants.
Il n'y a pas d'intégration au sens strict du terme. Il y a un dominant et un dominé mais quand deux populations différentes vivent au même endroit, il y a nécessairement un mélange de culture.
2006-07-25 04:24:26
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answer #8
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answered by Anonymous
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Il y a une certaine contradiction entre les deux termes : la notion de colon sous-entend que la colonie se situe en zone soit inhabitée, soit peuplée de sauvages qu'il faut soumettre, convertir, asservir ou déplacer. Pas vraiment compatible avec l'intégration, tout ça.
2006-07-25 04:23:35
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answer #9
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answered by Sherman 4
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Une personne qui arrive dans un autre pays doit s'adapter aux coutûmes de celui-ci. Sinon, vaut mieux rester chez soi. Sinon, cela cause du racisme etc. Je suis allée au Mexique et j'ai fait comme les mexicains. Je suis allée en France, j'ai essayé de faire semblable aux français. Ainsi, tu es acceptée et tu peux vivre en paix.
2006-07-25 04:22:15
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answer #10
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answered by yeshu2 3
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que le colon reste ou il est et qu'il fasse plus ch... (sans jeu de mots)
2006-07-25 04:21:19
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answer #11
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answered by Gamine 2
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