Les deux problématiques ont l'air de se rejoindre par la similitude des termes...
Or, les implications sont différentes et ne constituent pas forcément une systémique comme la construction des questions voudrait le laisser entendre.
La seconde question n'en est pas une. Elle sollicite une adhésion ou un refus mais n'ouvre pas de débat.
Mettre en parallèle les autres, ses propres choix et soi-même, c'est assez complexe à envisager comme "triangle"...
On peut l'interpréter à la lumière de sa propre expérience de ... soi-même et des autres, c'est à dire d'un point de vue un peu égocentrique !
Si on opère des choix dans l'amour que l'on porte aux autres, ils impliquent de facto des exclusions. Il y aura donc des "autres" qui ne feront pas partie des "happy fews"...
Faut juste espérer que l'on ne fait pas partie de ces derniers...
Et alors, la boucle est bouclée : on s'aime soi-même et on aime les autres, mai ceux qu'on a choisis.
2006-07-08 02:47:12
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answer #1
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answered by Solene S 3
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s'aimer soi meme est indispensable au bonheur, mais le bonheur n'est pas un signe de l'amour de soi.
c'est une vue de l'amour selon HUME, je ne la defends pas car elle entends que la relation a l'autre se fait par interet.
2006-07-08 08:15:20
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answer #3
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answered by S B 3
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