Bonjour,
Tu dois faire une confusion.
En 1954, la France faisait partie du groupe 1 avec le Bresil, la Yougoslavie et le Mexique.
Apres une defaite 1-0 contre la Yougoslavie et une victoire 3-2 contre le Mexique, elle s'est retrouvee 3eme de son groupe et eliminee du tournoi.
Amicalement,
Olivier
2006-06-30 02:06:52
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answer #1
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answered by destroy 6
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la france était 3e du groupe A
avec une victoire, une défaite
elle n'avai que 2 points au 1er
tour.
tandis que le brésil en avait
3 et la yougoslavie 3.
le meique, lui, n'en avait pas.
j'espere avoir répondu a ta question
:)
2006-07-01 00:23:32
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answer #2
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answered by Miyavi Addict 2
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En 1954 et 1958, la formule était alambiquée: les équipes étaient réperties en groupes de 4 mais ne jouaient chacune que 2 matchs au premiers tour. C'est un peu comme si l'on avait oublié Suisse-Corée et France-Togo cette année. En cas d'égalité, on pouvait organiser un match d'appui.
Ce n'est qu'à partir de 1966 qu'on obtient un système cohérant.
2006-06-30 03:28:27
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answer #3
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answered by phil de lille 6
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Si ça peut t'aider :
La cinquième Coupe du monde de football s'est tenue en Suisse du 16 juin au 4 juillet 1954.
L'équipe de Hongrie, dite l'onze d'or, était considérée comme la grande favorite du tournoi. Effectivement, la formation composée de stars telles Ferenc Puskas, Nándor Hidegkuti, Sándor Kocsis et autres Gyula Grosics était invaincue depuis quatre ans, était championne olympique et venait de battre par deux fois l'équipe anglaise, dont le fameux 6-3 à Wembley.
Les Magyars passèrent le premier tour sans problème majeur, infligeant même un sévère 8-3 à l'équipe allemande. Mais l'entraîneur allemand, Sepp Herberger, considérant le match comme perdu d'avance, avait aligné une équipe composée surtout de réservistes. Sous la vigueur des tacles allemands, la vedette Puskás sortit blessée de cette rencontre et manqua les parties suivantes.
Le quart de finale face au Brésil fut bien plus dur pour les hommes de Gusztáv Sebes. Dominés au niveau du jeu, les Brésiliens produisirent un jeu de plus en plus agressif, souvent à la limite de la régularité. Mais ils ne purent empêcher la victoire hongroise. La demi-finale face à l'Uruguay, si elle fut bien plus régulière au niveau du jeu, fut toute aussi éprouvante. Sous l'impulsion de l'entraîneur Sebes, qui exigeait le maximum à chaque match, les joueurs commencèrent à fatiguer. Ils s'imposèrent tout de même, mais dans les prolongations d'un match exigeant.
De l'autre côté, l'Allemagne, s'étant qualifiée dans le match de barrage face à la Turquie, avait connu un parcours bien plus facile en quarts et en demi, éliminant respectivement une équipe de Yougoslavie décevante (2-0) et une équipe d'Autriche d'un niveau assez moyen (6-1). Les Allemands se présentaient donc en meilleure condition physique et mieux préparés aux conditions météo.
Effectivement, la pluie qui tombait sur le stade du Wankdorf de Berne le jour de la finale n'avantageait pas le jeu hongrois. Mais ces derniers, comptant à nouveau Puskás dans leurs rangs, prirent rapidement l'avantage et menèrent 2-0 après huit minutes. Mais le onze allemand revint au score dans les minutes qui suivirent, et Helmut Rahn, l'un des deux héros allemands de la finale avec le gardien Anton Turek, égalisa encore après 18 minutes. Au retour des vestiaires, les joueurs hongrois dominèrent toujours leurs adversaires, mais n'arrivèrent pas à marquer, touchant le cadre à plusieurs reprises. Au contraire, ce fut à nouveau Rahn qui marqua le 3-2 à cinq minutes de la fin. Un dernier but de Puskás, dans les ultimes minutes, fut annulé pour hors-jeu.
D'un côté, les joueurs hongrois furent ramenés en discrétion, afin de leur éviter la confrontation avec les supporters déçus. En quelques années, l'équipe était décimée. Désigné comme bouc émissaire par les officiels, le gardien Grosics fut écarté de la sélection nationale pour deux ans. Les stars, très cotées à l'étranger, commencèrent à s'exiler, tels Puskás au Real Madrid ou Kocsis au Barça. En face, les joueurs allemands étaient célébrés à leur retour, dès le passage de la frontière. Mais tous, à l'exception de Fritz Walter et de Rahn, retombèrent dans un certain anonymat dans les années qui suivirent, ayant pris leur retraite du monde sportif. L'équipe allemande ne joua plus qu'un seul match dans la composition victorieuse à Berne: un match de gala en 1967.
Le parcours victorieux de l'équipe d'Allemagne a inspiré le film Le Miracle de Berne (2003) de Sönke Wortmann.
2006-06-30 02:13:29
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answer #4
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answered by * ~ * ~ * tite fleure * ~ * ~ * 2
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