Un matin morose où la pluie et le vent n’ont rien fait pour arranger les choses. Je me sentais mélancolique, mes pensées étaient pour toi. J’avais pourtant un programme bien chargé, mais je me suis surprise à ces absences, où mille et une questions venaient à mon esprit. Que pouvais-tu bien faire à ce moment précis, comment te sentais-tu… ? J’ai beau essayé de me concentrer sur ce que je fais, tout me ramène à toi. Une voix, un visage, la démarche d’un passant qui me rappelle la tienne, une musique que j’entend…. Entre deux ondées aussi, il y avait ces arcs-en-ciel aux couleurs apaisantes. Je les ai longuement observés, émue je ne sais pourquoi, jusqu’à ce qu’ils disparaissent essayant peut être de percer je ne sais quel mystère…. Tu sais c’est bizarre, j’ai toujours trouvé que les arcs-en-ciel avaient quelque chose de mystérieux ou magique….
2006-07-24 06:25:55
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answer #1
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answered by Anonymous
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j'ai lu ce qui suit dans un cabinet de podologie !
dis-moi, si un jour je t'attrapais et et t'embrassais la plante du pied,
est-ce que tu boiterais un peu pour ne pas écraser mon baiser ?
c'est d'un écrivain roumain dont j'ai oublié (pardon !) le nom
2006-07-24 18:19:59
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answer #2
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answered by boite à outils 38 4
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Bonsoir
Connais -tu Alphonse de Lamartine ?
Si tu aimes la poésie ,je pense que ses écrits te plairont .
Par contre j'espère que ta morosité ne durera pas .
2006-07-24 15:17:22
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answer #3
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answered by dalila 4
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Ami du soir bonsoir!
Hé marin, tu as oublié de t'accrocher à une sirène?
Il faut aussi s'en méfier, je reconnais,
Alors saute, ne te retourne plus,
Et reviens, là où notre terre,
Et son fond plus proche,
Te remontrera par nuit de lune, La sirène aux deux jambes.
2006-07-24 13:50:31
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answer #4
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answered by M.A 1
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Oh ! combien de marins, combien de capitaines
Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines,
Dans ce morne horizon se sont évanouis ?
Combien ont disparu, dure et triste fortune ?
Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune,
Sous l'aveugle océan à jamais enfoui ?
Combien de patrons morts avec leurs équipages ?
L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages
Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots !
Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée,
Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée ;
L'une a saisi l'esquif, l'autre les matelots !
Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues !
Vous roulez à travers les sombres étendues,
Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus
Oh ! que de vieux parents qui n'avaient plus qu'un rêve,
Sont morts en attendant tous les jours sur la grève
Ceux qui ne sont pas revenus !
On demande " Où sont-ils ? Sont-ils rois dans quelque île ?
Nous ont' ils délaissés pour un bord plus fertile ? "
Puis, votre souvenir même est enseveli.
Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire.
Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire,
Sur le sombre océan jette le sombre oubli
On s'entretient de vous parfois dans les veillées,
Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées,
Mêle encore quelque temps vos noms d'ombre couverts,
Aux rires, aux refrains, aux récits d'aventures,
Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures
Tandis que vous dormez dans les goémons verts !
Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue.
L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue ?
Seules, durant ces nuits où l'orage est vainqueur,
Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre,
Parlent encore de vous en remuant la cendre
De leur foyer et de leur coeur !
Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière,
Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre
Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond,
Pas même un saule vert qui s'effeuille à l'automne,
Pas même la chanson naïve et monotone
Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont !
Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ?
O flots ! que vous savez de lugubres histoires !
Flots profonds redoutés des mères à genoux !
Vous vous les racontez en montant les marées,
Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées
Que vous avez le soir, quand vous venez vers nous...
2006-07-24 13:35:37
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answer #5
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answered by Chet 3
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Amis du jour, bonjour !
2006-07-24 13:27:59
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answer #6
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answered by Anonymous
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pas mal le poème
voici un
Le Pont Mirabeau
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Guillaume Apollinaire (1880 - 1918)
voici des s
ites de poèsie
http://www.toutelapoesie.com/
http://poesie.webnet.fr/auteurs/liste.html
http://www.poeme-france.com/
2006-07-24 13:25:20
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answer #7
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answered by sousou 3
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Il pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?
Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !
Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.
C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !
Il pleure dans mon coeur
2006-07-24 13:22:42
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answer #8
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answered by :::::::::::::::::::::::::::::::: 4
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J'aimerais être une cigarette roulée,
pour naître entre tes mains,
vivre sur tes lèvres,
et mourir à tes pieds.
C'est un peu ringard mais ça peut le faire, non?
2006-07-24 13:19:49
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answer #9
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answered by Djé, Ministre Du Ridicule (MDR) 6
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bonsoir à toi aussi, merci bcp, c bien toujours d'avoir des amis pret à égayer notre soirée aussi, c pour toi ça :
Je t’aime de plus en plus fort
à chaque instant, à chaque souffle.
Et quand je sens que tu penses à moi,
j’ai comme un frisson de plaisir qui glisse sur moi.
Merci mon ami pour tout ce que tu es,
pour toute l’amitié que tu me donnes.
Merci d’être là pour moi, pour me faire plaisir.
Comme je suis heureuse dans mon coeur.
2006-07-24 13:19:13
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answer #10
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answered by medecin_87 2
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